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Total War Rome tome 1 sur 2
EAN : 9782365690720
464 pages
Editions Les Escales (05/09/2013)
3.39/5   31 notes
Résumé :
146 av. J.-C. La destruction de Carthage et Corinthe met fin aux guerres puniques et donne à Rome triomphante le statut de grande puissance. La conquête pour la domination du monde antique peut commencer... Deux généraux s'affrontent dans un combat sans merci : Scipion Africanus le jeune, vainqueur à Carthage, et son cousin Gaius Aemilius Paullus. Une guerre totale qui donnera lieu à des batailles plus dévastatrices que jamais. Sur qui Scipion pourra-t-il compter ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Sans intérêt.

L'histoire et l'ascension de Scipion jusqu'à la destruction finale de Carthage.

Delenda est Carthago. La phrase est célèbre. (On passera sur l'emploi approprié du « est » ou pas). « Total War ». On annonçait du lourd là. On sait donc ce qui va arriver, mais on pouvait espérer vibrer, souffrir avec les carthaginois et il n'en fut rien

Alfaric avait fait en son temps une excellent critique de l'ouvrage et je vous invite, pour vous convaincre si l'en est besoin de le lire lui et définitivement laisser de côté ce roman.

Et si on pouvait résumer sa critique et mon sentiment sur ce livre j'en sortirais une phrase : « Car j'espérais trouver un roman d'intrigues et/ou action, et je me suis retrouvé avec un quasi essai néo-cons. »
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Un ouvrage élaboré comme un biopic romancé de Scipion Emilien d'où les nombreuses ellipses qui le mènent de l'Académie (-168) à la destruction de Carthage (-146) pour que tout tienne en 400 pages. On suit l'ascension d'un patricien jusqu'au rang de général et celle d'un plébéien à celui de centurion primipile et ainsi on suit le destin de Scipion Emilien à travers les yeux de Fabius, son ami et garde du corps.
On aurait pu articuler le roman sur les destins croisés de Scipion et Hasdrubal, tous les deux prisonniers des décisions prises par leurs ancêtres, ou sur la rivalité entre l'honorable Scipion et le fourbe Metellus… Oui mais non.

Le roman est construit selon un schéma assez facilement décelable : à chaque partie Scipion rempli consciemment ses obligations de citoyen et de patricien, puis un personnage intervient pour lui rappeler qu'il a été promis a une plus haute destinée (à savoir finir le travail de son aïeul en détruisant Carthage), et un événement l'oblige à accepter ladite destinée et à aller de l'avant…
* L'introduction qui nous décrit Pydna, la dernière bataille entre Rome et le Royaume de Macédoine, est intéressante.
J'y ai senti un petit souffle épique qu'on ne retrouve que trop rarement par la suite.
* On retourne en arrière pour nous montrer la formation de Scipion à l'Académie où sont formés les jeunes aristocrates romains et étrangers (ceux-là étant à la fois otages et invités) ressemble à la version "Full Metal Jacket" de Westpoint.
* On revient au triomphe célébrant la chute de la Macédoine, et on en apprend plus sur les partisans et les adversaires du héros du roman, ainsi que sur sa destinée présentée comme aussi inéluctable que manifeste.
* On part ensuite en Macédoine dans la forêt royale des Antigonides, où Scipion noie son chagrin d'avoir perdu Julia dans une succession de parties de chasse… Mais ses rivaux profitent de l'occasion pour essayer de l'éliminer.
* On part ensuite en Espagne, au siège d'Intercatia. On plonge dans une guerre sale où se succèdent d'interminables sièges d'oppida ibériques. Devoir, honneur, sang et larmes : Scipion se creuse les méninges pour offrir à ses adversaires une fin acceptable avant que son orgueilleux supérieur ne donne le signal de la curée…
* On part ensuite en Afrique où les méthodes des envoyés romains au royaume numides ressemblent furieusement à celle des lampistes de la CIA envoyés dans le Tiers Monde : ici on conseille et entraine les voisins de Carthage pour qu'ils fassent le job à la place des Romains…
L'infiltration de Scipion et Fabius dans la capitale punique aurait pu être chouette, mais on passe beaucoup de temps à démontrer que les Puniques sont fourbes et belliqueux et qu'il faut absolument les stopper avant qu'ils n'aient achevé leur réarmement (sans aucune réflexion sur le fait que Carthage ne manifestait pas tant de velléités belliqueuses que cela avant que la CIA romaine ait décidé de jouer la carte numide pour leur pourrir la vie… On se crée des ennemis et après on vient pleurer qu'on n'est pas aimé !)
* On saute ensuite directement au siège de Carthage, que j'aurais aimé plus épique parce qu'entre un passage de flibusterie complètement expédié, les réflexions impérialistes et les remarques racistes, difficile de se prendre au jeu…
En plein siège de Carthage, Scipion Emilien et son Etat-major discute tranquillement de l'ordre des prochaines conquêtes à effectuer par la suite… Fanservice pour wargamers, ou mentalités impérialistes puantes ?
Il fustige Metellus, un traître à sa patrie qui n'a aucune valeur et ne pense qu'à lui. Mais lui, que fait-il ? Il hâte la prise de Carthage quitte à passer toute la population au fil de l'épée pour que son triomphe se déroule avant celui de son rival…

