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Bohen tome 1 sur 2
EAN : 9791090648869
624 pages
Critic (02/03/2017)
3.83/5   233 notes
Résumé :
Je vais vous raconter comment l'Empire est mort.
L'Empire de Bohen, le plus puissant jamais connu, qui tirait sa richesse du lirium, ce métal aux reflets d'étoile, que les nomades de ma steppe appellent le sang blanc du monde. Un Empire fort de dix siècles d'existence, qui dans son aveuglement se croyait éternel. J'évoquerai pour vous les héros qui provoquèrent sa chute.
Vous ne trouverez parmi eux ni grands seigneurs, ni sages conseillers, ni splend... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (80) Voir plus Ajouter une critique
3,83

sur 233 notes
Qui a dit que les empires sont éternels ?
Il suffit parfois d'un rien ! il suffit de l'amour improbable entre Saint-Étoile, bretteur itinérant, gredin vaguement schizophrène et de Sorenz, chien de guerre de haute volée, à la grâce toute féminine ; de Cigale, si fragile, si solaire, devenue La Voix des miséreux, des miteux, des va-nu-pieds, qui croupissent à l'ombre des hautes tours ; de la magicienne Maëve prête à donner son âme pour sauver sa cité des Vaisseaux Noirs ; de la rencontre entre le lumineux Wens, clerc déchu pour les beaux yeux d'une princesse, et du sombre Janosh, exilé à jamais pour avoir retrouvé les rites oubliés des anciens mages…
Il suffit parfois de pas grand-chose ! Il suffit de ce Livre Interdit dont les mots traversent les contrées à la vitesse d'un cheval au galop ; de ce vent mauvais qui chuchote à l'oreille des Hommes que l'Empire est bâti sur des couches et des couches de mensonges…
L'Empereur, de ses yeux de lynx, regarde ces misérables destinées s'agiter autour de lui. D'une chiquenaude, il pourrait si facilement les balayer…
Mais il suffit que par un heureux hasard du destin, tous, sublimes ou chancelants, blessés ou saufs, hagards ou fringants, vaincus ou triomphants, se retrouvent au même moment au même endroit pour soudainement prendre conscience que l'Empire n'est qu'une armure vide, une carcasse creuse.
Qui a dit que les empires sont éternels ?
Il y a du souffle épique dans ce livre. Les aventures de nos héros nous entrainent très loin. Il y a des drâmes, des rires et de l'amour. Beaucoup d'amour. J'ai adoré.
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Après une récente incursion dans la littérature jeunesse avec « La voie des oracles », Estelle Faye nous revient cette année avec un roman plus adulte publié par Critic et lorgnant davantage du côté de la dark-fantasy. Et me voilà bien embêtée, car si j'ai jusqu'à présent toujours été séduite par les textes de l'auteur, je suis beaucoup plus mitigée dans le cas des « Seigneurs de Bohen ». le roman dispose pourtant de solides atouts, à commencer par un univers intéressant et sortant incontestablement des sentiers battus. D'abord parce que l'auteur s'inspire avant tout de la civilisation slave, ensuite parce que le degré de technologie est ici plus élevé que d'ordinaire (des chefs de guerre utilisent la poudre au combat, l'imprimerie en est à ses débuts mais commence à se développer...) le bestiaire est lui aussi plutôt bien étoffé, chose à laquelle j'ai toujours été particulièrement sensible en fantasy. Ashrays (homme d'eau), div, vodianoïs, goules, golems, vives, vouivres... : voilà un petit aperçu des créatures plus ou moins dangereuses mises en scène ici avec succès. La plume de l'auteur est quant à elle toujours aussi agréable et donne naissance à des scènes au grand pouvoir évocateur que je garderais certainement en mémoire bien après ma lecture (la première expérience de Maëve sur le trône de l'Impératrice ; l'expédition de Lantane au phare d'Ankouan ; la rencontre entre Sainte-Etoile et la cartomancienne...)

On doit aussi à Estelle Faye de belles trouvailles en matière d'intrigue, qu'il s'agisse des Vaisseaux Noirs et de la manière dont l'Impératrice s'y prend pour les maintenir à distance des côtes, ou encore de la magie utilisée par Janosh et Wens. Je suis malheureusement moins convaincue par le reste du récit, à commencer par tout ce qui à trait à cette fameuse révolution lancée contre l'Empire. Malgré ses six cent pages au compteur, le roman survole en effet avec une rapidité parfois déconcertante des événements cruciaux dont la narration est expédiée en à peine quelques pages. Difficile dans ces conditions de se sentir véritablement investi dans le récit qui en vient même parfois à perdre de sa cohérence (le cas de la petite Sigalit, bombardée presque du jour au lendemain chef d'un mouvement de résistance clandestin, est notamment très gros à avaler). Si le roman se focalise aussi peu sur l'avancée de cette révolution, c'est surtout parce que l'auteur s'attarde beaucoup (trop) sur la romance entretenue entre certains de ses personnages. Je n'ai jamais rien contre les histoires d'amour, mais seulement si elles ne prennent pas une place démesurée au dépend du reste de l'intrigue... or c'est justement le cas ici. le côté « romance » n'est d'ailleurs pas très en phase avec l'étiquette « dark fantasy » accolé au roman par l'éditeur, un problème marketing qui devient décidément récurrent ces derniers temps (il serait temps de comprendre que comparer un auteur à des mastodontes du genre n'est absolument pas lui rendre service et fausse au contraire les attentes du lecteur... )

