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La légende de Kaelig Morvan tome 1 sur 3
EAN : 9782737365485
192 pages
Editions Ouest-France (07/04/2015)
3.79/5   14 notes
Résumé :
Lorsque le druide Delienn vient interrompre le deuil du seigneur Kaelig Morvan, ce dernier est loin d’imaginer que sa fille est condamnée à un sort funeste par une mystérieuse secte religieuse. En effet, une prophétie désigne Aela Morvan comme la descendante de la fée Viviane. Dans une Bretagne du XVIIème siècle, Kaelig va devoir laisser ressurgir les démons enfouis au plus profond de son être pour tenter de déjouer les plans du baron Claude de Lessac.

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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Livre lu dans le cadre de la Masse Critique de Mai 2015.

Je remercie Babelio et les éditions Ouest-France pour l'envoi de ce livre. Je l'avais sélectionné à cause de son résumé qui me parlait de la Bretagne du 17ème siècle et de légendes liées à la fée Viviane. J'ai néanmoins été surprise de recevoir un roman de moins de 200 pages par une maison d'éditions que je ne connaissais d'ailleurs pas. Je suis ravie d'avoir reçu ce livre que j'ai pris plaisir à déguster. Que je vous explique maintenant pourquoi !!

En premier lieu, l'univers. L'auteur nous immerge en Bretagne au 17ème siècle et y mêle des légendes liées à la fée Viviane. Nous le découvrons à travers les yeux de nos personnages principaux, Kaelig Morvan et sa fille Aela. Certains de leurs amis le connaissent déjà mais doivent cacher leur nature aux hommes. Ce monde féerique se nomme le Sidh, étrangement ce nom ne m'est pas inconnu, peut-être à cause des différents contes et légendes bretons que j'ai lus étant jeune. J'aime particulièrement les contes et légendes car ils sont souvent la base d'autres histoires fantastiques inventées par les auteurs. Ma préférence va néanmoins à la Bretagne de part ma grand-mère bretonne et pour les nombreux sites de la culture bretonne portant sur les légendes, les druides et les fées (terme féminin pour druide, comme je l'ai appris dans ce roman). On apprend peu de choses sur le Sidh mais on y rencontre certains des habitants, quelques uns sont immortels et d'autres, non humains et pourtant doués d'immenses pouvoirs. L'atmosphère de ce livre est très féerique et poétique mais non dénuée de violences, pas toujours gratuites. En lisant ce tome, j'avais un peu l'impression de me retrouver dans « Le Rêve de la Licorne » de Martine Hermant.

En second lieu, l'histoire. Nous suivons Kaelig Morvan dans une quête de vengeance. Afin de sauver sa fille de 11 ans d'une secte religieuse, il s'allie avec des êtres de tous bords et pas toujours recommandables pour aller au bout de sa quête et en ressortir vivant malgré les épreuves et les différentes embûches qui se trouveront sur leur route. D'après une prophétie, Aela est la descendante de la fée Viviane. La secte ne peut admettre sa vie car elle voue un culte au dieu unique et Aela doit aider à la renaissance du Sidh. L'histoire mêle donc aventures, combats, féerie, mer et quête dans la Bretagne du 17ème siècle pour notre plus grand plaisir. Par contre, un résumé de 4ème de couverture moins détaillé serait plus bénéfique. Pour ma part, j'ai souvent oublié celui-ci au moment de ma lecture mais je le relis à l'écriture de la critique...

Et en troisième lieu, l'écriture de l'auteur et ses personnages. le style de cet auteur est très agréable, légèrement poétique par moment et très descriptif. Par contre, ce que je reproche à l'auteur concerne les quelques répétitions dont il parsème son tome, principalement sur le fait qu'Aela n'a que 11 ans ou qu'elle a un sacré tempérament. Vu que ce tome ne fait même pas 200 pages, on ne risque pas de l'oublier. Autre point, l'auteur étant marin, il est très prolifique en détails sur les bateaux ou sur la façon de les manoeuvrer. Par contre, pour les néophytes comme moi, un petit lexique avec ces termes spécifiques n'aurait pas été de refus. L'auteur nous décrit tout ce qui entoure ses personnages et il a l'art de bien le faire car j'avais souvent l'impression d'être en leur compagnie. Nous apprenons d'ailleurs à les connaître au fur et à mesure de leurs aventures et de leurs combats souvent macabres. Ce roman aurait pu être un tome unique car l'histoire s'y termine mais ma curiosité a été piquée. Je veux connaître la suite des aventures d'Aela et de son père. Que va-t-il maintenant advenir d'eux ? Quel impact la prophétie aura sur Aela et sa croissance ? Par contre, nous connaissons peu leur passé car nous commençons cette histoire sur les chapeaux de roues. J'espère qu'on apprendra à mieux les connaître dans la suite de cette trilogie car certains personnages méritent le détour du fait des nombreux non-dits et fêlures que l'on perçoit.

