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EAN : 9782809839661
928 pages
L'Archipel (12/11/2020)
4.11/5   22 notes
Résumé :
L'œuvre majeure de John Galsworthy, prix Nobel de littérature 1932, enfin réunie en un seul volume. Une fresque romanesque mordante qui met en scène une famille de la bourgeoisie anglaise de 1880 à 1930.
1886. À l'occasion des fiançailles de sa petite-fille June avec l'architecte Philip Bosinney, le doyen de la famille Forsyte réunit tous ses proches dans sa maison londonienne. Soames, un Forsyte de la seconde génération, se rend à la réception, accompagné d'... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
"La plupart des pièces que nous considérons comme les chefs-d'oeuvre tragiques ne sont que des débats et des querelles de famille."
(Jean Giraudoux)

Les trois volumes de "La dynastie des Forsyte" dans la bibliothèque parentale ont toujours été une sorte de mystère, quand je n'étais encore qu'une lectrice en herbe. J'ai réussi à arracher à môman l'explication du mot "dynastie", ainsi que l'information que "ça parle d'une famille riche en Angleterre" - comme c'était prometteur !
Il a fallu quelques années de plus avant que je ne recroise le chemin des Forsyte, et cette fois c'était par le biais de la télé... je crois que cette vieille série des années 60 n'avait pas deux spectatrices plus assidues que maman et moi.
Je ne parlais pas l'anglais, et les prénoms comme Soames, Jolyon, Montague et Winnifred sonnaient à mes oreilles comme des charmes magiques. Je traînais ensuite le livre avec ces héros télévisés, mes Harry Potter à moi, tous les jours à l'école, pour leur consacrer chaque récré (et même plus), car il m'était tout bonnement impossible de les quitter.
La saga des Forsyte est restée pour moi une maison littéraire que je peux ouvrir sur n'importe quelle page sans m'y perdre. Et ce fut un plaisir d'arpenter à nouveau les rues de Londres de la fin du 19ème siècle où on a fait connaissance, il y a si longtemps...

L'oeuvre de John Galsworthy est intéressante à bien des égards. Lauréat du prix Nobel de littérature (1932), il semble être tombé plus ou moins dans l'oubli dans les manuels de littérature anglaise. La comparaison avec les auteurs qui ont traité les mêmes thèmes avec davantage de pérennité littéraire s'impose toute seule : je pense notamment à Mann et à ses "Buddenbrook", que je n'ai jamais réussi à finir. Les deux livres parlent pourtant de la même chose - le déclin d'une famille aisée - mais aucun critique littéraire n'a jamais reproché à Thomas Mann d'avoir écrit une romance de bonne femme camouflée en grand roman générationnel.
Or, les "Forsyte" sont bien plus que cela, même s'il leur manque ce mélancolique pessimisme à la Schopenhauer qui imprègne le livre de Mann.
C'est vrai que c'est avant tout dans le premier volume de la trilogie ("Le Propriétaire" ; suivi de "Une comédie moderne" et "La fin du chapitre") qu'on trouve une véritable réflexion sur les changements qui ébranlent la société victorienne, et les deux autres ne font que développer les relations, amours et amitiés entre les protagonistes. C'est tout aussi vrai que le narrateur s'adonne avec une passion non-dissimulée aux descriptions de bâtiments magnifiques, intérieurs luxueux, fêtes et moeurs de la "haute", mais tout cela crée un inimitable genius loci... et dans les derniers chapitres, on ne peut que compatir avec le patriarche de la famille, qui médite tristement devant les tombes sur la mort de l'ère victorienne. Mais aussi sur l'essence du matérialisme, sur la nécessité de réussir et de posséder, sur la beauté et la façon humaine de la voir ; cette beauté vraie et libre que personne ne peut s'acheter...

Le nombre de pages est impressionnant, et elles sont peuplées de personnages plus nombreux que les fourmis dans une fourmilière. Pas une ne peut manquer, car son absence aurait dérangé la parfaite organisation de l'ensemble. Et puis le contenu... le contenu qui dépasse de loin la simple description d'une époque déjà révolue, où les hommes consultent leur montre à gousset, vouvoient leurs femmes, et se laissent parfois écraser par un fiacre dans l'épaisse brume londonienne. Tout ça pour l'amour. le souci principal de la femme est de bien se vêtir le matin, jouer du piano et ne pas tomber amoureuse du fils de son ex-mari, car cela apporte des "péripéties".

