AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Barry Trotter tome 1 sur 1

Alain Névant (Traducteur)
EAN : 9782915549027
276 pages
Bragelonne (14/10/2004)
2.46/5   45 notes
Résumé :

Coudbar est la plus célèbre école de sorcellerie et Barry Trotter son plus célèbre élève. Barry est si important pour le chiffre d'affaires de l'école qu'il a obtenu l'autorisation de rester à Coudbar aussi longtemps qu'il le voudrait. Résultat, maintenant Barry a 22 ans et traîne toujours... Mais un désastre approche. Le film Barry Trotter et la pompe à fric est en production et Coudbar est... >Voir plus
Que lire après Barry Trotter, Tome 1 : La parodie éhontéeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
2,46

sur 45 notes
5
0 avis
4
1 avis
3
3 avis
2
4 avis
1
8 avis
Lorsque je me prends de passion pour un sujet, j'ai envie de lire/voir tout ce qui s'y rapporte. C'est ainsi que, voyant ce titre en partenariat proposé par Milady sur Livraddict, je me suis précipitée ; l'occasion de compléter ma collection potterienne.
J'aime assez les parodies, quand elles sont travaillées. Je pense notamment à Shrek ou même à Il était une fois qui grossissent les traits propres aux Disneys de notre enfance… j'adore. Et puis, il y a d'autres genres de parodies, celles dans la veine de Scary Movie qui allient l'humour pipi/caca aux vannes sexuelles… typiquement le genre de blagues douteuses dont je ne suis pas fan. Avec Barry Trotter, c'était quitte ou double et malheureusement pour moi, Scary Movie l'a emporté haut la main…

J'ai pris l'habitude, ces derniers temps, de vous proposer mes propres résumés au lieu des quatrièmes de couverture, mais cette fois, je reviens à mes anciennes habitudes. Pourquoi ? Et bien, figurez-vous que, quinze jours après ma lecture, je ne me souviens même plus de l'intrigue ! Pour être honnête, ce livre est tellement brouillon et sans queue ni tête que, à la minute où je l'ai refermé, je me suis rendue compte que j'étais incapable de le résumer. Barry doit empêcher le film qui retrace ses aventures d'être filmé, sous peine de voir l'école de Céldèlbore ravagée par les fans hystériques. Voilà ce que j'ai retenu. S'en suit une accumulation de rencontres et aventures qui ne paraissent pas liées les unes aux autres et qui ne m'ont guère laissé de souvenirs. Qui plus est, on assiste à un retournement de situation dans la toute dernière partie, qui change la donne et qui m'a encore plus embrouillée (si c'est possible) !

Si l'histoire ne m'a pas convaincue, les personnages ne l'ont pas mieux fait. Arrêtez-moi si je me trompe, mais le but d'une parodie est d'amplifier les traits existants, non ? Ne tournons pas autour du pot : selon moi, avec Barry Trotter, c'est raté. Et pourtant, je pense qu'il y avait du potentiel ! Ne vous méprenez pas, j'adore l'univers et les personnages de J.K. Rowling et comme l'auteure nous offre une grande palette de personnalités hautes en couleurs, il y avait de quoi faire !
Chez Michael Gerber, Barry Trotter - 22 ans - ne fait rien de sa vie et est toujours élève (il en profite pour initier la gente féminine aux mystères de l'amour…) ; Lon Muesly est devenu un crétin fidèle (le QI et la fidélité d'un labrador) ; Ermine Cringer est une prof nymphomane, Céldèbore un vieux pervers et Valdemarne est surnommé « Celui-qui-pue » (si si, je vous jure… vous sentez directement la direction que prend l'ensemble du livre avec cette seule expression…). de ces cinq portraits, celui de Lon est peut-être le plus « fidèle » (justement !) parce qu'avouons-le, même si Ron est adorable (et que je l'adore), il n'en reste pas moins « Celui qui suit Harry Potter comme un chien fidèle ». Par contre, je suis plus mitigée pour l'exagération de son bas QI. Même si Ron n'est pas le premier de la classe, Rowling ne le présente pas non plus comme un abruti fini ; il a au contraire assez d'esprit pour détendre l'atmosphère ! Si je peux également concevoir les parodies de Voldemort, Harry et Dumbledore (souvent décrit comme espiègle voire limite « coquin » avec McGonagall, dans les fanfictions), où Gerber a-t-il été chercher la nymphomanie d'Hermione ? Impossible de la reconnaitre dans le personnage d'Ermine…

Qui dit parodie dit humour, n'est-ce pas ? Encore un élément qui n'a pas fonctionné avec la lectrice que je suis. Comme je l'annonçais en préambule, chez Michael Gerber, les blagues sont plus que douteuses et lorsqu'elles ne tournent pas autour du sexe, elles sont scabreuses. Autant de choses qui ne me font absolument pas rire. C'est bien simple, la seule fois où j'ai souri, c'est en lisant l'avertissement de la quatrième de couverture : « BLABLA LEGAL : Ce livre n'a pas été autorisé ou approuvé par J.K. Rowling ou les éditeurs des romans Harry Potter. Harry Potter est une marque déposée de Warner Brothers. Merci. Maintenant, achète. » Et puis, encore une fois, à partir de quels éléments de Rowling, l'auteur peut-il en arriver à un tel humour ? Heureusement pour ma lecture, j'ai eu l'impression que le nombre de blagues salaces allait décroissant au fil des pages (ou alors je me suis habituée ?) ; ce fut un soulagement même si ça reste insuffisant pour remonter le niveau général.
Notons tout de même un point positif (que je ne suis apparemment pas la seule à avoir relevé) : la traduction. Je ne sais pas ce que donne le texte en VO, mais je trouve que les noms propres français sont bien trouvés car, non seulement travaillés au niveau de la phonétique (proches des sons originaux en ajoutant une connotation ridicule) mais également au niveau du sens. Mais encore une fois, c'est insuffisant pour me faire changer d'avis sur ce premier tome des aventures de Barry Trotter. Je crois que si l'intrigue avait été plus cadrée (moins fourre-tout) et les blagues un peu moins douteuses, j'aurais pu tenter la suite. Mais avec des « si », on refait le monde…

