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Capitaine Hornblower tome 1 sur 10

Maurice Beerblock (Traducteur)
EAN : 9782266052979
283 pages
Pocket (25/03/1999)
4.13/5   96 notes
Résumé :
Janvier 1794: Horatio Hornblower, jeune aspirant de marine, à peine sorti de l'adolescence, embarque sur l"Indefatigable", frégate de la ligne de Sa Majesté, et découvre naïf, étonné et admiratif, le monde redoutable de la marine anglaise... Avant de se retrouver, le jour de ses dix-huit ans, prisonnier, déshonoré, aux mains d'un corsaire français ! Une première déconvenue qu'il finit par tourner à son avantage en réussissant une évasion spectaculaire.

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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Ce roman a été écrit en 1950. Il met en scène Horatio Hornblower, jeune anglais sans titre, désargenté, mais instruit, dans son premier grade à bord des voiliers de combat, cathédrale des vents, qui firent la gloire de l'angleterre à la fin du 18ième et au début du 19ième siècle. A l'époque du fameux Amiral Nelson, qui fut pour l'auteur, un modèle pour son héros.

Aspirant de marine n'est pas le premier titre de la saga Hornblower. Il s'agit de Retour à bon port écrit en 1937 où Horatio est déjà capitaine de frégate. Mais après la guerre, sous la pression populaire et devant le succès de sa série, Forester s'est fendu de nouveaux épisodes évoquant la jeunesse de son héros.

L'action de cet épisode se situe durant les guerres de la Révolution française. L'Angleterre, tout d'abord alliée à l'espagne, est en guerre contre la France. Ces derniers s'allieront ensuite avec les ibères qui rentreront à leur tour en guerre contre les Anglais.

On décrit Horatio Hornblower comme un anti-héros. Disons que ce terme peut s'appliquer à son physique ingrat, mais en aucun cas à son intellect et sa force morale. En vrai héros, il sera capable de faire face à sa peur, la surmonter et faire son devoir.

Un roman court avec des combats, des abordages, des assauts au sol, il y en aura pour tout le monde. Un vocabulaire, très "aventure maritime", crédible et passionnant. Des descriptions toute en finesse (le bourrin sanguinolant aurait paru ici déplacé).
Bref une excellent distraction.

