Giono, une écriture pas toujours facile, des histoires où il faut tenir tête à l'écrivain, à ses tournures. Mais avec lui on entre dans une forme de langage qui n'existe plus, on sent la terre, les gens, on fait un bon dans le passé et on plonge au coeur de l'humanité. Il y a une force brute qui se dégage de ses écrits, comme une vérité oubliée. Des dialogues courts, presque des interjections, puis des moments de grandes poésies.
Ce n'est pas là mon préféré, mais
Giono ne se lit pas n'importe quand, et ce n'était peut être pas la meilleure période...