Dans son roman sur trois générations, Galsworthy nous parle évidemment des altercations entre le monde des jeunes et celui des anciens. Soames, Irène et Jolyon, jeunes rebelles du premier tome, deviennent à la fin les porteurs des valeurs anciennes du monde sur le point de disparaître. Ils se débattent pour comprendre celui de leurs propres enfants, en oubliant qu'ils étaient eux-mêmes la source de la pensée avant-gardiste il n'y a pas si longtemps. Mais même leurs enfants vont grandir, et devenir à leur tour les vieillards incompris... c'est un cercle et il est sans fin.
Soames et Jolyon représentent deux approches différentes envers la vie : le devoir et la passion. La vie de Soames, si laborieusement bâtie, pleine d'efforts, frustrations et sacrifices est en train de se désintégrer sans pitié, en lui riant en face. Jolyon et Monty font ce que bon leur semble, ce qui cause bien des peines aux autres, mais sont-ils finalement plus heureux que le vieux Soames ? Est-ce le chemin de la raison, ou plutôt celui du coeur, qui mène vers le bonheur ?
Aucun, si vous êtes un Forsyte.
Les Romeo et Juliette de Galsworthy ne meurent pas, ils continuent leur route, mais parfois ils vont se dire qu'un bon vieux coup de poignard quelque part dans les catacombes de Vérone serait une meilleure solution.
Ah, dire qu'il y a si longtemps, je croisais les doigts pour les jeunes Fleur et Jon, et je détestais de tout coeur le vieux Soames, puisque c'était un satané despote et tyran, alors que maintenant je dévore chaque page de l'histoire de Soames, Jo, et Irène, et j'arrive à les comprendre.
Il y a deux chemins qui permettent de traverser la vie, et un beau jour ils vont fatalement se croiser.
Avec la dernière poignée de main symbolique, 5/5, John.

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Grosse saga familiale qui ce passe fin 19ème début du 20éme siècle dans l'Angleterre dans la société victorienne. Une famille de grands bourgeois avec ces hommes et surtout ces femmes, comme dans toutes les familles ont y retrouve l'ambition, les complots l'hypocrisie, l'argent, et les mensonges. Dans cette saga il y a les femmes qui ce complaise dans le côté bourgeois en étant au service de leurs hommes(soit belle et tais toi) en gros et d'autres femmes dans cette famille qui décident de prendre leurs destins en mains et surtout de choisir elle même le mari qu'elle vont aimé et épousé.

Si vous voulez connaître l'Angleterre Victorienne et que vous aimez le côté historique et que vous ayez pas peur des 920 pages à lire je vous direz aller y lancé vous. J'ai bien aimé la plume de l'auteur les différents personnages avec tout leurs tracas. Un livre sympathique à lire.
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Le commentaire de Lynda :

