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Alex Barnaby tome 1 sur 2

Marianne Thirioux-Roumy (Traducteur)
EAN : 9782266166720
282 pages
Pocket (14/09/2006)
3.31/5   87 notes
Résumé :
Agent d'assurances adepte du kick-boxing et mécano à ses heures perdues, Alexandra, jolie blonde de trente ans, n'est vraiment pas une fille comme les autres... Aussi, n'écoutant que son instinct, elle n'hésite pas à sauter dans le premier vol pour Miami lorsqu'elle apprend que son frère s'y est volatilisé. Elle qui s'est toujours portée caution de ses frasques pressent que, cette fois-ci, sa vie est en danger. Désireuse de le retrouver au plus vite, Alex va faire é... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Passionnée de mécanique et ancienne coureuse de stock-cars reconvertie dans les assurances, Alexandra Barnaby, dite Barney, mène une vie paisible à Baltimore, jusqu'au jour son frère l'appelle pour lui dire qu'il doit disparaître quelques jours mais qu'elle ne doit pas s'inquiéter. Bien sûr, Barney s'inquiète, au point même de s'envoler vers Miami afin de sortir Bill du pétrin dans lequel il s'est probablement fourré. Sur place, point de frère mais Sam Hooker, un célèbre coureur de la Nascar, qui veut lui aussi retrouver Bill qui s'est enfui sur le bateau dont il est le propriétaire attitré. Méfiants mais poursuivant le même but, Barney et Sam s'associent dans une quête qui va s'avérer plus dangereuse que prévue.


On ne change pas une recette qui marche et celle de Janet EVANOVICH est un savant mélange de chick-litt et de polar qui a déjà fait ses preuves avec la série Stéphanie Plum. Les ingrédients sont toujours les mêmes : une héroïne jolie mais sympa, suffisamment nunuche pour que le héros, beau et viril, se sente important à ses côtés mais pas complètement tarte non plus, sinon il ne pourrait pas tombé amoureux à la fin. Bien sûr, il faut prendre tout cela au second degré, Janet EVANOVICH ne se prend pas jamais au sérieux et c'est ce qui fait habituellement le charme de ses bluettes teintée d'humour.
Le souci, c'est qu'elle ne prend pas non plus ses lecteurs au sérieux. Après sa drôlissime première série, on est bien déçu devant cette pâle resucée aux dialogues indigents, à l'humour inexistant et aux personnages grotesques. L'intrigue policière ne sauve pas ce navet du naufrage avec une histoire alambiquée de bombe et d'or que se disputent une réfugiée, un homme d'affaires véreux et un politicien, tous cubains et faisant d'improbables allers-retours entre Miami et l'île dirigée par Castro.
Agaçant et insipide, ce roman est à fuir !
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Alexandra Barnaby, 30 ans et passionnée de mécanique, a reçu un appel inquiétant de son frère, Bill. Une femme hurlait pendant que Bill prévenait sa soeur de ne pas s'inquiéter s'il s'absentait pendant quelques jours.
Evidemment, Alex s'inquiète quand même et saute dans le premier vol pour Miami, à la recherche de Bill. Arrivant sur place, elle constate que l'appartement de son frère a été fouillé de fond en comble. Bill, toutefois, ne s'y trouve pas et Alex décide donc de se rendre à la marina où son frère travaille. Elle y rencontre Sam Hooker, pilote de stock-cars, qui lui apprend que Bill s'est volatilisé. Sam aussi est à sa recherche pour une simple et bonne raison: Bill est parti avec le bateau de Sam! Et le pilote aimerait beaucoup récupérer son bien.
Puisqu'ils veulent tous deux retrouver Bill (bien que pour des raisons différentes), Alex et Sam décident de faire équipe et se lancent sur les traces du disparu.

C'est la première fois que je lis un roman mêlant à la fois enquête et chick-lit. Et je dois dire que c'était une assez bonne surprise.

