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Critique de Ceraeden
Le Seigneur de l'Arc d'Argent constitue le premier tome d'une trilogie reprenant le mythe de la guerre de Troie, offrant une relecture épique de celle-ci.
Il met en scène trois personnages principaux, le puissant Hélicon, l'indépendante Andromaque et le valeureux Argurios. Tout trois vont être mêlés aux intrigues politiques et devenir des protagonistes importants d'une guerre qu'ils ne désirent pas mener.
La grande force des romans de Gemmell réside dans un style percutant, très cinématographique, avec des scènes d'action ou de batailles très rythmées, et des personnages forts. Ce roman n'y échappe pas, avec également des second rôles (le personnage d'Ulysse est irrésistible) forts et une vision du conflit unique.
Ici pas d'intervention divine qui permet aux héros de survivre, cette vision de la guerre de Troie offre du sang, des larmes, des trahisons, de l'amour aussi.
Tous les aspects mythologiques de la guerre sont ainsi gommés et expliqués, pour nous donner un récit "réaliste" (dans une certaine mesure évidemment, on reste chez Gemmell).
Fans de Gemmell, d'histoire ou de grands moments épiques, d'histoires tragiques, vous trouverez votre compte dans ce premier roman et dans ses suites.
Il met en scène trois personnages principaux, le puissant Hélicon, l'indépendante Andromaque et le valeureux Argurios. Tout trois vont être mêlés aux intrigues politiques et devenir des protagonistes importants d'une guerre qu'ils ne désirent pas mener.
La grande force des romans de Gemmell réside dans un style percutant, très cinématographique, avec des scènes d'action ou de batailles très rythmées, et des personnages forts. Ce roman n'y échappe pas, avec également des second rôles (le personnage d'Ulysse est irrésistible) forts et une vision du conflit unique.
Ici pas d'intervention divine qui permet aux héros de survivre, cette vision de la guerre de Troie offre du sang, des larmes, des trahisons, de l'amour aussi.
Tous les aspects mythologiques de la guerre sont ainsi gommés et expliqués, pour nous donner un récit "réaliste" (dans une certaine mesure évidemment, on reste chez Gemmell).
Fans de Gemmell, d'histoire ou de grands moments épiques, d'histoires tragiques, vous trouverez votre compte dans ce premier roman et dans ses suites.