Une grande fresque sociale qui dépeint les déboires et les péripéties d'une famille bourgeoise d'Angleterre, les Forsyte. Une famille qui met en lumière des conventions sociales de la bourgeoisie, avec ses clichés, ses conventions, ses relations et ses conflits. Une famille qui veut à tout prix sauver les apparences qui peuvent nous paraître quelques fois déconvenues.
Un récit qui met en lumière des thèmes comme la famille, les unions, les descendances, la vie de couple, l'héritage, l'éducation, la vie, l'amour, la haine, la mort et les luttes (émancipation féminine, classes sociales, la jalousie, etc.), sont des thèmes abordés.
Ce roman nous trace la montée et la descente d'une famille londonienne, de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, le portrait réaliste du contexte historique et de la politique anglaise de l'époque. On ressent bien le désir de s'enrichir et d'évoluer dans la bourgeoisie. C'est un bon roman anglais qui relate une cinquantaine d'années, ce qui permet de bien mettre en place les éléments et les événements qui viennent agrémenter l'intrigue, et les personnages.
Une intégrale qui peut paraître longue, car elle trace un long tableau de la vie de la dynastie Forsyte, je peux dire qu'elle plaira aux lecteurs qui aiment les sagas familiales anglaises du genre Downton Abbey, Belgravia, le récital des anges, etc. En conclusion, je peux vous partager que ma lecture m'a paru se dérouler rapidement, car je pouvais m'imaginer au sein de la famille Forsyte et de partager avec eux chaque moment, je sais qu'une série a été réalisée sur la saga et je comprends pourquoi, puisque cela plaît aux gens de regarder des sagas historiques qui leur relatent la vie de l'époque victorienne.
Je tiens à souligner que ce classique démontre le talent incommensurable de l'auteur John Galsworthy, prix Nobel de littérature de 1932.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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Grâce à cette intégrale, j'ai redécouvert avec bonheur ce grand roman.
J'ai eu le plaisir de retrouve la dynastie des Forsyte, cette famille typiquement anglaise, vibré avec les protagonistes et apprécié à sa juste valeur cette ambiance "so British" que j'adore.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Fleur, penchée à sa fenêtre, entendit les coups étouffés de la pendule du salon qui sonnait minuit, le clapotement léger d'un poisson dans la rivière, le susurrement des feuilles de tremble agitées par une bouffée d'air, le grondement lointain d'un train de nuit ; et par intermittence, ces bruits anonymes qui naissent dans l'obscurité - vague expression d'émotions informulées, émotions des bêtes, des gens, des choses, de l'oiseau à la machine, ou peut-être des défunts, Forsyte, Dartie, Cardigan revenant faire un tour en ce monde qui jadis avait été le leur, quand leurs esprits n'étaient pas désincarnés. Mais Fleur ne prêtait à ces bruits aucune attention : son esprit, qui n'avait pas rompu ses liens charnels, volait, d'une aile légère, d'un compartiment de chemin de fer à une haie fleurie, s'attachant au souvenir de Jon, obstinée à faire revivre l'image défendue, et le son de sa voix. Le nez froncé, elle cherchait dans les parfums montant de la rivière , le souvenir de ce moment où la main de Jon avait écarté de sa joue la branche d'aubépine. Longtemps elle s'attarda à sa fenêtre dans son costume de fantaisie, aussi avide de brûler ses ailes à la flamme de la vie, que les papillons qui la frôlaient et se précipitaient vers la lampe électrique allumée sur sa table, ignorant que dans la maison d'un Forsyte il n'y a pas de flamme qui brûle librement. Mais elle finit, elle aussi, par avoir sommeil et, oubliant ses clochettes, elle se retira.
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Le 15 juin de l'année 1886, vers quatre heures de l'après midi, un observateur qui se serait trouvé dans la maison du vieux Jolyon Forsyte, à Stanhope Gate, aurait pu contempler la suprême efflorescence des Forsyte.
La maison célébrait les fiançailles de miss June Forsyte, avec Mr Philip Bossiney. Dans ses plus beaux atours, gants clairs, gilets chamois, plumes, robes de cérémonie, la famille entière était présente. La tante Ann elle-même était venue, elle qui ne quittait plus que rarement le coin du salon vert des son frère Timothy où, sous un plumet d'herbe teinte des pampas, s'élevant d'une vase bleu clair, elle restait assise tout le jour, à lire ou à tricoter, entourée par les effigies de trois générations de Forsyte.
Oui, la tante Ann elle-même était là, son dos inflexible et la dignité de sa calme vieille figure personnifiant ce rigide esprit de possession qui était l'âme de la famille.
Quand un Fosyte naissait, se fiançait, se mariait, les Forsyte étaient présents ; quand un Forsyte mourait - mais aucun Forsyte n'était mort jusqu'à ce jour... Ils ne mouraient pas, la mort étant contraire à leurs principes ; ils prenaient des précautions contre elle, les précautions d'une puissante vitalité qui repousse tout empiètement.
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Soudain, Mrs Joylon se leva, et rentra précipitamment dans la maison. Une minute après, son mari balbutia une excuse, et la suivit. Le vieux Jolyon resta seul avec ses petits-enfants.
