C'est le
Vincent Delerm de la littérature, ce Foenkinos, il écrit toujours le même bouquin. du coup, ça se laisse lire, on est en pays connu, on savoure encore son art de l'absurde qui fait irruption au coin de la phrase, mais on n'est plus tellement surpris. Ou alors, faut pas les lire l'un derrière l'autre. Je vais attendre un peu, pour le prochain.
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