Pour ce qui est des personnages, j'ai été particulièrement sensible à ceux qui n'occupent pas le devant de la scène : la morguenne des Havres capable de jouer avec le vent ; la Soeur de l'épée cherchant à résoudre le mystère de la disparition des enfants de la région ; la vouivre capitaine de navire... Je serais plus nuancée en ce qui concerne les protagonistes auxquels j'ai moins accroché, à l'exception notable de Sainte-Etoile et de son « monstre » Morde (à propos duquel j'aurais d'ailleurs bien aimé avoir davantage d'explications). Maëve, elle, est beaucoup trop obnubilée par ses affaires de coeurs (même si j'ai été sensible à son attrait pour l'aventure et l'océan) ; Sorenz et Wens sont trop « parfaits » et ont des comportements parfois difficiles à trouver plausibles ; quant à Janosh, le personnage est effectivement prometteur mais pas assez développé pour suffisamment capter l'intérêt du lecteur. Enfin, j'avoue avoir été assez gênée par le côté « romance gay ». Entendez-moi bien, je n'ai aucun problème avec les relations homosexuelles et je trouve même plutôt positif qu'un auteur cherche à inclure davantage de diversité dans ses romans. Seulement dans le cadre qui nous est décrit ici cela ne colle tout simplement pas : on est censé être dans une société qui désapprouve ce genre de comportement et pourtant un nombre incalculable de personnages tombent au premier regard sous le charme d'une personne de même sexe, sans en être surpris une seule seconde et sans chercher à vraiment s'en cacher (cela peut sembler secondaire mais j'avoue que cela m'a sorti à plusieurs reprises du roman).

Lecture en demi teinte, donc, pour « Les Seigneurs de Bohen » qui dispose d'un univers certes intéressant porté par une belle plume mais dont l'intrigue aurait gagné à se focaliser davantage sur cette histoire de révolution au lieu de s'attarder autant sur les émois des protagonistes. Nul doute que le roman trouvera son public, simplement je n'en fais cette fois pas partie.
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A la place d'une Dark Fantasy « épique et spectaculaire », Estelle Faye vous propose en fait une Paranormal Romance évitant de façon maniaque toute scène d'envergure

La quatrième de couverture parle de « roman de dark fantasy spectaculaire et épique, dans la lignée de Joe Abercrombie ou de Glen Cook », mais on se retrouve en réalité avec de la Paranormal Romance Gay d'une grande mièvrerie et qui, au mépris de l'aspect Flintlock également présent, fait passer au troisième plan la Révolution qui est supposée être au coeur de l'histoire au profit des transports amoureux des protagonistes (et d'un message social contre les intolérances / pour la liberté sexuelle et la libération de la femme -notamment sur le plan professionnel-). Deux des personnages principaux, loin des codes de la Dark Fantasy, sont d'ailleurs des Bishōnen (hommes d'apparence délicate, androgyne, voire carrément féminine) sortis tout droit d'un manga / anime. Si vous pensez que la Dark Fantasy peut s'accommoder de personnages mercenaires au teint de rose et aux cheveux soyeux, dépourvus de la moindre cicatrice, au mépris des codes du genre qui privilégient les protagonistes patibulaires et burinés, allez-y, sinon, fuyez.

Bref si l'aspect « dark » est en effet présent, il est trop noyé dans des éléments qui ne correspondent pas aux codes du genre pour remporter l'adhésion des puristes. L'aspect épique et spectaculaire, vanté lui aussi par la quatrième de couverture, je le cherche encore (en même temps, avec des batailles réglées en quelques lignes lapidaires…), tout comme le magicbuilding, aux abonnés absents (ce qui, vu la présence très importante d'éléments surnaturels, est un comble). L'impression d'ensemble est celle d'un livre peu maîtrisé (avec de grosses incohérences en terme d'intrigue et de worldbuilding), relevant globalement plus du Young adult que de la Dark Fantasy pour adultes : autant dire qu'on est très loin de la comparaison fantaisiste avec Cook et Abercrombie, de grands écrivains maîtrisant avec brio leur sujet. le soin quasiment maniaque avec lequel l'autrice évite toute grande scène potentiellement immersive, spectaculaire ou épique est juste extraordinaire. Ce qui n'aurait pas posé de problème si ce roman avait été présenté comme intimiste, et pas comme « épique et spectaculaire » : là, il y une discordance absolument énorme entre le marketing et la réalité concrète.