Comme vous l'aurez compris, ce premier tome a été une excellente découverte pour ma part, pas loin du coup de coeur à cause des quelques petits bémols. Je compte bien renouveler l'essai dès que je reçois le tome 2. J'espère que le 3 ne tardera pas à être édité. Petit point pour la maison d'éditions, j'ai repéré 2 coquilles dans tout le tome (« qui l'était » au lieu de « qu'il était » et 2 lettres manquantes à la fin d'un verbe pour former « en +Vant »). Mis à part ça, très beau volume à couverture cartonnée rigide et un dessin quelque peu disproportionné, Kaelig semble être un géant à côté de sa fille. Je vous conseille donc de découvrir ce premier tome très agréable sur le fond comme sur la forme mais qui, en mon sens, ne convient pas à des enfants du fait des combats très violents (certes courts mais très sanglants). L'histoire est néanmoins très agréable à lire du fait de son atmosphère particulière et des nombreuses descriptions.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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La prophétie de Vivian est un court roman de quelque 185 pages, précisément une Novella pour les puristes, il n'en demeure pas moins un récit riche en péripéties et en voyage et ce bien qu'il soit assez avare en matière d'action pure et dure.
En cette fin de XVII e siècle sous le règne de Louis XIV, les paysages d'une Bretagne "insurrectionniste" servent de décor à une histoire qui tient autant du conte mythologique que du roman Fantasy.

N'ayant pu sauver sa femme et son fils, Kaelig Morvan, seigneur du Kerandraou, doit cette fois tout mettre en œuvre pour tenter de soustraire sa fille au destin funeste que lui réserve une secte de catholiques extrémistes.
Selon une certaine prophétie, Aela serait une descendante de Viviane, elle aurait ainsi en elle le pouvoir d'unir le destin des peuples des deux mondes, et si pour les humains adorateurs de la grande déesse elle est porteuse d'espoirs dans un monde en proie à la guerre et la désillusion, pour les créatures du Sidh elle est attendue telle une véritable force messianique.
Pour toutes ces raisons et d'autres plus obscurs encore, le baron Claude de Lessac lâchera sa meute de fanatiques sur les pas de la bande à Kaelig, constituée pour l'occasion de deux anciens amis, un barde irlandais et un vétéran des croisades et d'une guerrière sylphe.

Le livre est plaisant à lire, bien rythmé, il est ponctué par des chapitres courts, trop courts sans doute , on est vraiment à mi-chemin dans l'esprit entre le roman et le conte, si le tout a un charme certain on peut considérer qu'il s'agit là de la principale faiblesse de ce roman.
Jamais l'auteur ne réussit vraiment à nous immerger dans le truc, tout est éludé de manière trop superficielle pour que le lecteur puisse véritablement vivre les évènements de près, les personnages secondaires et tertiaires ne semblent être présents que pour remplir une fonction dans le récit l'auteur préférant s'attarder sur le développement d'une relation père/fille assez redondante et pas loin de tomber dans le pathos .

Le scénario en lui-même ne réserve pas de véritables surprises, il s'agit d'une quête par étapes consistant à mettre la main sur une arme légendaire, le déroulement de l'histoire est dès le départ illustré avec la mini-carte où figure le tracé des différentes destinations de nos héros jusqu'au combat final.
Si sur la forme, le récit aurait notamment gagné à prendre un peu plus son temps, aurait gagné à être un peu moins balisé et moins linéaire, sur le fond il y a plein de bonnes choses qui en feraient une bd du tonnerre.
Tout d'abord le héros, une sorte de héros façon Joe Abercrombie, une véritable force de la nature qui quand elle se met en mouvement rien ne semble pouvoir l'arrêter. C'est aussi un personnage sur lequel repose un vrai mystère sur un passé plutôt sombre, en témoigne certains débordements assez violents.
La deuxième grande réussite de l'auteur c'est d'avoir réussi à donner corps à cette Bretagne fantastique, où le folklore celtique est une réalité que l'on découvre tout au long de l'aventure.
J'ai en mémoire pas mal de scènes très visuelles, notamment celle où le barde Caerwyn réveille ce qui s'apparente à un dragon des mers pour se défaire de cavaliers ennemis, ou bien cette halte très onirique dans une taverne fréquentée exclusivement par des êtres du peuple Sidh, ou bien encore la découverte du tombeau du roi Gradlon.

