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EAN : 9782130547020
61 pages
Presses Universitaires de France (10/07/2007)
3.8/5   107 notes
Résumé :
Quatrième de couverture:
« Prenons en considération la genèse psychique des représentations religieuses. Celles-ci, qui se donnent pour des dogmes, ne sont pas des précipités d’expériences ni des résultats d’une pensée, ce sont des illusions, des accomplissements des désirs les plus anciens, les plus forts, les plus urgents de l’humanité ; le secret de leur force est la force de ces désirs. »
Sigmund Freud
Traduit de l’allemand par Bernard Lorth... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Plutôt qu'une critique du très intéressant ouvrage de Freud « L'avenir d'une illusion », quelques notes rapides jetées au hasard. Ce livre vient d'être utilement republié par « Flammarion /Le Monde ». Il est enrichi d'un excellent dossier critique. Freud dans cet ouvrage s'interroge douloureusement sur l'avenir de la culture occidentale.

[« La culture humaine – j'entends par là tout ce à quoi la vie humaine s'est élevée au dessus de ses conditions animales et ce en quoi elle se différencie de la vie des bêtes, et je dédaigne de séparer culture et civilisation – présente, comme on le sait, deux faces à l'observateur. »] Elles sont le savoir faire pour dominer les forces de la nature et les dispositifs pour régler les relations des hommes entre eux et particulièrement la répartition des biens. Chaque individu est un ennemi de la culture en raison des contraintes qu'elle fait peser sur lui (déplaisir au travail et pulsions irréductibles par l'argumentation). La culture donne donc l'impression d'être imposée à une majorité récalcitrante, d'être fragile et d'avoir besoin d'être défendue.

[« le pas suivant consiste à faire la différence entre les privation qui concernent tout le monde et celles qui concernent pas tout le monde, mais simplement des groupes des classes ou même des individus. »]
Certaines contraintes sont communes à l'humanité dans leur entier (incestes, cannibalisme, meurtre…), elles procèdent dans ce cas de l'animalité originelle. Pour les pulsions les plus anciennes, des progrès de l'âme ont permis d'intérioriser les contraintes externes. le sur-moi a adopté en effet au nombre de ses commandements ces contraintes.
Par contre, lorsque l'on se tourne vers les autres exigences pulsionnelles, on remarque que seules les contraintes externes sont opérantes et qu'en leur absence les individus sont les jouets de leurs pulsions. Pour ce qui est des restrictions pour seulement des classes déterminées, elles génèrent un degrés permanent de mécontentement qui menace de détruire la culture elle-même (c'est une réflexion tout à fait prémonitoire de ce qui allait se réaliser dans les totalitarismes). Ce qui est en cause c'est « le tenir ensemble », c'est le retour à l'état de nature.
L'hostilité à la culture peut être bien entendu contrecarrée par la satisfaction d'idéaux. [«Il semble tout d'abord que ces idéaux déterminent les réalisation de la sphère culturelle, mais le déroulement effectif pourrait être que les idéaux se forment d'après les premières réalisations que rend possibles, pour une culture, l'action conjointe de dons intérieurs et de circonstances extérieures, et que ces premières réalisations soient alors maintenues par l'idéal afin d'être perpétuées. La satisfaction que l'idéal offre aux participants est donc de nature narcissique, elle repose sur la fierté d'une réalisation déjà réussie »] L'art offre également des satisfactions substitutives au renoncements culturels.

[En quoi consiste la valeur particulière des religions ? (...) la tâche est ici multiple ; le sentiment de soi de l'être humain, gravement menacé, réclame réconfort ; le monde et la vie doivent être débarrassés de leurs effrois ; en outre le désir de savoir des hommes, qui à vrais dire est impulsé par un intérêt pratique des plus forts, veut obtenir réponse.] le premier pas est d'humaniser la nature et de substituer ainsi la psychologie à une science de la nature toujours incomplète. C'est un modèle infantile connu où sans aide, abandonné de tous, l'enfant se retourne vers un père redouté mais de la protection de qui on est assuré. de façon analogue, l'être humain donne un caractère de père aux forces de la nature, il en fait des Dieux. [« Les Dieux conserve leur triple tâche, exorciser les effrois de la nature, réconcilier avec la cruauté du destin – en particulier tel qu'il se montre dans la mort – et dédommager des souffrances et des privations qui sont imposées à l'homme par la vie en commun dans la culture. »]

[« Quelle est donc la signification psychologique des représentations religieuses et sous quelle rubrique pouvons-nous les classer ? (…) ce sont des dogmes, des énoncés sur des faits et situations de la réalité externe (ou interne), qui font part de quelque chose que l'on a pas trouvé soi-même et qui revendiquent qu'on leur accordent croyance. »] Les dogmes religieux s'appuient sur trois points facilement réfutables : l'ancienneté des révélations ; des preuves transmises ; et l'interdiction de soulever la question de cette accréditation (ce dernier point montre leur faiblesse).

