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Critique de Nastie92
La calligraphie m'a toujours fascinée.
Sous une fausse simplicité apparente, ce qui peut sembler n'être qu'un ensemble de traits posés sur le papier nécessite un entraînement long et rigoureux. Une attention et une application extrêmes.
L'ordre des traits, le sens du tracé, l'épaisseur, l'équilibre, l'harmonie globale... tant de paramètres interviennent dans cet art subtil.
Maître Kuro y consacre son existence et Maxence Fermine nous fait découvrir cet homme peu ordinaire.
La vie du maître n'est que douceur et harmonie, exigence et abnégation. C'est une vie paisible à l'écoute de la nature.
L'arrivée de la belle Yuna va-t-elle troubler ce quotidien si bien réglé, ou le zen va-t-il triompher ?
Maxence Fermine m'avait enchantée dans Neige et je retrouve dans ce livre ce que j'y avais aimé : un style épuré, une écriture fine et poétique, un goût prononcé pour la beauté, un amour fou pour le Japon et sa culture traditionnelle.
La lecture de Zen fait un bien fou !
Mieux que tous les médicaments, ce petit texte apaise, calme, fait retomber toutes les tensions.
Il devrait être remboursé par la sécu, tiens ! Ou peut-être pas... les traitements simples et peu coûteux ne sont pas bien vus en ce moment...
Un texte court et percutant, qui invite le lecteur à la réflexion : et si le secret du zen était de savoir trier l'accessoire de l'essentiel ? Et surtout, de savoir mettre le premier de côté pour se recentrer sur le second ?
Une lecture toute douce mais qui laisse chez le lecteur des traces profondes.
« Ne plus courir. Apprendre à vivre et à observer. Devenir immobile. Et contempler ce qui nous entoure. Avec un ravissement toujours plus grand. Voilà le début du zen. »
Et si le zen commençait par un livre ?
Sous une fausse simplicité apparente, ce qui peut sembler n'être qu'un ensemble de traits posés sur le papier nécessite un entraînement long et rigoureux. Une attention et une application extrêmes.
L'ordre des traits, le sens du tracé, l'épaisseur, l'équilibre, l'harmonie globale... tant de paramètres interviennent dans cet art subtil.
Maître Kuro y consacre son existence et Maxence Fermine nous fait découvrir cet homme peu ordinaire.
La vie du maître n'est que douceur et harmonie, exigence et abnégation. C'est une vie paisible à l'écoute de la nature.
L'arrivée de la belle Yuna va-t-elle troubler ce quotidien si bien réglé, ou le zen va-t-il triompher ?
Maxence Fermine m'avait enchantée dans Neige et je retrouve dans ce livre ce que j'y avais aimé : un style épuré, une écriture fine et poétique, un goût prononcé pour la beauté, un amour fou pour le Japon et sa culture traditionnelle.
La lecture de Zen fait un bien fou !
Mieux que tous les médicaments, ce petit texte apaise, calme, fait retomber toutes les tensions.
Il devrait être remboursé par la sécu, tiens ! Ou peut-être pas... les traitements simples et peu coûteux ne sont pas bien vus en ce moment...
Un texte court et percutant, qui invite le lecteur à la réflexion : et si le secret du zen était de savoir trier l'accessoire de l'essentiel ? Et surtout, de savoir mettre le premier de côté pour se recentrer sur le second ?
Une lecture toute douce mais qui laisse chez le lecteur des traces profondes.
« Ne plus courir. Apprendre à vivre et à observer. Devenir immobile. Et contempler ce qui nous entoure. Avec un ravissement toujours plus grand. Voilà le début du zen. »
Et si le zen commençait par un livre ?
