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EAN : 9791041412655
792 pages
Points (22/09/2023)
  Existe en édition audio
3.62/5   1133 notes
Résumé :
Patty Berglund est-elle la femme idéale ? Pour Walter, son mari, la réponse ne fait aucun doute : c’est oui. Épouse aimante, mère parfaite, Patty a tout bon. Mais qu’en pense-t-elle ? En renonçant à Richard, ce " bad boy " dont elle était amoureuse – et qui se trouve être le meilleur ami de Walter –, Patty a peut-être commis l’erreur de sa vie. Freedom raconte l’histoire de ce trio et capture le climat émotionnel, moral et politique des États-Unis entre 1970 et 2010... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (175) Voir plus Ajouter une critique
3,62

sur 1133 notes
La vie est faite de choix et souvent nous faisons les mauvais ou les plus confortables. Alors forcément des décennies après l'heure est arrivée de nous poser la question : qu'avons-nous fait de notre vie ? Un bon mariage, de beaux enfants qui ne deviendront jamais ce que nous voulons en faire, de l'argent, habiter un beau quartier. Oui mais après ? Patty en a fait l'amère expérience. Au lieu de suivre son Bad boy, elle choisit le bon parti, l'homme calme rassurant et travailleur. Elle sombrera dans la dépression et dans l'alcoolisme surtout quand ses enfants deviendront de jeunes adultes. L'auteur décrit très bien les désillusions du mariage, de la vie, dans un pays de liberté… Ou presque.

Faudrait-il faire les mauvais choix aux yeux de la société pour son propre bonheur ? Je ne suis pas loin de le penser.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Le premier roman de Jonathan Franzen m'avait conquis. Les corrections relatait la vie de personnages très typés mais, en même temps, qui dégageaient quelque chose de très universel. Je pouvais reconnaître beaucoup de mes proches dans plusieurs des traits de ces personnages. Mais rien n'est pareil avec cet autre roman de l'auteur, Freedom. La famille mise de l'avant ici ne m'a pas conquis. Patty Berglund, après une brève carrière dans le basketball universitaire, est restée longtemps confinée dans son rôle de femme au foyer. Walter Berglund est un politicien et un entrepreneur un peu effacé, il lutte pour la conservation d'une espèce d'oiseaux et pour la rcréation d'un refuge pour ces animaux. Et, vingt ans plus tard, que dire de leurs enfants ? Joey, le «golden boy» à qui tout semble sourire, vit de multiples tribulations à l'université alors que Jessica reste dans l'ombre. Il ne reste que Richard Katz, ancien rockeur, le meilleur ami de Walter et le confident de Patty, énigmatique, excentrique et séduisant, qui revient épisodiquement pour brouiller les cartes. Toutes ces centaines de pages pour cinq personnages !

D'ailleurs, ces cinq personnages sont trop uniques et ont une histoire trop particulière pour qu'on s'y reconnaisse (ou pour qu'on y reconnaisse qui que ce soit). Et leurs péripéties sont telles que je n'étais pas capable de me connecter à eux. Et c'est beaucoup dire, sachant que je peux facilement me mettre dans la peau d'un astronaute dans un futur pas trop lointain ou dans celle d'une jeune comtesse russe du dix-neuvième siècle follement amoureuse… Cette distance entre ces personnages et moi m'a empêché de m'intéresser à eux et, par conséquent, de profiter pleinement de cette histoire. Et ils vivent trop de choses, le lecteur ne peut digérer ce qui arrive à un personnage qu'un autre vit un drame nouveau. À la fin, trop c'est trop !

Je pourrais parler un peu de la liberté, une valeur à ce point importante dans l'oeuvre qu'elle en est le titre. Chaque personnage la véhicule à sa manière. Patty aimait Richard mais elle a choisi d'épouser Walter. Ce choix aura de lourdes conséquences… ou peut-être pas. Chaque personnage sera confronté à des choix difficiles, en d'autres mots, à la question de la liberté. Que ce soit en amour, en affaires, même quand vient le temps défendre ses idéaux ou de remettre en question la guerre en Irak ou le soutien à Israël. Mais, souvent, c'est très subtil, parfois même un lecteur pourrait passer à côté… décevant.