Pour l'histoire (étant fan de science-fiction), Horatio Hornblower de C.S Forester est le modèle dont s'est inspiré David Weber pour son héroïne Honor Harrington (vous aurez remarqué les initiales) dont le premier épisode de la saga est : Honor Harrington, Mission Basilic
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Voici une (assez longue) critique comparative entre 2 auteurs de livres d'aventures marines : C.S Forester et P. O'Brian. Elle porte sur les 2 premiers romans des « aventures de Jack Aubrey ». Et les 10 romans de la série des « Capitaine Hornblower » dont Lieutenant de Marine est le premier volume.
Je rajouterai aussi des conseils de lecture.
Les livres :
Forester : Collection Omnibus.
Tome 1 (environ 1200 pages) regroupant les romans :
Aspirant de marine, Lieutenant de marine, Seul maître à bord, Trésor de guerre, Retour à bon port
Tome 2 (environ 1100 pages) : Un vaisseau de ligne, Pavillon haut, le seigneur de la mer, Lord Hornblower, Mission aux Antilles.
2300 pages de plaisir.
Et O' Brian : Collection Omnibus : les 2 premiers romans (sur les 4) : Maître à bord, Capitaine de vaisseau…qui m'ont suffit car…Aubrey m'énerve 😊 ou dit autrement : après Forester, lire du O'Brian est…fatiguant. Et je le prouve.
Le style : Je comparerais Forester à Dumas dont je viens de terminer la lecture de plusieurs dizaines d'ouvrages. Lecture aisée, revigorante.
Dumas, qui maîtrise le suspense depuis les premières pages de ses romans (-feuilletons), que je n'avais pas commencé à lire avant 2020 est devenu l'un de mes « maîtres-étalon 😊» des récits d'aventure et de psychologie humaine.
Avec Forester, les 2-3 premiers romans peuvent présenter quelques passages un peu difficile à suivre (j'y reviendrai dans les conseils de lecture). Mais une fois que Hornblower nous tient, il ne nous lâche plus. A chaque fin de chapitre, on a envie de savoir la suite, on postpose de 10-15 min ce qu'on doit faire…vous voyez ce que je veux dire ? 😊
L'auteur nous capture et nous fait vivre des aventures palpitantes et aussi étonnant qu'il paraisse, très diversifiées (on ne s'imagine pas le type de mission qui peuvent être confiées à un capitaine de vaisseau ni de la marge de manoeuvre dont il dispose.
Au fil des romans, Horatio Hornblower mûrit et nous apparaît dans toute sa complexité. L'auteur est précis et constant dans la qualité de ses ouvrages. Quelques traits d'humour viennent régulièrement émailler son récit. L'action est bien préparée et l'auteur nous immerge graduellement dans l'esprit et les réflexions du personnage qui pour un temps est considéré comme…Dieu (je ne blague même pas là… il faut en avoir lu au moins 2 – 3 ouvrages pour commencer comprendre et à…respecter cela).
Et nous découvrons l'homme amoureux quand se relâchent les tensions provoquées par les incroyables contraintes hiérarchiques, le respect du protocole, la mesure des risques associés aux différentes options, … bref une série de romans 4/5 – 4,5/5.
Comparer O' Brian à Forester, à travers leurs héros respectifs reviendrait à qualifier le premier de « bipolaire » 😉… par rapport au second.
Pour un amateur de Hornblower c'est extrêmement troublant de lire les aventures de ce Jean-Foutre de Aubrey 😊 😊. Et fatiguant aussi : « mais qu'est ce qu'il fiche ce capitaine…jamais Hornblower n'aurait fait ou laisser faire çà… 😊)
Autant Horatio intrépide en cas de nécessité, prudent et respectueux des règles, de la hiérarchie, de la santé de son équipage (lutte contre l'ivrognerie des matelots, …)…autant Jack Aubrey est «…foutraque ».
Dès les premières pages on comprend qu'il couche avec la femme de son supérieur hiérarchique, M. Harte qui s'en doute. Or, vu m'arme (la Navy), en lisant Forester on comprend qu'il ne faut jamais, jamais, jamais se mettre à dos son supérieur… 😊
En fait Aubrey célibataire ne pense qu'à sa queue et ne rate pas de faire tout haut une blague salace à une Lady lors d'une party à laquelle assistent le Gouverneur et ses supérieurs hiérarchiques. « Shocking ». Il s'étonnera après cela qu'on lui en veut un tantinet…
Alors que Horatio se marie très tôt (avant son premier commandement), l'expérience de la vie le lui fait regretter : très rapidement il sent qu'il n'est pas fait pour cela.
Il respecte le serment du mariage, mais il tombe amoureux…Très belle histoire d'amour émaillée de hauts faits d'arme. Belle plongée dans les moeurs de la société de l'époque.
La série des Hornblower est une lecture dont on sort avec plus de « cohérence de vie » et d'envie de « bien faire son travail, de respecter ses proches, …
Aubrey lui, est individualiste, complètement demeuré en fait, il fait penser à un ado (mdr).