D'un côté Scipion est le héros du roman : on insiste sur le poids du son double héritage (descendant du vainqueur d'Hannibal, descendant du vainqueur de Persée), sur sa moralité, sur sa sensibilité, sur son amour contrarié avec Julia.
D'un autre côté Scipion est le champion de l'impérialisme romain : son obsession pour la destruction de Carthage, son obsession pour la chose militaire, son obsession pour la grandeur de Rome en font un stratège froid et calculateur.
On balance sans cesse d'une vision à l'autre du personnage, et à chaque fois qu'on arrive à ressentir de la sympathie pour le personnage, paf on nous balance une tirade militariste ou impérialiste qui le rend plus ou moins antipathique…
Pour ne rien arranger, les romances ne servent à rien tellement elles sont laissées de côté. Et c'est fort dommage car cela vide les personnages de leur humanité. Mais on insiste bien à la fin du roman sur la descendance de Scipion et Julia, destiné à « terminer le travail » (les Julii reprenant la quête d'imperium pour ne pas dire d'impérialisme des Cornelii).


L'auteur sait se rendre accessible dans sa prose, dans ses passages explicatifs, et c'est bien d'avoir ajouté un dramatis personae et deux cartes. Dans sa préface et sa postface, il développe des réflexions pertinentes sur les métiers d'archéologue, d'historien et de conteur… Quel dommage qu'il ne les ait pas appliqué à lui-même !
Car au lieu de s'effacer derrière ses personnages, il s'invite régulièrement pour appuyer sa démonstration. Et c'est là que les choses se gâtent tant il veut prouver que Rome et les Etats-Unis d'Amérique ont la même destinée manifeste, à savoir gouverner le monde pour mieux faire avancer la civilisation (enfin celles des Romains = Américains, les autres semblant n'exister que pour les servir). Attention à bien lire entre les lignes car quand on creuse, on se retrouve avec quelque chose qui ressemble furieusement à une apologie de l'impérialisme.

L'auteur ne comprend pas pourquoi Rome n'a pas directement établi un « new world order » après la 2e Guerre Punique comme les Etats-Unis le firent après la Seconde Guerre Mondiale (peut-être parce que Rome est sorti complètement ravagée du conflit alors que les Etats-Unis ne connurent pas de combats sur leur territoire ? je ne dis rien, je n'en pense pas moins), guidant ainsi le monde libre vers une nouvelle ère de paix et de prospérité. En bonne historien, l'auteur devrait pourtant pousser plus loin sa comparaison : captation des richesses, creusement des inégalités, délitement social, défiance envers l'ordre établi… de nouvelles guerres civiles en perspective ?

Car Carthage est comparée tantôt à l'Allemagne (la Carthage d'Hannibal c'est le IIe Reich, et celle d'Hasdrubal c'est le IIIe Reich, donc Rome a eu raison de détruire et raser Carthage mais aurait du le faire bien plus tôt !) tantôt ou à l'Irak de Saddam Hussein. Et le parallèle entre la famille Scipion et la famille Bush est explicite puisque dans les dialogues on retrouve des « new world order », des « war against terror », des « the job est done » et autres « the Roman way of life was not negotiable »…
On prend son temps pour démontrer que la cité de Carthage est un « rogue state », qui cherche sournoisement à contester voire saper l'hégémonie romaine de manière miliaire, politique ou économique. Donc c'est sans surprise qu'à un moment on se retrouve un « Axe du Mal » regroupant Carthage (Orientaux = suspects) / Egypte lagide (acculturés = suspects) / Syrie Séleucide (métisses = suspects). On n'hésite pas à forcer le trait en évoquant une possible alliance une mystérieuse puissance orientale avec qui Rome entretient une balance commerciale fortement déficitaire (évidemment la République Populaire de Chine n'est pas du tout visée dans le passage concerné…)
Plus grave encore on a des passages sur des Carthaginois qui comme tous les sémites, sont fourbes, cruels et sanguinaires. Sauf que question fourberies, cruauté et compagnie les Romains n'ont rien à leur envier (on éventre un esclave pour apprendre à tuer, on exécute le plus violement possible des prisonniers pour s'habituer à la vue et à l'odeur de la mort, on pourchasse et on traque comme des bêtes des fuyards pour s'entraîner et se faire la main. Mais c'est pour le bien commun, hein, donc tout va bien !). Et on insiste dans de nombreux passages se voulant didactiques sur les orientaux fanatiques qui envoient leurs jeunes en commandos suicide, qui sacrifice leurs enfants pour la cause et n'hésite pas à utiliser les civils comme boucliers humains… Visiblement encore un traumatisé du 11 septembre, mais pour un historien chevronné c'est ballot de colporter les légendes urbaines des sacrifices humains et des esclaves galériens.
Bref, Rome a eu raison d'appliquer le concept de la guerre préventive pour l'anéantir définitivement… Au secours !
Pourtant la terrifiante Carthage qui est décrite comme complotant la conquête et l'asservissement du monde libre semble pourtant d'abord et surtout préparer sa défense et organiser son baroud d'honneur face à une invasion inéluctable.
Dois-je vraiment expliquer ce qui ne va pas là-dedans ?