Le seul intérêt que je trouve à ce livre est une atmosphère fantastique très agréable, des influences slaves qui le démarquent du tout-venant de la fantasy francophone, et bien entendu la présence de canons et d'armes à feu, ainsi que le contexte Révolutionnaire, qui l'inscrivent dans le mouvement Flintlock Fantasy. Toutefois, dans chacune de ces catégories (ainsi, bien entendu, qu'en Dark fantasy), vous pouvez trouver largement mieux, surtout si vous lisez l'anglais. Si vous êtes intéressé par une exploration au travers d'un prisme Fantasy de la Révolution, on vous conseillera plutôt de vous tourner vers McClellan ou Wexler, nettement plus pertinents (le second proposant également une romance gay autrement plus intéressante). Pour l'aspect civilisation slave + mousquets / canons + magie, les anglophones auront tout intérêt à aller plutôt vers Bradley P. Beaulieu. Enfin, pour de la Fantasy Gay-friendly, préférez Rien que l'acier de Richard Morgan, incomparablement plus solide.

Bref, un livre qui se destinera essentiellement au fan de l'autrice, au novice en Fantasy, au lecteur de Young Adult ou de Paranormal Romance, ou au lecteur non-anglophone. le fan de Cook, d'Abercrombie et de Dark Fantasy / Fantasy épique ira, lui, voir ailleurs si l'herbe est plus verte (et elle l'est).