A tel point que je me suis demandé si ce ne serait pas le reflet de son auteur… tant le style de O'Brian est déconcertant.
Toutes les 4-5 pages, il commence un paragraphe et…soit on ne sait pas (de) qui (on) parle avant de lire 5-20 phrases, soit il change de lieu mais ne dit rien ! En général, la description des lieux est (trop) réduite. Ou alors O'Brian nous balance plus d'1 page de descriptif sur un…banc de sable (que j'ai passé au bout de 20 lignes en râlant un peu : on est en pleine préparation de bataille navale) ! En résumé, un style et un rythme irrégulier qui nous sort quelque fois complètement du récit : on se pose des questions, on relit,…on est fâché. On fait l'effort de continuer plutôt que d'envoyer le bouquin par la fenêtre 😉.
Au début c'est bizarre, mais après un certain temps, on…s'habitue 😊.
Car O'Brian a quand même certains talents. D'abord il met en scène un docteur (Stephen Maturin) avec qui il partage la vedette. Stephen est un homme de science, et l'auteur surprend régulièrement le lecteur par la profondeur de ses réflexions philosophiques ou de ses observations naturalistes.
Puis les scènes d'action plus courtes (mais moins nombreuses) que celles de Forester n'en sont pas moins aussi excitantes.
Aussi, comparé à Horatio Aubrey en a peu dans le ciboulot … l'égalité survient quand on compare leur qualité de marin : mélange de connaissance et d'intuition qui leur permet de savoir toujours plus ou moins où ils se trouvent, comment va tourner le vent, comment doper les performance de la coquille de noix qu'on leur confie au début en « arrangeant » tel ou tel élément constructif pour gagner ½ mille à l'heure,…
Mais soyons clair : en étant aussi immature que Jack Aubrey on ne peut diriger un vaisseau dont une partie non négligeable est composée de gibiers de potence (provenant des prisons des environs). C'est im-pos-si-ble.
Quelle serait la source de cette différence majeure entre ces personnages ? Peut-être l'époque de leur géniteur ? Entre 2 guerres pour Forester (1935), Peace and love – mai 68 pour O'Brian (1970).
O'Brian nous amène à découvrir les affres de l'insolvabilité pour les Capitaines de l'époque qui auront littéralement pourri la vie de Jack. Un récit donc chez O'Brian fait de hauts et de bas et ponctués d'incohérences, défaut que je n'ai pas relevé chez Forester.
Forester s'est renseigné : il donne l'impression d'avoir lu et sélectionné des articles du Journal de l'Amirauté de l'époque. Pour O'Brian j'ai des doutes. En effet…
On ne peut pas imaginer que la Navy soit arrivée à la maîtrise des mers avec des Capitaines comme Aubrey. A la grande époque Napoléon était inarrêtable sur les terres. Mais l'Angleterre régnait sur les mers ! Comme la Russie à l'Est, l'Angleterre à l'ouest s'est retrouvée quasi seule (vu l'écart géographique) face à un adversaire qui réunissait la plupart des pays européens et qui était loin d'avoir un comportement…démocratique.
Je suis tout de même eu de la chance, moi qui aime la mer, d'avoir commencé à lire des aventures marines par Forester. Avec O'Brian, j'aurais refermé le bouquin en me disant : « plus jamais ça ».
Le point positif par rapport à certains livres contemporains : les 2 auteurs nous font le plaisir de ne pas revenir régulièrement en arrière avec des flash back écoeurant qui cassennt l'élan d'un récit, comme le font de plus en plus souvent les auteurs modernes lorsqu'ils écrivent des séries (voir ma critique de Gemmel : Troie).
Conseils de lecture. S'aider d'un smartphone à côté de soi. Pourquoi ?...
Il y a des illustrations tout devant et…tout à l'arrière des livres. C'est bien d'apprendre (presque) par coeur certains termes (le nom des mâts et des voiles, proue et poupe, au vent et sous le vent,…) et de
Trouver sur google (par exemple) un dictionnaire de marine qui vous convient.
Prenez un peu de temps au début, vous aurez un plaisir décuplé au moment des batailles navales, quand vous serez pris par l'élan...
J'ai beaucoup aimé utiliser l'appli Google Earth : dès qu'un port était cité, je le trouvais sur l'appli et je choisissais une position et une vue du paysage décrit dans les livres…c'est aussi un excellent moyen d'immersion dans le récit.
Je vous souhaite beaucoup de plaisir avec Forester dont j'ai dévoré les aventures de Horatio Hornblower : je compte lire d'autres romans de lui.
Pour O'Brian, je vais…patienter et m'armer de courage avant d'en relire une page 😊
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Je tente un genre de lecture différent : un roman de batailles navales au temps des grands voiliers.