Bien sur, on retrouve avec joie la plume acerbe et acérée de Jonathan Franzen, qui décortique et diagnostique avec la même acuité les revers, les défauts de la société américaine. Cependant, il y avait toujours cette impression de déjà vu. Je crois que l'auteur a tout mis dans son premier roman (qui fut une grande oeuvre) et qu'il essait de répéter son exploit. Mais on ne peut réécrire le même roman ! Peut-être devrait-il délaisser les sagas familiales un moment, diriger sa plume créatrice vers d'autres types d'oeuvre ? Ne serait-ce que pour mieux y revenir. Mais qu'en sais-je, je ne suis qu'un simple lecteur. Quoiqu'il en soit, Frangent est un auteur qui m'attire, qui me rend curieux. Je lirai sa prochaine oeuvre, peu importe le sujet.
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Patty a épousé Walter peu après l'université, sans vraiment oublier Richard, le meilleur ami de Walter. « Oh Walter… Savait-il que la chose la plus attirante chez lui, durant ses mois où Patty apprenait à le connaître, était le fait qu'il était l'ami de Richard Katz ? » (p. 106) Pourtant, les Berglund sont heureux. Mère modèle, épouse dévouée et voisine idéale, Patty est une femme au foyer accomplie après avoir été une brillante athlète universitaire, animée par le même esprit de compétition et la même envie de réussir. Quand Joey, le garçon, affiche sa romance avec Connie, la fille des voisins, tout change. « Les gens se disputent quand ils s'aiment, mais qu'ils ont conservé leur personnalité et qu'ils vivent dans le monde réel. » (p. 502) Aux orties le masque de la famille idéale ! le couple Berglund se déchire : Patty et Richard se cherchent tandis que Walter se jette à coeur perdu dans un projet de sauvegarde animalière, assisté par une trop belle et trop jeune Indienne. Pourtant, Patty aime toujours Walter et Walter aime toujours Patty. « Lui et sa femme s'aimaient et se causaient une douleur quotidienne. » (p. 419)

Attention, choc littéraire ! Jonathan Franzen dissèque la famille américaine moyenne, ce modèle si illusoire et pourtant toujours convoité. L'auteur interroge également le couple comme structure d'emprisonnement et d'abolition des libertés personnelles. « Combien de milliers de fois encore […] vais-je laisser cette femme me poignarder le coeur ? » (p. 392) Sa position est claire : il préfère la liberté, sous toutes ses formes. Liberté de ne pas se marier, liberté de ne pas avoir d'enfant, liberté d'aimer à sa guise, liberté de changer d'avis et de partenaire, liberté de revenir vers son partenaire. Hélas, la liberté est difficile à gagner ou à garder et elle n'est pas héréditaire : à quel point les enfants sont-ils libres de ne pas reproduire les schémas et les chagrins de leurs parents ?

Entre politique et scandale écologique, Freedom présente une thèse qui dérange. Il est déjà notoire que l'homme est l'espèce vivante qui cause le plus tort à son environnement et à celui des autres espèces, la surpopulation menaçant toujours davantage le monde et ses richesses. « Nous en sommes maintenant à un point où toute personne raisonnablement instruite peut comprendre le problème posé par la croissance démographique. La prochaine étape est donc de faire en sorte que les étudiants trouvent cool de s'inquiéter de cette question. » (p. 466) Et s'il devenait évident que la seule façon qu'a l'homme de protéger les ressources naturelles est de cesser de se reproduire ? Sujet sensible, s'il en est et l'auteur se garde bien de répondre définitivement à la question.