L'humour est au rendez-vous et les personnages sont tous attachants, même si certains sont un peu ridicules. J'ai particulièrement apprécié Hooker (pour son humour et son côté macho) et Rosa (ridicule mais marrante et sympa). Alex elle-même n'est pas mal non plus, même si elle se montre parfois complètement stupide (elle est, par exemple, certaine qu'elle va rencontrer des cafards volants gros comme des vaches. Qui a déjà vu ça?? Qui est assez bête pour croire que ce genre de trucs existent??). Mais bon, c'est de la chick-lit, alors il faut bien que l'héroïne soit un peu nunuche...
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Troisième escale des vacances en Floride avec Mécano Girl de Janet Evanovich. Grosse déception, alors que j'avais aimé la série des Stéphanie Plum. L'histoire est assez vide : une jeune femme (belle évidemment, et qui s'y connaît en mécanique) est inquiète pour son frère, lequel s'engouffre sans cesse dans des histoires louches. Partant à sa recherche à Miami (c'est mieux), elle tombe sur un pilote de Nascar (le mot est répété environ un millier de fois dans le roman), très sexy (évidemment aussi), dont le frère en question a piqué le bateau. Ils devront retrouver le frère avant des personnages très méchants, mais bien sûr, ils seront les meilleurs !!
Histoire insipide, humour absent, il n'y a même pas véritablement une histoire d'amour pour rattraper l'ensemble.
Un livre qui ne vaut pas le poids de son transport entre la bibliothèque et la maison.
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Le coeur léger et l'oeil pétillant que je me suis lancée à la découverte de Mecano Girl, roman de la prolifique Janet Evanovich. Autant le dire tout de suite, amateur de finesse et de subtilité, passez votre chemin. Ici, on dirait que l'auteur a suivi pas à pas le mode d'emploi du parfait roman estival-pas prise de tête-avec un peu d'amour-et aussi du suspens.Dois-je vous raconter l'histoire ? Notre héroïne est une jeune fille, garçon manqué mais tellement sexy bien sur, qui s'inquiète pour son frère qui s'est mis dans de sales embrouilles. le coeur aussi large qu'elle a de longues jambes, notre belle héroïne Alexandra s'envole pour Miami afin de retrouver le frère en question. Sa route va évidemment croiser celle d'un beau mâle, Sam, aussi énervant qu'indispensable à son enquête. Je vous laisse deviner la fin téléphonée (oui, ils vont se faire des bisous, plein de bisous, après avoir esquivé les balles des méchants)

