Toujours morte de rire. Je ne m'en lasserai jamais.
Ici, à la fin des gags, toutes les signatures sont illustrées la plupart du temps, ce qui n'est pas peu dire du génie créatif de
Franquin.
Une ambiance années 1970 est omniprésente et presque palpable et le personnage de Gaston a définitivement changé de nature.
Ce n'est plus le lunaire garçon de bureau sans emploi, mais un gaffeur-inventeur tendance potache.
Ses gaffes, il les invente. Enfin, ça part toujours d'une bonne intention, mais seule moiselle Jeanne est heureuse.
Prunelle voit ça d'un très mauvais oeil, Demesmaeker aussi, surtout ses contrats, monsieur Boulier, gestionnaire du moindre franc voit cela du côté finances et les voisins directs ont vu tellement de fois leurs murs écroulés ou leurs bâtiments en feu que les pompiers connaissent l'adresse par coeur.
Quand à la mouette, le chat et Jules-de-chez-Smith-d-en-face, pour eux, ça baigne.
Tiens, mais d'où vient toute cette eau ??? LAGAFFE !!!!
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