Au tournant du 19e siècle, un jeune aspirant de marine s'embarque sur une frégate anglaise. Il n'est pas costaud, le gringalet souffre même du mal de mer, mais il a beaucoup d'intelligence et surtout beaucoup d'honneur. Il grimpera donc de façon intrépide dans les voiles, même s'il est mort de peur, parce que c'est son devoir. Fidèle à la parole donnée et capable de risquer sa vie pour sauver celle des autres, même des ennemis, c'est un coeur de véritable héros!

Cet Horatio Hornblower est sympathique, un personnage dont les aventures sont « considérée comme un classique de la littérature maritime » (selon le 4e de couverture).

Un texte agréable, de l'action, des péripéties parfois cocasses, dans un décor tout à fait dépaysant, une belle découverte!
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Lorsque Cecil Scott Forester fait l'acquisition, chez un bouquiniste, des trois tomes imposants de "Naval Chronicles" il est un écrivain à succès de romans policier, un journaliste talentueux et un scénariste courtisé par Hollywood.
Il écrit, entre autres, à cette époque "African Queen" dont l'adaptation cinématographique deviendra légendaire.
Sur un coup de tête, il quitte Hollywood, sur un cargo suédois et fait de nombreuses escales sur les côtes d'Amérique centrale avant de regagner l'Angleterre.
Et là tout commence.
Le premier tome de cette formidable saga prend naissance dans l'esprit de son auteur.
Forester croit écrire un livre isolé, lorsqu'en 1937, il fait le récit des aventures du capitaine de frégate Hornblower dans "Retour à bon port".
Mais il ne se défera jamais de son personnage et écrira plus d'une dizaine d'ouvrages racontant les aventures de ce marin anglais du début du dix-neuvième siècle.
Forester mena toujours en parallèle une carrière de journaliste talentueux et d'écrivain prolifique, écrivant des livres tels que "Coulez le Bismarck" ou "le grain de sable".
Dans ce premier tome chronologique, écrit en 1950, le jeune Horatio Hornblower embarque sur la frégate de ligne de sa majesté "l'Indefatigable" avant d'être capturé par un corsaire français....
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Une écriture très ciselée, un souci du détail tant historique que maritime, une nation britannique de plus en plus isolée face à la jeune République française... Voici les ingrédients d'Aspirant de marine, le premier roman mettant en scène Horatio Hornblower, figure ultra-célèbre de la littérature maritime outre-Manche.
Premier dans l'ordre chronologique, mais pas dans l'ordre d'écriture et dans ce genre de cas, le lecteur se demande toujours un peu par quel bout empoigner une série. Mon choix en tout cas a été fait et je ne regrette pas cette lecture. le seul bémol est peut-être le manque de relations humaines un tant soit peu détaillées: Hornblower est le personnage principal et tous les autres ici sont des figurants.
Évidemment, je n'ai pu m'empêcher de faire des comparaisons avec ma série maritime préférée, les aventures, et mésaventures, de Jack Aubrey par le grand Patrick O'Brian, où son amitié avec Maturin est un des gros points forts, mais il est difficile de comparer sur un seul roman quand j'ai dévoré toute l'autre série: il ne reste donc qu'une chose à faire, très logiquement; relire tout Patrick O'Brian puis lire toutes les aventures du Capitaine Hornblower!
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
- Monsieur Hornblower, dit cérémonieusement le capitaine Keene, je suis heureux de cette occasion de vous souhaiter la bienvenue à mon bord.
- Oui, Monsieur.
(...)
- Vous avez... voyons... dix-sept ans ?
Keene avait pris en main le papier qui, sans doute, devait retracer la brève carrière officielle de son visiteur.
- Oui, Monsieur.
- 4 Juillet 1776, fit Keene entre ses dents à la lecture de cette date. Cinq ans avant le jour où j'ai été nommé capitaine ! A votre naissance j'étais lieutenant depuis six ans.
- Oui, Monsieur.
Le fait ne paraissait appeler aucune réponse.
- Fils de médecin ! Vous auriez dû choisir pour père au moins un lord, si vous vouliez faire seul une carrière !
- Oui, Monsieur.
- Votre instruction, jusqu'où a-t-elle été poussée ?
- J'étais latin-grec à l'école, Monsieur.
- De sorte que vous pouvez traduire mot à mot Xénophon et Cicéron ?
- Oui, Monsieur. Mais pas très, très bien.
- Il serait préférable que vous eussiez quelques notions des sinus et des cosinus, que vous puissiez prévoir un grain assez tôt pour carguer à temps les perroquets. On n'a pas besoin d'ablatifs absolus dans la marine !
- Oui, Monsieur.
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la chaloupe accosta le long de la jetée et s'amarra solidement . Des bonshommes assis à l'ombre finirent par tourner les yeux, certains même la tête, pour examiner l'équipage du canot anglais . Quelques Maures au teint bronzéparurent sur les ponts des chebecs,d'oùils regardèrent la scène . Deux ou trois d'entre eux crièrent quelque chose .
--Ils doivent parler des ancêtres des infidèles !dit Tapling en riant . Mais si les coups font mal, les paroles ne m'ont jamais blessé, surtout lorsque je ne les comprends pas .Où diable est notre homme ?
-- Personne en vue ! dit Hornblower . Personne, en tous cas, qui ait l'air d'un chrétien !
Mais notre homme n'est pas chrétien ! dit Tapling . La peau blanche, oui, mais pas chrétien .Blanc par courtoisie, dirais-je .Mélange de Français,d'Arabe, de Levantin . Consul à Oran de Sa Majesté britannique, du moins pour l'instant,et musulman par opportunisme . Notez qu'être un vrai croyant présente des inconvénients sérieux . Qui voudrait avoir quatre femmes à la fois,surtout quand on jouit du privilège discutable de devoir s'abstenir complètement de vin ?
.
[ page 222 ]
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Un chance sur deux ! Il pouvait mourir. Sa conscience pouvait cesser d'être ; son corps, qui était chaud,serait froid ! Et, chose presque incroyable, le monde continuerait à tourner, à tourner sans lui.
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Hornblower regarda longtemps les côtes de France que le soir commençait à draper d'ombre. C'était la fin d'une aventure, d'une tentative de son pays pour écraser la Révolution française: elle avait été repoussée au prix de beaucoup de sang versé. Les journaux de Paris allaient exulter; la Gazette de Londres accorderait à l'incident cinq lignes froides. Mais Hornblower y voyait clair: il prévoyait que, d'ici une année, le monde se souviendrait à peine de l'affaire. Dans vingt ans, elle serait oubliée. Pourtant, il y avait les corps décapités de Muzillac, les habits rouges fracassés, les Français atteints par la mitraille de Bracegirdle; tous étaient aussi morts que si le cours de l'histoire avait été renversé.
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(…) Et musulman par opportunisme. Notez qu'être un vrai croyant présente des inconvénients sérieux. Qui voudrait avoir quatre femmes à la fois, surtout quand on jouit du privilège discutable de devoir s'abstenir complètement de vin ?
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