Et la nature, avec sa subtile ironie, poursuivit l'achèvement de son cycle dans le coeur du vieillard, et se mit à opérer en lui une étrange évolution. Cette tendresse pour les petits, cette passion pour les commencements de la vie qui, autrefois, lui avait fait abandonner son fils pour s'attacher à June, le poussait maintenant à abandonner June pour s'attacher à ces êtres plus petits. La jeunesse vibrait toujours en lui. Il se tournait vers elle, vers les petits membres ronds, si insouciants, et qui avaient besoin de soin, vers les petites figures rondes, si déraisonnablement solennelles ou excitées, les voix aiguës, le rire perçant qui s'étouffe et rebondit, les menottes qui insistent et se pendent. A sentir de petits corps contre ses jambes, il se ranimait. Et ses yeux devenaient doux, douce sa voix et ses maigres mains veinées, et doux son coeur, au-dedans de lui. Tout de suite, pour ces petits êtres, il fut comme un abri plein de sécurité, un lieu de bonheur, un endroit où ils sentaient qu'ils pouvaient parler, rire, jouer, et bientôt, du fauteuil d'osier où était assis le vieux Joylon, la parfaite gaieté des trois coeurs rayonnait comme du soleil.
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Une grande femme, d'une ligne admirable et qu'un membre de la famille avait un jour comparée à une déesse païenne, se tenait debout, regardant les fiancés avec un sourire ombré de tristesse. Ses mains gantées de gris étaient croisées l'une sur l'autre. Son visage grave et charmant s'inclinait de côté ; il retenait les yeux de tous les hommes. Sa taille était souple, d'un équilibre si juste et si léger que l'air même semblait la mettre en mouvement. Ses joues étaient chaudes, quoique pâles ; il y avait une douceur de velours dans ses grands yeux sombres ; mais c'étaient ses lèvres - posant une question, donnant une réponse avec ce sourire voilé d'ombre - qui retenaient les regards des hommes ; lèvres sensibles, tendres, suaves, entre lesquelles semblaient s'échapper comme d'une fleur la chaleur et le parfum.
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Il résolut de commencer par le Jardin botanique, où il avait déjà fait tant d'esquisses, et choisit pour sujet le petit étang où l'automne éparpillait les feuilles rouges et jaunes. Les jardiniers rêvaient d'enlever ces feuilles, mais leurs balais n'étaient pas assez longs.
Pour le reste du jardin, ils le balayaient assez, ils ramassaient chaque matin les feuilles tombées par averses et les amoncelaient en grand tas d'où s'élevait, à mesure qu'un feu lent les consumait, une douce et âcre fumée, symbole de l'automne, comme le cri du coucou l'est du printemps et l'odeur des tilleuls de l'été. L'âme méticuleuse des jardiniers ne pouvait supporter les grands dessins d'or et de rouille sur le vert des gazons. Les sentiers sablés devaient s'allonger dépollués, ordonnés, méthodiques, sans trace des réalités vivantes, ni de cette lente et belle mort qui jette à terre la beauté de l'été, la gloire fanée d'où le déroulement du cycle éternel fera rejaillir le printemps fou.
Ainsi des yeux guettaient chaque feuille depuis l'instant où, après un frémissement d'adieu, elle tombait du rameau, et lentement tournait dans l'air.
Mais sur ce petit étang les feuilles flottaient en paix, hantées de soleil, et leurs teintes louaient le ciel.
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Videos de John Galsworthy (12) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de John Galsworthy
Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donne rendez-vous chaque dimanche à 13h30 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • Paris se lève de Armand Delpierre aux éditions Plon https://www.lagriffenoire.com/paris-se-leve.html • Code 93 de Olivier Norek aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/?fond=produit&id_produit=21264&id_rubrique=25 • Jean-Jacques Debout : La couleur des fantômes de Jean-Jacques Debout aux éditions Talent https://www.lagriffenoire.com/jean-jacques-debout-la-couleur-des-fantomes.html • La lettre de Patrick Sabatier aux éditions du Rocher https://www.lagriffenoire.com/la-lettre.html • La Dynastie des Forsyte - Version intégrale de John Galsworthy aux éditions Archipel https://www.lagriffenoire.com/1063374-divers-litterature-la-dynastie-des-forsyte.html • L'Histoire des Forsyte - Comédie moderne de John Galsworthy, Sylvère Monod aux éditions de l'Archipel https://www.lagriffenoire.com/l-histoire-des-forsyte-t.1-comedie-moderne.html • L'Histoire des Forsyte - le chant du cygne de John Galsworthy, Sylvère Monod aux éditions de l'Archipel https://www.lagriffenoire.com/l-histoire-des-forsyte-tome-2-le-chant-du-cygne.html • L'Histoire des Forsyte - Fleur du désert de John Galsworthy, Sylvère Monod aux éditions de l'Archipel https://www.lagriffenoire.com/l-histoire-des-forsyte-tome-3-fleur-du-desert.html • Sans un bruit de Paul Cleave et Fabrice Pointeau aux éditions Sonatine https://www.lagriffenoire.com/sans-un-bruit.html • La Fièvre Masaccio de Sophie Chauveau aux éditions Télémaque https://www.lagriffenoire.com/la-fievre-masaccio.html • La passion Lippi de Sophie Chauveau aux éditions Folio https://www.lagriffenoire.com/la-passion-lippi.html • La Fille de l'ogre de Catherine Bardon aux éditions Les Escales https://www.lagriffenoire.com/la-fille-de-l-ogre.html • La Madeleine Proust, une vie: Quand j'étais p'tite (1925-1939) (1) de Lola Sémonin aux éditions Pygmalion https://www.lagriffenoire.com/la-madeleine-proust-une-vie-vol01-quand-j-etais-p-tite-1925-1939.html • La Madeleine Proust, une vie, Tome 2 : 1939-1940 - Ma drôle de guerre de Lola Sémonin aux éditions Pygmalion https://www.lagriffenoire.com/36672-divers-litterature-la-madeleine-proust--une-vie-1939-1940---vol02---ma-drole-de-guerre-1939-1940.html • La Madeleine Proust, une vie. Sous la botte 1940-1941 de Lola Semonin aux éditions Presses de la Cité https://www.lagriffenoire.com/1090153-romans-la-madeleine-proust--une-vie---sous-la-botte---1940--1941.html • La Madeleine Proust, une vie. Libération 1942-1945 de Lola Sémonin
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