La narration de Freedom navigue sur le fil temporel : prétéritions et effets dilatoires donnent au texte une grande densité sans jamais le rendre étouffant. le récit autobiographique de Patty éclaire les silences et remet les vérités en place, mais il ne prend toute son ampleur et sa puissance qu'avec la suite de l'histoire, plusieurs années après la confession écrite de l'épouse pas si parfaite. « Elle était tombée amoureuse du seul homme au monde qui aimait Walter et qui désirait le protégeait autant qu'elle. » (p. 229) Les personnages sont brillamment complexes sans être jamais confus et leur grande force est de se réinventer sous la plume d'un auteur qui les aime en dépit de leurs défauts. Quant au lecteur, il aime les personnages précisément parce qu'ils ont des défauts. Patty est follement compétitive et vraiment dépressive. Walter est pathologiquement gentil et résolument compatissant. Richard est foncièrement agaçant et profondément cynique. Joey est définitivement républicain et éternellement irrésolu. Et pourtant, aucun d'eux n'est jamais un archétype ou un monstre.

Vous êtes libres de ne pas me croire sur parole, mais Freedom est vraiment un excellent roman.
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Dix ans après "les corrections", Franzen l'entomologiste à lunettes revient ausculter ses congénères dont il fouille sans complaisance les actes et les consciences.
Cette fois-ci, c'est la famille Berglund qui passera sous la lumière crue de sa loupe, nous donnant à voir dans ce microcosme un aperçu de la société américaine des années 2000.

"Freedom" est pour moi le livre de tous les paradoxes : un récit chiant (*) où l'on ne s'ennuie pas une seconde, un rythme lent (*) qui fait tourner les pages frénétiquement, des personnages antipathiques, immatures, capricieux, égotistes pour lesquels on ressent une profonde empathie, des vies ratées qu'on a envie de vivre.

Alors pourquoi je l'ai tant aimé, ce roman? Je crois que c'est pour une raison pas très avouable car complètement égocentrique, à savoir que je l'ai ressenti comme le reflet de nos propres vies et de nos contradictions, nos grandeurs et nos médiocrités, nos aspirations et nos renoncements.

(*) Nan, c'est pas vrai.Ce n'est pas chiant et ce n'est pas lent, c'est juste long (un poil trop par moments, quand même!).

Et c'est magnifiquement écrit, c'est même une écriture qui tient de l'alchimie tant elle parvient à faire fonctionner cette histoire et l'adéquation de ces personnages au système de valeurs brouillées dans lequel ils baignent.

Bref, ce n'est pas très original, mais je suis fan de Franzen.
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Un triangle amoureux : Walter, Richard...et Patty. L'un rockeur extrêmement séduisant, l'autre écologiste avec le charme en moins du premier et les conquêtes amoureuses aussi mais d'une profonde gentillesse et respectant énormément les femmes et enfin la dernière étant tout simplement Patty. Cette dernière s'étant d'abord laissé éblouir par le charme de Richard a néanmoins compris que celui qui la rendrait heureuse serait Walter pour sa fidélité, sa douceur et sa compréhension.
Un roman que j'ai trouvé assez décevant car il traîne en longueur, narrant sur presque 800 pages ce qu'il pourrait dire en 300, faisant sans cesse des flash-back pour passer en revue toute la généalogie des trois personnages principaux.

Un roman néanmoins très bien écrit, invitant le lecteur à réfléchir sur de nombreux sujets, tels que la fidélité dans un couple, l'honnêteté envers son conjoint ou, plus complexe, l'écologie, la préservation de la planète et le respect de la nature. J'avoue que je me suis un peu perdue d'ailleurs dans ces dernières mais qui n'étaient pourtant pas dépouvues d'intérêt.
Un livre qui reste tout de même à découvrir !
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critiques presse (13)
Lexpress
17 octobre 2011
Freedom revisite brillamment, à travers le destin des Berglund (et de quelques drôles d'oiseaux), plus de trente ans d'histoire individuelle et collective. Certes, Franzen se montre bien meilleur en Norman Rockwell qu'en Noam Chomsky : s'il excelle dans les détails, il plombe par instants son récit lorsqu'il tente de regarder le monde de plus haut et tombe dans les généralités de "fond".
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LaPresse
29 août 2011
Jonathan Franzen nous convie à une formidable expérience littéraire avec Freedom, dont la structure complexe et les ambitions n'empêchent en rien un plaisir de lecture proche du «page turner».
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LesEchos
29 août 2011
La dimension politique de « Freedom » ne doit pas faire oublier l'essentiel : le récit d'une douloureuse histoire d'amour, d'un combat rageur pour le bonheur. Limer ses chaînes à chaque souffle de vie pour exister dans un monde qui étouffe : Franzen nous lance d'Amérique un revigorant appel à la liberté.
Lire la critique sur le site : LesEchos
LeFigaro
26 août 2011
Après Les corrections, le nouveau roman de Jonathan Franzen débarque avec tambours et trompettes. Du solide, mais pas vraiment le chef d'œuvre qu'on annonçait.
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Lexpress
19 août 2011
Le "great american novelist", c'est lui ! De quoi faire trembler Philip Roth sur son trône.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
19 août 2011
Son génie repose précisément sur cette distance face à un pays et à une société dont il connaît trop bien les vertus, mais aussi les vices.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeSoir
19 août 2011
De la littérature européenne du dix-neuvième siècle, il [Jonathan Franzen] a gardé l'ampleur et le goût d'approfondir le caractère de ses personnages. La modernité du siècle suivant lui permet en même temps d'écarter toute naïveté de ses livres, et de leur donner la force qu'on connaît.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LeMonde
19 août 2011
Chaque époque a ses sujets à traiter, et Franzen se tient au coeur de ce qui fâche sans jamais lâcher prise. La petite entreprise capitaliste familiale est un terrain de jeu formidable pour ce grand romancier.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeMonde
19 août 2011
Commencé comme une charge contre et une réflexion sur l'Amérique conservatrice, le livre se clôt sur cette forme sécularisée du pardon qu'est, aux Etats-Unis, le happy end.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeMonde
19 août 2011
Avec un luxe de précision inouï (noms de lieux, de personnages publics, événements récents, détails techniques), Franzen brosse le portrait d'une nation vieillie trop vite, revenue de ses idéaux et submergée par le désarroi
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Bibliobs
18 août 2011
[..] sans aucun doute l'événement de cette rentrée. [..] un monument!
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LaLibreBelgique
17 août 2011
“Freedom” de Jonathan Franzen est l’événement littéraire attendu. Un grand roman sur les USA déboussolés, dépourvus de valeurs, de l’ère Bush.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
LePoint
16 août 2011
La leçon de fresque d'une famille décomposée par le temps et l'histoire collective est que, dans ce free country que sont les États-Unis, la vraie liberté n'est pas de pouvoir faire ceci ou cela sans compromis ni compromissions, mais d'accepter d'être ce qu'on est. Freedom ou Freedom, liberté de se damner ? Le malheur est en libre-service.
Lire la critique sur le site : LePoint
Citations et extraits (126) Voir plus Ajouter une citation
Le souci, avec les gouvernements, c'est qu'ils sont elus par des majorites qui n'en ont rien a foutre, de la biodiversite. Alors que les milliardaires ont tendance a s'en occuper. C'est important pour eux que la planete ne soit pas completement bousillee, parce que ce sont eux et leurs heritiers ui auront assez d'argent pour en profiter, de cette planete.
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… Les gens parlent du caractère paisible de la nature, mais moi, ça me paraît être tout le contraire de paisible. C’est une tuerie constante. C’est encore pire que les êtres humains.