Ce qui précède n'est que la conclusion / le résumé de ma critique : retrouvez l'argumentaire et l'analyse complète sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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Il m'a fallu presque un mois pour lire ce roman de fantasy !
C'est long ce genre de roman quand on n'est pas emballé...
La lecture était pourtant assez plaisante car Estelle Faye nous propose un univers plutôt cohérent et digne de la bonne fantasy. Cependant, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages principaux, Saint-Étoile, sorte de chevalier errant, et Maeve, la morguenne, sorcière des océans. Je les ai trouvé tous deux sans saveur et leur vie amoureuse, voire sexuelle, ne m'a pas franchement touchée. Ce qui est bien dommage car cette dimension prend une place importante dans le roman.
Heureusement leur chemin a croisé des personnages méritant un peu plus d'attention.
L'intrigue politique est somme toute assez basique. Un Empire à renverser, quelques mercenaires feront l'affaire. Ajoutons à cela un peu de magie et le tour est joué.
Enfin en ce qui me concerne, le tour a tout de même eu du mal à prendre.
Que ce fut long !
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"Un roman de dark fantasy spectaculaire et épique, dans la lignée des oeuvres de Joe Abercrombie ou de Glen Cook " en définitive si l'on peut considérer que le dernier roman d'Estelle Faye entre bien dans la catégorie de la dark Fantasy il n'a en revanche rien de spectaculaire, rien d'épique mais surtout ne s'apparente en aucune manière à un roman de Joe Abercrombie de près comme de loin.
Sincèrement c'est une terrible désillusion que ces seigneurs de Böhen et il en ressort une déception non moins aussi forte que l'attente fébrile qui en aura précédé la lecture.
Déjà le scénar, en fin de compte je crois que je n' ai rien pané du tout, que ce soit les justifications de cette révolution qui couve, les motivations des différents personnages, c'est clairement très confus et parfois précipité quand il s'agit d'accélérer le rythme du récit pour faire avancer les choses, car sa patine grave. Au niveau de l'action et de l'épique on est quasiment au niveau du zéro absolu, sur ce plan il ne se passe pour ainsi dire rien ou si peu.
Honnêtement j'ai vraiment le sentiment que l'auteure a clairement privilégié l'aspect romance-drama à tout le reste, à la limite le reste ce n'est qu'un background pour Estelle Faye même, une simple toile de fond car tout réellement tourne autour des sentiments et des pulsions sexuelles des personnages.
Personnages qui ont en commun la même attirance vers d'autres personnages du même sexe, et si la chose me fait sortir de ma zone de confort, je n'ai pas trouvé non plus que les relations qui en découlaient transpiraient d'authentisme.
Seigneurs de Böhen est selon moi un livre mal vendu par l'éditeur, qui risque de décevoir car en définitive il n'aura pas trouvé son vrai public cible.
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critiques presse (3)
Syfantasy
02 mai 2022
Roman crépusculaire oui, qui prône la résilience d'un peuple. Tous les ingrédients d'une belle fantasy sont présents, alors c'est un sombre mais magnifique voyage qui vous attend...
Lire la critique sur le site : Syfantasy
SciFiUniverse
01 octobre 2019
L'écriture fluide et agréable d'Estelle Faye porte un récit qui sort des sentiers battus et fait du bien. Le roman est autonome mais une suite se déroulant 15 ans après la révolution, Les Révoltés de Bohen est disponible.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Elbakin.net
13 février 2017
Une intrigue diablement maîtrisée et qui monte en puissance tout au long du roman, avant un final attendu qui ne nous déçoit pas au bout du compte.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
- Sorenz… Il était comme la poudre. Comme les feux d'artifice. Comme tout ce qui possède une lumière trop intense pour ce monde, ce qui réchauffe et brûle à la fois. Il n'était pas de ceux qui vivent, qui s'éteignent doucement dans leur grand âge. Il était de ceux qui explosent, qui éblouissent, qui traversent l'existence comme une étoile filant en plein ciel, comme un éclat de grenade. Je l'ai su dès que l'ai vu. J'ai su que je ne devais pas m'attacher à lui. Je l'ai fait quand même.
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De toute façon, Othylie faisait et défaisait les modes. Si demain, elle décidait de paraître coiffée d'un cygne mort, toutes les élégantes du Palais enverraient leur garde-chasse en abattre un d'emblée.
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Les sabbats des sorcières secouaient plus que de coutume les forêts des Sicambres, et des démons à la peau rubescente entraînaient hors des vallées les filles un peu trop sages pour les rendre au monde sauvage, au royaume des bois, des brumes et des eaux. Cet hiver-là, les manifestations étranges, ou du moins inhabituelles, se multiplièrent dans l'Empire. Certains, après coup, déclarèrent avoir vu là des signes avant-coureurs des événements à venir.
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Dès les premiers mots, il prit une dimension nouvelle. Il parut grandir sans aucune magie. Les murs n'avaient pas bougé. Pourtant, Sigalit crut voir l'horizon s'ouvrir. Les paroles de l'homme au singe n'avaient aucun pouvoir surnaturel, pas comme les vocables défendus des Essènes ni les incantations du Royaume Vide. La voix du marinier était rauque, éraillée. Mais il n'avait pas besoin d'un timbre chaleureux. Il n'avait pas besoin de sortilèges. Car ses mots, et la conviction qu'il y mettait, résonnait dans le coeur de Sigalit comme aucun autre avant. Il parlait de changement. Il expliquait que le peuple pouvait renverser un Empire, que cela s'était déjà vu, que cela se verrait encore. Mais aussi, il disait que les hommes n'avaient pas uniquement besoin de pain, de toits lorsqu'il pleuvait, de bois pour le feu en hiver. Ils avaient besoin d'être libres. Libres quels que fussent leurs talents, leurs religions, leurs amours. Libres de pratiquer la magie, de vénérer le Verbe Créateur, le Feu ou la Dame des Mers tant qu'ils laissaient en paix leurs contemporains. Libres d'aller et venir dans tout l'Empire, sans servage, sans péage, sans murs et sans barrières. En l'écoutant, en absorbant ses paroles à l'unisson de l'auditoire, Sigalit comprit qu'il n'y avait pas que la magie, que les golems qui pouvaient abattre les grilles du ghetto. Il n'y avait pas que les chiens de guerre et la poudre qui pouvaient renverser les seigneurs et les maîtres. Il y avait la colère, et il y avait l'espoir.
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" Les humbles se battent et souffrent pour que les puissants gardent leur trône. Ainsi va le monde."
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Vidéo de Estelle Faye
Reprendre corps
Réécrire l'Histoire et les histoires, se réapproprier le corps du texte. Si le langage forme notre façon de penser, les légendes et mythes fondateurs façonnent notre perception du monde. Et si nous avons les mythes en commun, c'est bien pour les questionner, les interpréter et faire un lieu où l'imaginaire peut influencer le réel.
Animé par Willy Richert.
Avec les auteur·rice·s Estelle Faye (La Dernière Amazone, Rageot), Murielle Szac (L'Odyssée des femmes, L'Iconoclaste et L'Odyssée d'Homère, RMN), Stéphane Bientz (Le Goût du sel, Espaces 34) et Nicolas Jaillet (Frater, In8).
Avec la participation de Faustine Aynié-Yvinec et des élèves de 3eA du collège Valmy - Paris (75). Un grand merci à Eva Mouillaud, professeure.
Et la voix de Cécile Ribault Caillol pour Kibookin.fr
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