[« Il faut se demander en quoi consiste la force interne de ces doctrines, à quelles circonstances elles doivent leur efficacité, qui ne dépend pas de leur reconnaissance par la raison. (…) « (Les représentations religieuses) sont des illusions, accomplissant des souhaits les plus anciens ; le secret de leur force, c'est la force de ces souhaits. Nous le savons déjà, l'impression d'effroi lié au désaide de l'enfant a éveillé le besoin de protection – par l'amour – auquel le père a répondu par son aide ; la reconnaissance du fait que ce désaide persiste tout au long de la vie a été la cause du ferme attachement à l'existence d'un père – désormais tout puissant, il est vrai. »]

Freud pense qu'il y a plus grand danger pour la culture à maintenir son rapport présent à la religion qu'à le défaire. [« La religion a manifestement rendu de grands services à la culture humaine, elle a beaucoup contribué à dompter les pulsion asociales, mais pas suffisamment. »] Elle n'a pas rendu heureux la majorité des hommes, elle ne les a pas réconforté, ne les a pas réconcilié avec la vie, et doutant d'elle, elle les a rendu hostiles à la culture. Ces fondements avec la progression du savoir étant de moins en moins assurés, elle représente un grand péril si elle apparaît comme seule légitimation de la culture humaine.

[« de l'enfant de l'homme nous savons qu'il ne peut mener à bien son développement vers la culture sans passer par une phase de névrose plus ou moins nette. « ] Il s'agit du refoulement de certaines pulsions. [« on devrait supposer que l'humanité, considérée comme un tout entre au cours de son développement séculaire dans des états qui sont analogues aux névroses, et ce pour les mêmes raisons, pace que, au temps de son ignorance et de sa faiblesse intellectuelle, c'est seulement par des forces purement affectives qu'elle a réalisé les renoncement pulsionnels indispensables à la vie en commun des hommes. Les précipités de processus similaires aux refoulements survenus à l'époque préhistorique resteraient alors pour longtemps inhérents à la culture. La religion serait la névrose de contrainte universelle de l'humanité ; comme celle de l'enfant, elle serait issue du complexe d'Oedipe, de la relation au père. Selon cette conception, il serait à prévoir que se détourner de la religion doit s'effectuer avec la fatale inexorabilité d'un processus de croissance et que nous nous trouvons aujourd'hui même au beau milieu de cette phase de développement. (…) l'heure est venue (…) de remplacer les succès du refoulement par les résultats du travail rationnel de l'esprit. »]

« L'avenir d'une illusion » était décidément un livre prémonitoire. Il annonçait la barbarie avenir et la négation de la culture humaine qui l'accompagnerait. Il est un livre pour réfléchir aujourd'hui au retour supposé des religions et de leurs conséquences possibles sur la culture humaine. Ce n'est peut être pas le livre d'un scientifique - n'en déplaise à Freud - mais sans conteste une oeuvre prodigieusement intelligente.