J'aurais vraiment aimé apprécier ce livre en laissant le bénéfice du doute à l'auteur, mais là…
Car j'espérais trouver un roman d'intrigues et/ou action, et je me suis retrouvé avec un quasi essai néo-cons.
Comment Scipion décrit-il la société romaine ? Des plébéiens versatiles manipulés par des agitateurs gauchistes et des patriciens qui intriguent pour leur compte propre… Seuls comptent les vrais leaders, seuls capables de mener les vrais citoyens vers les vraies valeurs du mos maiorum, qui passé un cap semble se résumer à la version antique d'un Travail / Famille / Patrie. Et puis on insiste sur la nécessité d'une armée de métier pour conquérir plus de territoires, on insiste sur la nécessité d'une militarisation de l'appareil d'Etat pour évincer les civils immatures et irresponsables car c'est seulement ainsi qu'on peut obtenir un pouvoir fort digne de ce nom.
Il n'est sans doute pas aussi douteux que je ne vous le décris, mais personnellement il m'a carrément insupporté…
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David Gibbins, archéologue, enseignant et auteur, nous emmène sur les traces de Scipion, le petit fils de Scipion l'Africain. Comme son grand-père jadis, Scipion est hanté par une ville : Carthage. Et alors que ce dernier s'était arrêté aux remparts de la ville, le jeune Scipion compte bien, lui, assumer pleinement l'héritage ancestrale et ne pas laisser pierre sur pierre.

Delenda Carthago est !, ainsi que le clamait Caton. Et David Gibbins, après avoir fait découvrir à son lecteur les merveilles de l'antiquité par le biais de son héros Jack Howard, fait maintenant vivre à son lecteur une aventure magistrale au IIeme siècle av. J.-C., alors que Rome est encore une république dont le Sénat est corrompu, une ville dont l'apogée n'est que programmée et qui ne peut arriver au faîte de sa gloire qu'avec la destruction complète de sa rivale de toujours.

C'est un récit sans concessions, plein de bruit et de fureur. Une vision romancée de la Rome antique, mais basée sur des récits historiques et des faits précis. C'est un ouvrage dense mais agréable à lire, à la fin duquel on retrouve, comme pour chacun de ses romans, les notes de l'auteur concernant le roman. Cela permet au lecteur de démêler le vrai du faux, de savoir quels éléments sont fictionnels et d'où sont tirés les autres. L'auteur y explique ses sources et propose d'aller plus loin en donnant quelques pistes supplémentaires.