La prophétie de Viviane, premier tome de trilogie, peut se lire facilement comme un one shot, cependant je suis curieux de retrouver l'univers de l'auteur dans les deux prochains volumes tout en espérant un développement plus poussé de l'intrigue ainsi qu' un meilleur travail sur les personnages et leurs rapports entre eux.

Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
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Alors que Kaelig Morvan vient de perdre son fils et son épouse, il apprend que sa fille est à présent menacée. Ceux qui veulent la voir mourir ont peur qu'elle ressuscite des savoirs ancestraux et oubliés que l'Eglise réprouve. Kaelig est prêt à tout pour la protéger, et on va suivre son combat inlassable et animal pour enrayer ce dessein maudit.

Nous sommes propulsés avec ce roman au coeur de la Bretagne du dix septième siècle. le dépaysement est immédiat et nous fait étrangement éprouver le sentiment d'un retour aux sources. L'univers créé est à la fois valeureux et merveilleux. Les chevaliers glissent avec une facilité déconcertante d'un monde à l'autre accompagnés de bardes, druides qui leur montrent la voie à prendre avec bienveillance et discernement. Kaelig et sa fille Aela se rapprochent dans ce périple de tous les dangers.

On aime leur force de caractère, leur détermination sans faille et leur sensibilité profonde. Leur parcours est sincère, courageux, et on ressent très vite la magie d'un héritage puissant dont ils font l'enjeu.

L'écriture est précise, remarquable et nous projette dans une déferlante de sensations aussi inouïes qu'inoubliables. Nous suivons l'aventure avec frénésie et saveur. Il se dégage de ce récit une multitude de zones d'ombre et de lumière. Un parcours vibrant ou l'on accoste de mer en terre bretonne avec délice et fascination.

Une épopée fantastique pour un univers flamboyant. Douleur, amour, destinée sont intimement liés. Laissez vous imprégner par la force et la magie des éléments et vous serez sous le charme comme je l'ai été.

Au cas ou vous ne l'auriez pas compris, c'est un énormissime coup de coeur, j'en ressors subjuguée. A très vite pour la suite !
Lien : http://sophiesonge.canalblog..
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J'ai lu ce livre grâce à masse critique et j'ai eu peur en voyant que le livre est aussi court et j'ai eu raison. Ce premier tome ne m'a pas plus pour plusieurs raisons. Tout d'abord, le style d'écriture de l'auteur qui est extrêmement descriptif même si dans la fantasy c'est normal pour comprendre tout le contexte et le monde mais là c'est vraiment que de la description. Après je reconnais que c'est bien écrit et que ceux qui n'ont peur du manque d'action et qui aime les beaux paysages eux ça ne les dérangeras pas mais ce n'est pas le cas pour moi.Cela est certainement dû au fait qu'Il est précisé dans le livre que l'auteur est un marin est ça se remarque tout au long du tome beaucoup de passage sont liés à cette univers et auxquels je n'ai pas adhéré. Je pense qu'il s'agit d'un choix de l'auteur par rapport à ses goûts mais j'avoue que le peu d'action qu'on trouve m'a refroidi et tout est beaucoup trop facile. Les petits affrontements sont très brefs et les héros ne rencontrent aucun soucis ils gagnent trop facilement du coup ça n'a aucun intérêt. Aussi le manque d'approfondissement des personnages notamment du héros où on ne sait pas grand chose et que j'aurais apprécié avoir un point de vue omniscient pour mieux m'attacher à lui puisque l'auteur a choisi un style avec aussi beaucoup de dialogue et des tentatives d'humour pas vraiment drôle.
Ensuite concernant l'univers décrit dans ce tome il est très peu expliqué j'avoue que l'on trouve des sylphes, sorciers et des barbes mais on ne connaît pas énormément de choses sur ce monde plus spécialement sur le sidh qui est pourtant important dans ce roman.
Enfin, je pense que la cible est les plus jeunes car le ton est très enfantin, innocent et doux pour qu'il soit adapté à ce public. Et je note aussi le travail de soin qu'apporté l'auteur pour être le plus précis possible dans ses descriptions même si comme je l'ai dit précédemment ne m'a pas convaincu.
Finalement, vous l'aurez compris je n'ai pas aimé ce livre et j'ai essayé de ne rien oublier et d'être la plus précise possible pour ma critique. Je remercie babelio et les éditions ouest france pour leurs envois.
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Par une froide nuit de printemps, le Druide Delienn s'en vient trouver le chevalier Kaelig Morvan pour l'informer que sa fille court un grave danger. En effet, sur la foi d'une prophétie annonçant que les druides retrouveraient leurs pouvoirs d'antan, une secte religieuse fanatique « Deus Mirus », déjà à l'origine de la mort de la femme et du fils du chevalier, a reçu l'ordre de supprimer sa fille, Aela, âgée de onze ans. Pour préserver leurs vies, le père et la fille n'ont de solution que la fuite.