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En rangeant des livres, je suis tombé par hasard sur "L'avenir d'une illusion", que j'avais lu une première fois il y a des décennies. Cette oeuvre parue en 1927 appartient à la dernière manière de Freud, dans la période où il a voulu étendre les concepts de la psychanalyse à des sujets dépassant largement l'individu. D'une manière générale, l'illusion désigne une croyance erronée, motivée par le désir et la subjectivité. Il est clair que toute personne est susceptible de succomber à des illusions. Mais, pour Freud, l'humanité entière se trouve dans cette situation. L'illusion qu'il examine particulièrement dans cet ouvrage, c'est la religion, en particulier la religion chrétienne. Après des considérations générales qui relèvent de la philosophie et qui ont été développées par d'autres auteurs, Freud arrive à sa thèse principale: « La religion serait la névrose obsessionnelle universelle de l'humanité; comme celle de l'enfant, elle dérive du complexe d'Oedipe, des rapports de l'enfant au père. D'après ces conceptions, on peut prévoir que l'abandon de la religion aura lieu avec la fatale inexorabilité d'un processus de croissance ». Tout est dit et, malgré la prudence de sa prise de position, nul doute que Freud était convaincu de la véracité de son assertion. Lui-même, quoique d'ascendance juive, était athée depuis longtemps.
Les affirmations de Freud ne modifieront en rien la foi des croyants qui, loin de la considérer comme une névrose, y voient un bénéfice et non un inconvénient. Mais surtout on peut s'interroger sur la véracité de la prophétie contenue dans ce livre: la disparition annoncée de la religion. Le XXIème siècle est le témoin de la croissance simultanée de deux tendances inverses: d'une part le fanatisme religieux et d'autre part l'agnosticisme (ou de l'indifférence complète à l'égard de la religion). Qu'en conclure ? La réponse est difficile ! Je pense que Freud, centré sur son référentiel personnel, n'a pas nécessairement un point de vue pertinent sur l'ensemble des religions. Par exemple, l'actuel dynamisme (pour ne pas dire l'agressivité) de l'Islam serait en dehors de son champ de vision et de sa culture, s'il vivait encore. Pour ma part, je suis très sceptique vis-à-vis de l'idée que l'on puisse comparer un individu à une société. Affirmer que l'humanité a été jeune (donc primitive) mais qu'elle "grandira" en devenant plus mûre (et exempte d'illusions) est trop "optimiste" et probablement imprudent. A chaque génération, tout le "travail" est à refaire et les "rechutes" sont fréquentes. Cet avis ne signifie pas que cet ouvrage ne mérite pas d'être lu. Au contraire...
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Je n'aime vraiment plus la psychanalyse freudienne et ses avatars. Pourquoi j'ai acheté et lu ce livre alors ? Pour être franc, pour la couverture, beau look ce livre, mais aussi parce que je voulais encore donner une chance à Freud, que la quatrième de couverture me semblait fort intéressante, Freud est souvent assez bon dans sa discussion sur les religions... Et puis enfin voilà.
Le texte de Freud lui-même est encadré par une introduction qui me semble objective de l'éditeur, qui explique le contexte de l'écrit et ses remous. le texte est suivi de quelques « critiques » ou « regards » à la fois amoureux (Zweig), poétique (J. Romains), ambigu (Charles Blondel) et scientifique (Popper). Bref, au final ça donne un livre intéressant !
Freud décrit la fonction, l'utilité, la nécessité de la religion – comme culture un rien dévoyée – pour défendre l'homme de la nature et ses lois cruelles. Freud est conscient de l'importance de la religion et du fait qu'elle ne serait pas facile à éradiquer. Il propose évidemment sa psychanalyse pour faire monter la culture, chez tous les hommes, universellement, au créneau et meix assurer à l'homme sa place dans le monde, et à contrecarrer la dureté de cette nature.
Pour lui, la psychanalyse c'est de la science. Point. Contrairement à la religion.
Zweig était ami de Freud et son texte dégouline de bons sentiments, tout à fait subjectifs. Bien écrit, c'est Zweig, mais au fond, ce fond, le fond du texte me semble grotesque.
Plus intéressant Jules Romains décrit l'arrivée de la psychanalyse en France, décrit plus ou moins bien les fondements de celle-ci. Il semble au départ passionné et amoureux puis on le voit plus critique, voire limite négatif à son égard... Un texte poétique, je trouve et plus intéressant qu'il n'y paraît.
Charles Blondel s'essaie à l'objectivité, enfin, si je peux dire. du coup, il est sceptique, a minima. Reconnaît l'impact mais pas nécessairement la crédibilité...
Karl Popper dont les critères de scientificité sont reconnus de tous, démonte point par point les théories analytiques de Freud et d'Adler. Et comme on ne peut les contredire, on ne peut pas les taxer de science, ce qui brise le rêve de Freud de faire de son travail une oeuvre scientifique.
Voilà, quitte à lire un Freud qui ne soit pas de sa théorie pure, mais plus extérieur-s, plus dans son combat plus large, sociétal (si l'on veut), universel, pourquoi pas celui-ci. Les mots autour des siens cadrent bien le personnage. Et historiquement, au minimum, ça pourra vous intéresser.
Freud, c'est une vieille histoire...
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Il était temps: le plus ancien livre de ma pile, qui attendait depuis 1995 que je me décide enfin à le lire. Acheté à la demande de la prof de philo, puis finalement elle avait abandonné l'idée de nous faire lire Freud au profit de Platon. et depuis, pas franchement envie, un peu peur aussi de me recolleter avec la philosophie, Freud ça inquiète un peu, est-ce que ça ne va pas être trop ardu, trop théorique, trop tiré par les cheveux?

Et finalement, bonne surprise: le texte, n'est pas trop dur à lire, même s'il se contredit parfois, les courts chapitres permettent de fractionner la lecture avant de saturer trop, la structure en est hyper classique ( faux débat avec un faux opposant, on fait comme ça depuis les grecs) la structure n'est pas du tout aussi abrupte que je le craignais.

Et même, chose à laquelle je ne m'attendait pas du tout, il y a de l'humour!