Ai-je aimé ? Bah oui, un peu, pas mal même. Disons que c'est le genre de bouquin efficace qui fait son office aussi bien qu'un antidépresseur, sans les effets secondaires. Cela m'a fait sourire, rire, et même les clichés les plus bateau de la littérature romantique ont leur utilité : s'esclaffer et retrouver de la bonne humeur en quelques pages. Il fallait que cela soit dit :)
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Une fois encore, Janet Evanovich m'a captivé.
Sa nouvelle héroïne est vraiment sympathique et drôle à souhait.
Je n'étais pas sure d'aimer vu que j'ai suis fan de Stéphanie Plum et j'avais un peu peur que ce soit trop ressemblant mais en fait pas du tout.
Avec Alexandra Barnabey l'auteur a crée une héroïne drôle, attachante qui ressemble à Stéphanie tout en étant bien différente.
C'est là encore drôle, surprenant, et captivant.
Encore un livre qui met de bonne humeur et que je recommande mille fois :) A lire, avec plaisir ;)
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Ce n'est pas parce que je sais faire la vidange d'un type que je tiens forcément à passer le reste de ma vie allongée à contempler son châssis. J'ai déjà donné, merci. D'accord, mon père est propriétaire d'un garage. Et j'avoue que j'ai un don naturel pour réparer les carburateurs. Mais il arrive un moment dans sa vie où une fille a besoin de troquer son bleu de travail de mécano contre une paire de stilettos Manolo Blahnik. Non pas que je puisse m'offrir une flopée de Manolo, mais bon, c'est un de mes objectifs, O.K. ?
Je m'appelle Alexandra Barnaby, et j'ai travaillé dans le garage de mon père, dans le quartier de Canton de Baltimore, quand j'étais lycéenne, puis pendant les vacances d'été quand j'étais étudiante. Ce n'est pas un gros garage pour voitures de luxe, mais il tient bien la route, et mon père a la réputation d'être un garagiste honnête.
Quand j'avais douze ans, mon père m'a appris à me servir d'un chalumeau à acétylène. Après avoir maîtrisé le soudage, il m'a donné des pièces détachées, notre tondeuse à gazon, et je me suis fabriqué un kart. À seize ans, j'ai entrepris de remonter une vieille bagnole, une Chevrolet de dix ans d'âge. Je l'ai transformée en puissant bolide. Et j'ai couru avec dans les courses de stock-cars de la région pendant deux ans.
«Et la voilà, mesdames et messieurs, annonçait le commentateur. Barney Barnaby. Numéro seize, la terreur du comté de Baltimore. Elle rattrape la voiture numéro huit. Elle roule à gauche. Attendez une minute ! Je vois des flammes s'élever de la seize. Il y a beaucoup de fumée. On dirait qu'elle a grillé un autre moteur. Heureusement qu'elle travaille dans le garage de son père !»
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— Je suis venu dans le camion, me dit-il, mais nous pouvons repartir dans la voiture de pub.
— O.K., acquiesçai-je, mais je conduis.
— Tu es dingue ? Je ne te laisserai pas piloter ma voiture. Tu conduis comme une folle.
— Je ne conduis pas comme une folle. Et je dois absolument le faire parce que je viens de vivre une expérience hypertraumatisante.
— Je dois me mettre au volant parce que je t’ai sauvée. Je suis un coureur Nascar.
— Si tu veux arriver à tes fins avec moi, laisse-moi conduire.
Hooker ressemblait quelque peu à Brian lorsqu’on le tentait avec un biscuit aux épices.
— Vraiment ? Tout ce que j’ai à faire, c’est te laisser le volant ?
— Ouaip.
Il me prit dans ses bras.
— J’arriverais à mes fins de toute façon, même si je ne te laissais pas conduire, pas vrai ?
Je lui souris.
— Ouaip.
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— Vous souriez, me lança Hooker. Pourquoi ?
Estimant que ce n’était pas une bonne idée de lui dire que je souriais en l’imaginant en sous-vêtements, je lui sortis un bobard.
— C’est Brian, mentis-je. Vous ne le trouvez pas mignon ?
— Ce n’est pas un sourire « je-trouve-ce-chien-mignon », rétorqua Hooker. Je reconnais ce sourire quand je le vois, et ce n’en est pas un.
— Me traitez-vous de menteuse ?
— Ouais.
— Oh, oh ! fit Judey. Aurions-nous une querelle d’amoureux ?
— Nous ne sommes pas amoureux, dis-je à Judey. Hooker m’entraîna en direction du traiteur.
— Pas encore, ajouta-t-il.
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— N’aie pas peur. Coureur Nascar est là pour t’aider.
Hooker était un chic type, décidai-je, mais ce n’était pas James Bond. J’avais besoin de James Bond.
Hooker me regarda à travers ses lunettes de soleil foncées.
— Ne sous-estime pas un coureur Nascar.
— Est-ce que le coureur Nascar sait où nous allons maintenant ?
— Ouais. Le coureur Nascar pense que nous devrions aller au Monty’s. Prendre un sandwich. Boire une bière. Traîner. Le coureur Nascar a d’autres idées, mais il va attendre de t’avoir fait boire une bière avant de partager ces idées avec toi.
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Les hommes m'étonneront toujours. Je me souviens avoir lu quelque part une description des hommes et des femmes en termes de téléviseurs. La télé féminine comportait un tas de boutons, de touches et d'instructions complexes. Et la télé masculine possédait juste un interrupteur marche/arrêt.
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