Un roman intelligent dont l'auteur respecte ses lecteurs et leur curiosité. Un ouvrage à découvrir. Un héros à suivre. Une ville à détruire.
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Un ami, qui est fan de Gibbins, m'a conseillé cet ouvrage en ouvrant d'emblée une compétition narrative avec les romans historiques de Valério Manfredi dont je suis fan. Cependant, les deux auteurs sont forts dissemblables et David Gibbins, lui-même, peut écrire très différemment selon qu'il exerce dans le policier ou l'historique ! "Total War Rome : Détruire Carthage" est très différent de certains de ses autres ouvrages... Moins dynamique, certes. Mais plus axé sur la description exacte et parfaite de ces scènes de guerre gigantesques dont la seule lecture nous renvoie de véritables mouvements visuels et colorés. Tiré de la série de jeux vidéos à succès, ce livre est un univers à lui seul : cartes, explications du vocabulaire de l'époque, scénario percutant, stratégie, personnages... J'ai adoré cette immersion dans la lutte qui opposa les géants macédoniens alignés en "Phalanges" aux célèbres formations en tortue des légions romaines. Scipion, Polybe et Fabius sont des héros auxquels le lecteur peut rapidement s'identifier. Pour autant, il est certain que cette littérature-là n'est axée que sur le combat et la stratégie.
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Ce roman historique est inspiré de la célèbre série de jeux vidéo PC de stratégie « Total War », qui met notamment en scène les guerres romaines. Total War Rome : Détruire Carthage est ainsi, comme son titre l'atteste, un produit dérivé d'une franchise commerciale. Voilà qui laisse songeur et laisse interrogatif quant au contenu littéraire proposé. le nom de l'auteur rassure néanmoins quelque peu, puisqu'il s'agit du Britannique David Gibbins, qui a déjà publié une demi-douzaine de romans d'aventures historiques. Les développeurs de jeux vidéo The Creative Assembly et SEGA ont donc eu la bonne idée de ne pas miser sur un débutant pour cette nouvelle déclinaison livresque, annoncée comme « le premier tome d'une série de romans épiques ». David Gibbins est en fait un féru d'histoire militaire passionné par les armes et les armures, intérêt qui lui vient de riche passé militaire de sa propre famille et que l'on retrouve dans ses romans précédents, avec par exemple les campagnes romaines vers l'Est (Tigres de guerre, Éditions First, 2009), les guerres victoriennes en Inde et au Soudan (Pharaon, Éditions Les escales, 2013), et la Deuxième Guerre mondiale (Le Masque de Troie, Éditions First, 2011).

Total War Rome : Détruire Carthage s'avère captivant, en transportant le lecteur en Macédoine, en Numidie, en Hispanie et dans la Rome du IIe siècle avant J.-C. Un des grands mérites de l'auteur est de ne pas court-circuiter son histoire par des intrigues secondaires superflues, principal défaut des romans historiques publiés aujourd'hui. On suit ici Scipion Émilien, petit-fils du [...]
Lien : http://leslecturesdares.over..
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Citations et extraits (51) Voir plus Ajouter une citation
Tu as toujours dit que c'étaient ses qualités, et pas son destin, qui faisaient la grandeur d'un homme. le plaisir de la chasse réside dans le fait qu'elle repose entièrement sur mes capacités, et que rien ne pèse sur moi, ni la réalisation du destin, ne les attentes des ancêtres, fiers de mes actions ou trahis par elles. Ici, dans la forêt, la chasse est comme un combat, on y vit pour l'instant, et tout dépend de ton courage et de la prouesse individuelle, pas du destin.
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Je dois préparer les rites funéraires pour Polybe. Il était l’homme le plus brave que j’aie jamais connu, un guerrier qui s’est sacrifié pour sauver des vies romaines. Nous devons trouver son corps et l’envoyer dans l’autre vie comme ses héros, comme Ajax, comme Achille et les morts des Thermopyles.
Paul-Emile s’éclaircit la gorge.
- Très bien, si tu peux le persuader de renoncer à interroger les prisonniers macédoniens pour le compte rendu de cette bataille, qu’il a l’intention de rédiger dans ses Histoires.
- Comment ? Il est vivant ?
- Il a continué sa course jusqu’au flanc droit, est revenu dans nos rangs, a mené la charge de la cavalerie, puis est reparti prendre ses rouleaux et écrire le récit d’un témoin tant que les événements étaient encore frais dans son esprit. Du moins, jusqu’à ce qu’il ait une illumination soudaine et parte seul au galop à la recherche du roi Persée, où qu’il puisse se cacher, pour recueillir ses impressions sur la bataille.
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[à propos du vieux centurion primipile Petraeus] C’était un vrai romain, paysan d’abord, soldat ensuite, plus fidèle aux racines de Rome qu’aucun patricien qui rivalisaient pour se réclamer de la gens la plus ancienne, et de la lignée la plus solide, depuis Romulus ou d’autres guerriers semi-mythiques de l’histoire de la ville.
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Le seul vrai chemin vers la gloire passe par tes propres actions sur le champ de bataille, comme guerrier et comme meneur d'hommes, et ce sont seulement ces actions qui t'assureront ta réputation.
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Pendant un instant, Fabius eut pitié de l’adversaire. Quelque part sous cette peau de lion, derrière la rage, la cruauté, l’autodestruction, il y avait le désespoir fou d’un père qui savait que son fils l’aimait, qui avait senti ses petits bras autour de lui, et qui pourtant avait été poussé à accomplir jusqu’au bout de l’impensable, ce que la guerre pouvait faire de pire à un homme.
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Le masque de Troie par David Gibbins aux Editions First parution le 9 juin 2011
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