Donc, de quoi est- il sujet qui puisse attirer ainsi les foudres du bourgeois bien pensant, de religion. J'avoue que j'avais un peu peur d'y trouver les sempiternelles références aux frustrations sexuelles qu'on ressort systématiquement vis-à-vis de Freud, mais non, on passe à côté, il a écrit d'autres choses, ouf!
Donc, la religion. Freud nous explique donc que, du point de vue psychologique d'un thérapeute, rien ne distingue la religion d'une névrose obsessionnelle. Mieux, elle est une névrose obsessionnelle façonnée au fil du temps par des générations d'humains, pour calmer leurs angoisses face à une nature hostile contre laquelle il ne peuvent rien, et dont ils ne peuvent pas accepter les lois, la première étant la mort.

Donc le problème pour Freud est que le fait religieux ( animiste, puis monothéiste) est une névrose, mais une névrose commune, intégrée , transmise, à tel point que plus un croyant ne se pose de question sur la symbolique des rites, le pourquoi, le à quoi ça sert, le comment ça se fait. Et donc une névrose d'autant plus difficile à extirper, surtout à une époque et dans un pays , ou l'enseignement religieux fait partie intégrante de l'enseignement tout court.
Rassurez-vous (ou non) vous ne trouverez pas dans ce court texte de réponse définitive au problème religieux. Mais c'est une bonne surprise, une lecture finalement intéressante qui ne découragera pas le croyant pur et dur de croire, mais rassurera un peu l'athée ou le sceptique qui se sent moins seul à se dire que la religion avec ces " fais-ceci, fais pas ça, "est un peu trop infantilisante à son goût.
Lien : http://chezpurple.blogspot.c..
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Freud nous offre une très intéressante analyse de la religion en essayant de mettre en corrélation culture, science, psychologie, croyance etc... Si certains passages sont plus durs à digérer, l'ensemble du propos est assez abordable et répond à bon nombre d'interrogations. Un texte donc intéressant pour tout ceux qui se questionneraient sur l'origine de la religion, son but, ses conséquences et son avenir.
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Citations et extraits (113) Voir plus Ajouter une citation
"Les critiques persistent à déclarer "profondément religieux" un homme qui reconnaît avoir le sentiment de la petitesse et de l'impuissance humaine face à l'ensemble du monde , bien que ce ne soit pas ce sentiment qui constitue l'essence de la religiosité, mais bien seulement le pas suivant, la réaction à ce sentiment, réaction qui cherche un recours contre lui. Celui qui ne va pas plus loin, qui se contente avec humilité du rôle infime de l'homme dans ce vaste monde, celui-là est bien plutôt iiréligieux dans le sens le plus vrai du mot."
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Dossier. Charles Blondel : réflexions critiques :
"Il n'est pas d'usage dans les laboratoires de mêler aux liquides physiologiques qu'on reçoit à analyser les substances dont y doit constater la présence ou l'absence. Dans le domaine psychologique, après toutes les directions suggestions et explications que multiplie la psychanalyse, qu'y a-t-il d'étonnant si le malade ou le sujet retrouvent dans leur conscience ce que précisément la psychanalyse y a introduit ? Bien entendu, je laisse ici le point de vue moral de coté. Freud raconte comment l'analyse d'un rêve lui a permis de révéler à une femme qu'elle méprisait son mari et comment, tout en acceptant ses interprétations, cette femme en fut étonnée : " Elle ignorait qu'elle eu si peu d'estime pour son mari ; et elle ignore les raisons pour lesquelles elle doit le mépriser à ce point " (B, 127). J'ignore de mon coté le bénéfice que cette dame a tiré de cette révélation, mais c'est le moindre de mes soucis. Passé un certain degré de bêtise, les gens cessent de m'intéresser."
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La civilisation est quelque chose d'imposé à une majorité récalcitrante par une minorité ayant compris comment s'approprier les moyens de puissance et de coercition.
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Ces idées, qui professent d'être des dogmes, ne sont pas le résidu de l'expérience ou le résultat final de la réflexion : elles sont des illusions, la réalisation des désirs les plus anciens, les plus forts, les plus pressants de l'humanité ; le secret de leur force est la force de ces désirs.
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L'analogie entre la religion et la névrose obsessionnelle se retrouve jusque dans les détails, et bien des particularités et des vicissitudes de la formation des religions ne s'éclairent qu'au jour de cette analogie. En harmonie avec tout ceci est ce fait que le vrai croyant se trouve à un haut degré à l'abri du danger de certaines affections névrotiques; l'acceptation de la névrose universelle le dispense de la tâche de se créer une névrose personnelle.
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« Malaise dans la culture » de Sigmund Freud, c'est à lire en poche chez GF.
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