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Critique de Etherckhos
En fait de prix de l'argent, on a surtout l'impression que Francq et Van Hamme ont cédé à la muse de celui des éditeurs.
Anciennement une série qui avait le courage de s'aventurer sur un terrain glissant depuis deux dizaines d'années, celui de dire qu'il n'y a pas que des pourris chez les puissants de ce monde, il ne reste plus grand chose de cela dans cet album.
Tout l'album est une lourde insistance sur la transformation de Largo par l'argent ; tout le monde de l'entreprise est, une fois de plus, traîné dans la boue, pour ne montrer que ses défauts, sans plus chercher à faire poindre ses qualités.
On perd les deux acolytes de Largo pour se récupérer un nouveau personnage secondaire unique sorti d'un chapeau, et l'histoire se traîne lamentablement ; d'un scénario qui devait tenir sur une feuille A4, caractère 12", le duo nous pond un album qui n'est qu'un premier volet d'un nouvel arc scénaristique.
De fait, tout ce qu'il reste c'est un héros mal dégrossi qui parcourt les États-Unis en jet privé pour laver son nom et se faire piéger comme un enfant de choeur, une fois de plus... Plus aucune originalité, et les traits bien trop simplistes, en de nombreux moments, sautent aux yeux, là où on les pardonnait volontiers dans les volets précédents.
Largo Winch... Je n'y reviendrai probablement pas, ou alors à l'occasion d'un moment de profond ennui, après une débâcle telle que cet album...
Le prix de l'argent ? en tout cas, ils ne verront très certainement plus un sou du mien !
Anciennement une série qui avait le courage de s'aventurer sur un terrain glissant depuis deux dizaines d'années, celui de dire qu'il n'y a pas que des pourris chez les puissants de ce monde, il ne reste plus grand chose de cela dans cet album.
Tout l'album est une lourde insistance sur la transformation de Largo par l'argent ; tout le monde de l'entreprise est, une fois de plus, traîné dans la boue, pour ne montrer que ses défauts, sans plus chercher à faire poindre ses qualités.
On perd les deux acolytes de Largo pour se récupérer un nouveau personnage secondaire unique sorti d'un chapeau, et l'histoire se traîne lamentablement ; d'un scénario qui devait tenir sur une feuille A4, caractère 12", le duo nous pond un album qui n'est qu'un premier volet d'un nouvel arc scénaristique.
De fait, tout ce qu'il reste c'est un héros mal dégrossi qui parcourt les États-Unis en jet privé pour laver son nom et se faire piéger comme un enfant de choeur, une fois de plus... Plus aucune originalité, et les traits bien trop simplistes, en de nombreux moments, sautent aux yeux, là où on les pardonnait volontiers dans les volets précédents.
Largo Winch... Je n'y reviendrai probablement pas, ou alors à l'occasion d'un moment de profond ennui, après une débâcle telle que cet album...
Le prix de l'argent ? en tout cas, ils ne verront très certainement plus un sou du mien !