Sur fond de légendes anciennes, l'auteur nous entraîne dans une histoire au postulat de départ somme tout assez basique, puisque nous avons une prophétie désignant la jeune Aela comme descendante de la fée Viviane et également une secte aux pouvoirs ésotériques.

Précédemment à la révélation de la prophétie présente brièvement certains des protagonistes principaux et les environs du manoir du seigneur Morvan, le lecteur est alors projeté au coeur de la Bretagne du dix septième siècle. Un univers à la fois connu, mais aussi dépaysant qui se complète avec la fuite en avant d'Aela, de son père et de leurs compagnons. Si l'auteur nous fait découvrir la Bretagne, il nous fait également découvrir le Sidh, ce monde à la fois merveilleux, mystérieux, mais aussi dangereux parfois, dans lequel le groupe se glisse pour y trouver soit de l'aide, soit des alliés. Un univers qui nous projette au coeur des contes et légendes bretonnes, mais aussi celles des Celtes que l'on ne découvre avec le Sidh, bien que l'on n'y découvre principalement que leurs habitants non-humains dotés d'immenses pouvoirs. Malgré certaines violences l'atmosphère du livre se veut à la fois poétique mais aussi féeriques avec ces êtres de contes pour enfants.

Avec pour postulat de départ la quête d'une arme légendaire, le synopsis du récit ne présente pas de surprises puisque l'auteur nous fait progresser par étapes, l'une après l'autre, si cette manière de faire permet d'asseoir son univers par petites touche et de ne pas percevoir de longueurs dans les descriptions, de l'autre côté l'intrigue se révèle linéaire. Vu le nombre de pages du livre l'auteur aurait gagné à prendre un peu plus son temps en orientant les lecteurs dans des intrigues subsidiaires.

Les combats entre les membres de la secte et le groupe qui entoure la jeune fille sont décrits de manière trop brève pour que le lecteur puisse s'y immerger. Les chevaliers et le barde se ne rencontrent que peu de difficulté à se rendre maître de leurs adversaires, un note donc là un certain manque de crédibilité. Les personnages, bien qu'attachants, manque d'approfondissement notamment en ce qui concerne leurs passés, ce qui aurait permis d'encore mieux les cerner. Les dialogues sont très présents mais les tentatives pour y mettre un peu d'humour ne sont pas une réussite. La magie est souvent évoquée mais hormis les passages dans l'autre-monde, elle n'est que peu présente.

Le point fort du roman est le style très poétique d l'auteur et les descriptions suffisamment dosées pour que l'on puisse s'immerger dans les deux univers et dans l'intrigue. Pour certains termes notamment spécifiques à la navigation un lexique en fin de volume n'aurait pas été superflu.

Au final, le lecteur se retrouve plongé dans une fantasy classique mais très agréable à lire malgré les quelques errements. Toutefois le récit aurait gagné en profondeur si l'auteur y avait ajouté quelques dizaines de pages.

Lien : http://imaginaire-chronique...
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Les hauts membres religieux prônent le pardon et la vertu, mais ils doivent parfois emprunter des chemins de traverse pour atteindre leurs objectifs. Le baron de Lessac croit au bien-fondé de son entreprise et est prêt à tout pour purifier le monde. Se lier au cornu fait partie de ses propres sacrifices.
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Le capitaine du Cogneur était était un homme énigmatique, mais perspicace. