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A quelque chose près, on les retrouve en pleine forme, nos mémés ! ça essaie de fêter ses cent printemps, ça se cultive et ça pratique les libations sur la tombe du défunt mari, comme chez les grecs, ça fait des pronostics sur caddie de compèt qui semble avoir fait largement son temps, ça philosophe, ça entretient sa libido, ça commente l'actualité… mais on dirait des jeunettes qui s'accrochent à la vie, même, elles le reconnaissent, si elles sont bien conscientes que leur tour viendra.

J'ai parcouru ce nouvel album le sourire aux lèvres, m'attendant à tout de la part des nos héroïnes qui ne sont pas sans rappeler les Vamps qui me faisaient tant rire. On a peur du réchauffé, mais finalement l'auteur n'est pas avare de nouveauté et à chaque planche, une surprise vous attend (un sujet surprenant dans la bouche des aïeules, un caddie en cause pour un bien agréable comique de répétition, des questions d'ordre sexuel hilarantes, des prises de conscience de la jeunesse passée, une utilisation du téléphone portable qui en fait des personnes qui vivent avec leur temps … Bref des mamies très branchées et distrayantes.

Je m'aperçois à l'instant, que je n'ai pas lu le deuxième album ! je m'empresse de le trouver !
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Même dentition qu'à 6 mois
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Ce tome fait suite à #lesmémés, tome 2 : Mourir peut encore attendre (2022) qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu avant, mais ce serait se priver d'un excellent ouvrage. Il constitue une anthologie de cinquante-deux gags ayant pour personnages principaux trois mémés : Huguette, Lucette, Paulette, seules ou ensemble. Il est paru pour la première fois en 2023. Chaque gag a été réalisé par Sylvain Frécon, pour l'histoire, les dessins et la mise en couleurs. Tous les gags sauf un sont en une page. Parmi eux, douze se présentent sous la forme d'une unique illustration avec un dialogue. D'entrée de jeu, le lecteur apprécie le titre à sa juste valeur : le slogan des années 1980 d'une célèbre marque de gomme à mâcher.

DodoPipiDodo : le réveil d'Huguette sonne. Elle se lève passe aux toilettes, fait ses besoins, et va se recoucher. le lendemain au comptoir, elle déclare à ses amies Lucette et Paulette qu'elle est la France qui se lève tôt, qui va pisser, et qui se recouche. Madame Martichou : Huguette et Lucette se sont coiffées d'un chapeau conique avec des décorations de fête et se tiennent derrière madame Martichou dans son fauteuil roulant. Celle-ci s'apprête à souffler les trois bougies se trouvant sur le nombre 100 apposé sur son gâteau d'anniversaire. Elles effectuent le décompte, mais à la Trois, rien ne se passe. Libations : Lucette, Huguette et une copine de son âge se tiennent devant une tombe au cimetière. La copine est en train de leur servir un verre et elle explique que c'était une pratique courante chez les Grecs, dans l'Antiquité. Ils appelaient ça des libations. On se réunissait en famille, on ouvrait une petite bouteille et on la dégustait avec le mort, tranquille. du coup, pour perpétuer cette petite tradition, elle a fait installer un tuyau relié directement à Raymond, dans son cercueil.

String 1 : habillée, Raymonde farfouille dans sa commode et elle met la main sur un string qu'elle a porté dans sa jeunesse. Elle prend la petite pièce dé vêtement délicatement dans les mains, se déplace pour se mettre devant son miroir en pied, et positionne le string devant son bassin. Puis elle se tourne, et recommence l'opération, toujours en le tenant entre les mains, en le plaçant au niveau son ample postérieur. Elle énonce le constat qui s'impose de lui-même : on peut dire que le passage au XXIe siècle aura été fatal à son string. Mécanique : Lucette, Paulette et deux autres copines forment un cercle autour d'Huguette qui est penchée en avant en train de s'affairer sur son caddie, dont elle a disposé les pièces détachées sur des feuilles de journal, devant elle à même le trottoir. Doute : Huguette est allongée sur le divan de son psychothérapeute et elle lui fait part de ses doutes. Parois, elle a l'impression que son cerveau va exploser tellement elle a de doutes. Y en a qui ont la tête remplie de certitudes, elle, la sienne, elle est remplie de doutes. Petite question : en volume, c'est quoi qui prend le plus de place ? Un doute ou une certitude ?

Le retour d'une des séries comiques les plus transgressives : en lieu et place d'individus jeunes et en bonne santé, l'auteur a choisi des vieilles, pas simplement des personnes âgées, mais des femmes en fin de vie, diminuées physiquement, à la silhouette ravagée par le temps, des corps ayant perdu leur combat contre la gravité. le temps des projets d'avenir est passé : il s'agit maintenant de tenir un jour de plus. Ces journées sont partagées entre les courses, les siestes, les programmes télé, les enterrements et les examens médicaux : elles n'ont plus le temps de faire autre chose. L'auteur ne triche jamais avec ce principe. Huguette, Lucette et Paulette ne sont jamais représentées avec quelque once de glamour que ce soit, jamais mises en valeur physiquement. Pour autant, il ne se moque jamais d'elles non plus. Comme dans le premier tome, le lecteur découvre un gag dans lequel Huguette est nue du début à la fin, à vraisemblablement plus de quatre-vingts ans. L'artiste n'enjolive en rien son corps : seins qui tombent sous le nombril, amas de graisse au niveau de la ceinture abdominale, poils pubiens blancs, et une silhouette dessinée de manière caricaturale comme tous les autres personnages : jambes un peu trop courtes, bouche en forme de long bec, gros nez exagérément long, doigts trop fins par rapport au reste du corps, etc. Il n'y a pas de sexualisation de la personne, ni de dégoût de la chair fatiguée, ni de moquerie insidieuse, condescendante ou méprisante. de par cette approche, cette bande dessinée sort du moule des séries humoristiques.

L'artiste réalise des dessins dans un registre caricatural avec un bon niveau d'informations visuelles. Avec le premier récit, le lecteur retrouve cette forme un peu particulière pour les cases : des ellipses plus ou moins allongées, sans bordure encrée. Il se retrouve dans la chambre à coucher d'Huguette, puis ses toilettes : la couverture et le drap, la table de nuit, la lampe de chevet, le réveil, la fenêtre avec le rideau à demi tiré, les cadres avec les photographies, puis dans les toilettes la table à repasser, le balai pour les WC, le dévidoir de papier, le rouleau supplémentaire, la canalisation, et la porte, tout ça en seulement deux cases. Par contraste, le zinc du comptoir est évoqué par un seul trait et des reflets. le fait que l'artiste ne rechigne pas à la peine et la gestion de la densité d'informations visuelles permettent au lecteur de se projeter dans chaque environnement : le salon de Madame Martichou pour ses cent ans, la zone de cimetière autour de la pierre tombale de Raymond, une autre zone de la chambre d'Huguette avec la commode et le miroir en pied, le cabinet du psy avec le divan et le fauteuil, l'évier avec la pauvre coquillette toute blanchie, le rayon fruits et légumes du supermarché, puis le rayon de nourriture pour animaux de compagnie, le square municipal avec ses allées, ses pelouses et ses bancs, la table en terrasse du café, une chambre d'hôpital avec son lit et ses appareils de monitoring, et même la mer en Bretagne pour une baignade avec bonnet de bain et lunettes. de temps à autre, l'auteur souhaite focaliser l'attention de son lecteur plus sur la situation ou sur les dialogues, ce qui l'amène à réduire la représentation des décors à la portion congrue. Juste un mur aveugle quand quatre mémés se sont mises en cercle autour d'Huguette en train de vérifier les pièces détachées de son caddy. Juste l'évier au premier plan, sans aucun arrière-plan quand elle considère la pauvre petite coquillette toute blanchie qui refuse d'être avalée par l'évier. Juste la cuvette des toilettes quand Huguette, assise dessus, chante la chanson du film Titanic. Ou encore deux gags avec les personnages sur fond blanc. Au total, cela ne représente que six gags sur les cinquante-deux.

Quoi qu'il en soit, le regard du lecteur est avant tout accaparé par ces dames. La caricature permet de prendre le recul nécessaire sur leur état physique et elles ont accepté les conséquences de l'âge depuis belle lurette. Un lecteur plus jeune, lui, peut se trouver plus dans la résignation devant leurs silhouettes affaissées et alourdies, leurs toilettes démodées depuis plusieurs décennies, les grosses lunettes qui empêchent de voir leurs yeux, les postures privées de toute souplesse, les expressions de visages limitées et peu gracieuses, parfois pas du tout affables, avec une forme de franchise propre aux enfants et aux personnes âgées qui peuvent enfin moins se soucier des convenances. Alors, oui, certains moments glorieux ne sont pas épargnés au lecteur : Huguette sur les toilettes dans trois gags différents, madame Martichou dans son fauteuil roulant, une copine poussant son caddy comme un déambulateur, ou encore Huguette montrant fièrement sa dernière dent à ses deux copines, en précisant que c'est la même dentition qu'à ses six mois.

L'auteur continue de faire l'équilibriste entre un humour flirtant avec le macabre et le décalage entre l'horizon d'attente de ces êtres humains et celui du reste plus jeune de l'humanité, tout en brocardant leur quotidien. À nouveau, il se tient à distance du registre de Jean-Marc Lelong (1949-2004) avec Carmen Cru (1984-2001). Ces charmantes personnes âgées savent faire preuve d'humour et d'autodérision, parfois aux dépens de leur interlocuteur, tout en évoquant leurs souvenirs. L'auteur trouve des sources de gags dans de multiples directions, évitant la répétition : blocage de l'appareil bucco-mandibulo-maxillaire, string devenu obsolète, attachement affectif à son caddy, relativisation des moments importants d'une vie, surdité chronique plus ou moins aggravée, visite chez le médecin, crainte que ce repas soit le dernier, libido annihilée, sieste intempestive. Il glisse également quelques gags sur l'actualité comme la retraite, la France qui se lève tôt, la mort de la reine d'Angleterre, la morosité des informations, et un gag irrésistible sur le sort de Leonardo di Caprio dans Titanic.

Trois héroïnes du quatrième âge de BD : un choix aussi téméraire qu'impensable. Sylvain Frécon réalise des gags avec une narration visuelle caricaturale comme il sied à ce genre, et bien nourrie en informations, donnant à voir ces dames respectables dans toute leur décrépitude physique. La conscience de la mort est bien présente, sans pour autant que la série se laisse aller à une morbidité factice, préférant l'humour du décalage généré par le point de vue de ces personnes à la vie quotidienne bien réglée, et au recul venant avec les décennies accumulées au compteur.
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Pour commenter l'actualité, il y a les grandes chaînes d'information, les quotidiens, les réseaux sociaux.... Mais si cette actualité vous pèse, si vous avez besoin d'un peu de fraîcheur, de joie de vivre, retrouvez au plus vite Paulette, Huguette et Lucette, autrement dit "les mémés". Elles ont un avis sur tout et seront heureuses de le partager avec vous !

Alors que d'ordinaire les vieilles femmes semblent se fondre dans le décor, n'être plus là pour personne, et être totalement absentes des BD - à quelques exceptions près, comme Ma Dalton - Sylvain Frécon, illustrateur et scénariste du magazine Fluide Glacial réussit le tour de force de nous montrer trois vieilles dames qui croquent la vie à pleines dents - enfin, quand il leur en reste. Paulette, Huguette et Lucette sont totalement décomplexées et vivent leurs vies accompagnées de leur accessoire fétiche, leur caddie coloré - qu'elles appellent leur "charrette". La langue de bois, très peu pour elles ; aucun sujet n'est tabou. Il est bien fini le temps où on parlait de libido, de contraception à voix basse ! On s'exprime ! Les mémés se retrouvent volontiers devant un café ou un petit verre. Elles ont une pointe de nostalgie lorsqu'elles retrouvent le string de leur jeunesse, mais préfèrent ne pas s'attarder et accepter ce qui ne peut être changé. Elles s'intéressent à l'actualité - si déprimante qu'elles préfèrent ne rien entendre et mettre des boules Quies pour dormir - savent se servir d'un téléphone portable lorsqu'il s'agit de prendre en photo les fesses du petit plombier, et ont des amis sur facebook. Elles détestent le terme "acharnement thérapeutique". La "grande faucheuse" reste leur ennemie jurée, et elles sont capables de tout pour l'éloigner de la mère Morel qui n'est pourtant pas leur amie.

J'ai découvert l'univers des mémés grâce aux critiques publiées dans Babelio. J'aime beaucoup ces très vieilles dames un peu loufoques, à l'humour débridé, qui vivent intensément, entraînant dans leur course folle leur caddie de course... J'aime le regard bienveillant que pose Sylvain Frécon sur Huguette, Paulette et Lucette ; il nous offre, le temps d'une lecture, une autre respiration, une pause fraîcheur bienvenue.




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« Voyez-vous, nous souhaitons avant toute chose apporter un peu de féminité dans un 9e art depuis trop longtemps dominé par les Tintin, les Gaston Lagaffe, les Titeuf, et autres mâles alpha bodybuildés ! »
[ les 3 'mémés' sont face à l'éditeur ]
Ne vous emballez pas, cet extrait est le meilleur moment de l'album.
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Car oui, elles vieillissent mal, Paulette, Huguette et Lucette.
J'ai adoré les découvrir en 2021 - merci L. ! 😘
Un an plus tard, elles étaient déjà délestées de 10-20 pages et accusaient pourtant 300 grammes et 340 cm2 de plus*, et 1 étoile 1/2 de moins pour moi (pour l'humour perdu, ça).
En 2023, nouvelle chute, je passe à 3/5.
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J'ai commencé à sourire/rire tard, seulement au milieu de l'album, et pas à toutes les pages suivantes. Quoi qu'annonce le titre, ce troisième opus n'est donc pas frais : lourd, réchauffé, déjà-vu, mou, gentillet, facile.
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Je serai plus prudente avant d'acheter l'éventuel suivant. Mieux : je le lirai en librairie.
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* J'ai sorti ma règle en métal et ma balance de cuisine (passé de 240 gr à 540) ; c'est dingue ce gaspillage de papier/carton alors qu'on entre dans une pénurie - l'album est passé en grand format, et la couverture, qui était souple pour le 1er opus, est désormais reliée... Sans parler du coût du transport accru, puisqu'on en loge moins dans un même contenant, par définition...
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Une BD qui détend pendant les vacances. Ça tombe bien, je l'ai trouvé à la bibliothèque de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et lu près de la mer.

On suit le parcours de trois vieilles dames toutes droit sorties d'un film d'Audiard. En mode Tatie Danièle, elles sont prêtes à toutes les outrances et à toutes les bravades. Quand l'une d'elle photographie discrètement les fesses des plombiers, l'autre veut monter à un arbre pour « chier » sur les pigeons en représailles, et la dernière n'hésite pas à fantasmer longuement sur le string de ses vingt ans…
Bref, c'est léger, pas forcément toujours fin, mais ça n'empêche pas de réfléchir pour autant.
Cette bande de joyeuses drilles m'a fait passer un excellent moment, alors merci à Sylvain Frécon et à Fluide glacial.

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Je ne m'en lasse pas.
Quand je serai plus vieille je veux devenir comme ça.
Elles sont terribles, elles picolent et se moquent de tout et tout le monde.
Une planche pour une mini-histoire, et je fini chaque page avec un sourire jusqu'aux oreilles.
Un très bon moment de lecture
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En bref :
Encore un coup de coeur pour cette BD tellement drôle !

Les dessins :
Encore et toujours colorés, efficace et parlant. Parfois sans un mot, l'auteur réussi à faire rire le lecteur. Et pas qu'un peu pour ma part ! J'ai eu pas mal de fou rire !

L'intrigue :
Humour noir, sarcasmes, piques et autres réjouissances nourrices ce tome. Encore une fois, des Mémés bien rock'n'roll, sans filtre aucun, et surtout vraiment attachantes et drôles. L'auteur a su donner une nouvelle fraîcheur, car malgré tout, les tomes se suivent et ne se ressemblent pas !

Pour finir :
Difficile d'en parler une nouvelle fois sans trop en dévoiler.
Il n'est pas nécessaire de lire les tomes dans l'ordre pour comprendre. L'auteur n'a pas imposé un ordre.
Ca passe tout seul, ça détend, ça fait rire et c'est tout ce que j'attendais des Mémés rock'n'roll !
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Le 3e tome de la série BD « #lesmémés » est dans la continuité des tomes précédents c'est-à-dire inventif, drôle, corrosif, émouvant avec une touche de poésie et de nostalgie.

On se délecte toujours autant des commentaires sur le monde, la vie quotidienne de Paulette, Huguette et Lucette, qui n'ont pas leur langue dans leur poche.

Le meilleur de la série selon moi.

À quand le tome 4 ?
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Je me doutais au regard de la première de couverture que j'allais passer un bon moment avec cette bande dessinée. Une scène par planche mais cela suffit pour rire de ces vieilles mémés ! Et dernier petit mot pour les dessins qui sont vraiment très jolis et propres à l'auteur.
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On retrouve Huguette, Paulette et Lucette dans des tranches de vie. Il s'agit de scénettes, vous pouvez lire les tomes indépendamment.

Ce sont trois mémés que je prends plaisir à redécouvrir. On les suit dans leur quotidien dans des situations parfois cocasses, leurs visions sur le monde qui les entoure et sur leurs conditions de "mémés".

C'est un humour noir et décalé et je suis certaine que vous parviendrez à vous attacher tout comme moi à ces trois personnages haut en couleurs.

Elles me touchent, me font sourire et parfois rire.
Je ne sais pas si le fait de travailler en EHPAD influence mon avis, mais j'ai retrouvé certaines patientes dans certaines situations.

PS : toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.
Prêt à partir à la rencontre de ces mémés ?
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