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Critique de argali
Après « La petite marchande de rêves » et « La poupée de porcelaine », voici le dernier tome de la trilogie mettant en scène Malo, un jeune garçon de treize ans.
Comme dans les tomes précédents, Malo rejoint, par accident, le Royaume des Ombres -de l'hiver cette fois- et nous plonge à nouveau dans un univers onirique où cohabitent fées, monstres, arbres vivants, fleur étrange et drôles d'animaux. Ce Royaume n'est accessible qu'aux enfants et aux rêveurs capables de croire en la magie et à l'espoir.
Ici aussi, Malo aura une quête à réaliser afin de briser le sortilège qui le retient au Royaume des Ombres. Aidé de la Fée des Glaces, il devra affronter de nombreux périls avant de trouver sa voie. Dans le secret des montagnes, Malo découvrira que les frontières entre le monde réel et le Royaume des Ombres sont plus minces qu'il n'y paraît.
Comme pour les tomes précédents j'ai apprécié la couverture et ses couleurs tendres ainsi que les illustrations de Louise Robinson qui parsèment le récit. J'ai par contre trouvé un peu lassant le langage particulier des habitants du Royaume des Ombres. Point trop n'en faut.
Un conte poétique et merveilleux, qui devrait plaire malgré tout aux petits et aux grands ayant gardé une âme d'enfant.
Comme dans les tomes précédents, Malo rejoint, par accident, le Royaume des Ombres -de l'hiver cette fois- et nous plonge à nouveau dans un univers onirique où cohabitent fées, monstres, arbres vivants, fleur étrange et drôles d'animaux. Ce Royaume n'est accessible qu'aux enfants et aux rêveurs capables de croire en la magie et à l'espoir.
Ici aussi, Malo aura une quête à réaliser afin de briser le sortilège qui le retient au Royaume des Ombres. Aidé de la Fée des Glaces, il devra affronter de nombreux périls avant de trouver sa voie. Dans le secret des montagnes, Malo découvrira que les frontières entre le monde réel et le Royaume des Ombres sont plus minces qu'il n'y paraît.
Comme pour les tomes précédents j'ai apprécié la couverture et ses couleurs tendres ainsi que les illustrations de Louise Robinson qui parsèment le récit. J'ai par contre trouvé un peu lassant le langage particulier des habitants du Royaume des Ombres. Point trop n'en faut.
Un conte poétique et merveilleux, qui devrait plaire malgré tout aux petits et aux grands ayant gardé une âme d'enfant.