– Pour moi, dit Walter, la différence, c’est que les oiseaux ne tuent que parce qu’ils doivent manger. Ils ne le font pas par colère ni gratuitement. Ce n’est pas névrotique chez eux. Pour moi, c’est ça qui rend la nature paisible. Les choses vivent ou ne vivent pas, mais l’ensemble n’est pas empoisonné par le ressentiment, la névrose et l’idéologie.
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« ET PENDANT CE TEMPS, cria-t-il, NOUS AJOUTONS TREIZE MILLIONS D’ETRES HUMAINS CHAQUE MOIS SUR CETTE TERRE ! TREIZE MILLIONS DE PERSONNES EN PLUS QUI VONT S’ENTRE-TUER DANS LA COMPETITION POUR DES RESSOURCES LIMITEES ! ET QUI VONT ANEANTIR TOUTE AUTRE CREATURE VIVANTE AU PASSAGE ! C’EST UN PUTAIN DE MONDE PARFAIT TANT QUE VOUS NE PRENEZ PAS EN COMPTE LES AUTRES ESPECES ! NOUS SOMMES LE CANCER DE CETTE PLANETE ! LE CANCER DE CETTE PLANETE ! »
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Durant son enfance et son adolescence, à St. Paul, Joey Berglund avait reçu d'innombrables assurances que sa vie était placée sous le signe de la chance. La façon dont les demis offensifs vedettes parlent d'une longue course à travers la défense adverse, cette impression de couper et de se faufiler à toute vitesse à travers une défense qui avance au ralenti, avec le terrain tout entier aussi visible et aussi immédiatement compréhensible que dans un jeu vidéo niveau débutant, voilà comment chaque facette de sa vie lui était apparue durant ses dix-huit premières années. Le monde se donnait à lui et il était content de le prendre.
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Il ne savait pas quoi faire, il ne savait pas comment vivre. Chaque chose nouvelle qu’il rencontrait dans sa vie le poussait dans une direction qui le convainquait totalement de sa justesse, et puis la chose suivante apparaissait et le poussait dans la direction opposée, qui lui semblait tout aussi juste. Il n’y avait pas de récit dominant : il avait l’impression d’être une boule de flipper uniquement réactive, dont le seul objet était de rester en mouvement simplement pour rester en mouvement.
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Vidéo de Jonathan Franzen
C'est l'un des mots de la langue française qui a le plus de synonymes dans le langage courant. Et pourtant, c'est bien souvent un sujet tabou dans notre société, dans la vie publique mais aussi dans la sphère privée.
Notre invitée du jour a pris le sujet de l'argent à bras-le-corps, en l'étudiant sous le prisme des inégalités hommes-femmes. Dans son ouvrage "Le Couple et l'Argent", en partant du constat que les hommes sont plus riches que les femmes, Titiou Lecoq montre que cela commence dès l'enfance et que le couple accentue encore les inégalités. Au fil de son enquête, elle démonte les mécanismes qui font que l'argent n'est pas neutre, et propose des solutions concrètes pour tout changer.
Elle nous en parle au fil d'un entretien où il sera question, entre autres, de son parcours, du féminisme, d'Honoré de Balzac et de quelques propositions de réformes. Et à l'issue de ce dialogue, nos libraires du rayon Sciences Humaines nous livreront quelques suggestions de lectures complémentaires.
Bibliographie :
- le Couple et l'Argent, de Titiou Lecoq (éd. L'Iconoclaste) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21394690-le-couple-et-l-argent-pourquoi-les-hommes-sont--titiou-lecoq-l-iconoclaste
- Les Morues, de Titiou Lecoq (éd. le Livre de poche) https://www.librairiedialogues.fr/livre/4060997-les-morues-titiou-lecoq-le-livre-de-poche
- Honoré et moi, de Titiou Lecoq (éd. le Livre de poche) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18464064-honore-et-moi-parce-qu-il-a-reussi-sa-vie-en-p--titiou-lecoq-le-livre-de-poche
- Les Grandes Oubliées, de Titiou Lecoq (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18955203-les-grandes-oubliees-pourquoi-l-histoire-a-eff--titiou-lecoq-l-iconoclaste
- Crossroads, de Jonathan Franzen (éd. L'Olivier) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20911355-crossroads-jonathan-franzen-editions-de-l-olivier
- le Genre du capital, de Céline Bessière et Sibylle Gollac (éd. La Découverte) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20926495-le-genre-du-capital-comment-la-famille-reprod--sibylle-gollac-celine-bessiere-la-decouverte
- le Coût de la virilité, de Lucie Peytavin (éd. le Livre de poche) https://www.librairiedialogues.fr/livre/18362655-le-cout-de-la-virilite-ce-que-la-france-econom--lucile-peytavin-anne-carriere
- le Prix à payer , de Lucile Quillet (éd. Les Liens qui libèrent) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20915509-le-prix-a-payer-ce-que-le-couple-heterosexuel--lucile-quillet-editions-les-liens-qui-liberent
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