Même si, vous l'avez compris, l'aventure Barry Trotter s'arrête définitivement pour moi (contrairement à celle Harry Potter), je remercie tout de même Livraddict et Milady pour la découverte de l'univers de Michael Gerber, je sais dorénavant à quoi m'en tenir !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
Commenter  J’apprécie          60
Barry Trotter est en quelque sorte un genre d'anti-héros. Élève à la plus célèbre école de sorcellerie appelée Coudbar, celui-ci est devenu très important pour cette dernière. Il est en effet sa plus grande célébrité depuis qu'un certain roman, Barry Trotter à l'alcool dans l'gosier, en explosant les records de vente, a permis à l'école de s'enrichir sur le dos de l'un de ses élèves. Modique récompense octroyée par Coudbar à Barry, celle de rester à l'école aussi longtemps qu'il le souhaitera. Aussi Barry se permet-il de « se la couler douce », entouré de ses fans et adoratrices jusqu'au jour où un nouveau film doit être tourné à son sujet. Barry sera-t-il à le hauteur de ce nouveau challenge et empêchera-t-il que l'école soit submergée de fans glandus acharnés, capables de mettre en jeu la réputation de l'école ?
Parodie grotesque dont l'auteur de la série des Harry Potter elle-même n'a pas donné son accord pour cette publication. Bien que divertissant, j'ai trouvé cette parodie sans imagination car elle colle un peu trop ses déformations de noms aux originaux.
Commenter  J’apprécie          70
Harry Potter a trouvé son antéchrist avec Barry Trotter,héros complètement déjanté et à côté de la plaque.
Je l'ai lu il y a des années et sincèrement ça pète pas trois pattes à un canard.
Je m'attendais à mourir de rire et c'est vraiment lourd ,indigeste et un peu fouillis.
Les personnages sont tous plus branleur les uns que les autres,Voldemort maire d'une sorte de Las Vegas,Dumbledore espèce de vieux fou escroc qui s'accroche à son poste de directeur...Et que dire des amis de Harry,enfin Barry.Un Ron complètement débile,Hermione nymphomane à souhait et Barry plus naze que lui tu meurs.
Moi qui adore les parodies en temps normal,qui aime connaître les deux extrêmes dans une histoire là je n'ai pas pu me faire une deuxième vision des choses tellement c'est "fourni".Trop de parodie tue la parodie.A éviter!
Commenter  J’apprécie          82
Barry Trotter est à Harry Potter ce que sont Imitation et mords-moi sans hésitation à Twilight. de la grosse daube. J'étais pourtant assez enthousiaste : les noms des personnages et des lieux sont bien trouvés (merci la traduction !), la quatrième de couverture est prometteuse, l'auteur Michael Gerber est « assez » connu pour avoir fait des parodies « assez » réussies.

Mais dès le début de la lecture, le style mets en péril l'histoire. L'humour est lourd, il y a un plein de fautes de langue (voulues, vraiment ?), la trame narrative est imprécise et brouillonne, … On se lasse très vite des blagues salaces pas du tout à propos quand on sait que nombreux sont les jeunes lecteurs et fans de Harry Potter.

D'ailleurs, ce livre ne peut même pas être appelé parodie, puisque l'essence des personnages disparaît totalement. Il y avait pourtant beaucoup à faire pour tourner en dérision les personnages et l'histoire mais là non seulement ils n'ont plu rien à voir mais ce n'est aussi absolument pas drôle. D'où sort-il l'idée d'une Ermine dévergondée ? D'un Lon complètement idiot ?

L'histoire comme le style d'écriture sont à l'image du nom de l'auteur : à « gerber ».
Commenter  J’apprécie          60
Ce n'est pas du tout mon type d'humour, et l'histoire est aussi vide que la tête de Barry. J'ai lu des fanfics parodiques bien plus drôles que ça. le livre et les personnages sont vulgaires, pleins d'incohérences. Ca m'arrive de ne pas aimer un livre mais jamais à ce point, j'hésite à le garder comme référence pour le pire livre que j'ai lu ou à le virer de ma bibliothèque et renier ce torchon. Ne perdez pas votre que vous aimiez ou pas Harry Potter, que vous aimiez l'humour potache ou non, vous méritez un minimum de qualité.
Commenter  J’apprécie          93

Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Lon Muesly, le compagnon de Barry, était effectivement bon à rien. En tout cas, à pas grand chose. Il avait été victime d'un tragique accident de Quichecuite au cours de sa cinquième année - un Branleur avait frappé un Connard qui était venu se loger à grande vitesse dans la caboche de Lon.
Commenter  J’apprécie          30
Putting down his copy of Existentialism for beginners, he pulled his wizard pipe from his pocket.
Commenter  J’apprécie          10

autres livres classés : parodieVoir plus
Les plus populaires : Jeune Adulte Voir plus


Lecteurs (126) Voir plus



Quiz Voir plus

Compléter les titres

Orgueil et ..., de Jane Austen ?

Modestie
Vantardise
Innocence
Préjugé

10 questions
20177 lecteurs ont répondu
Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

{* *}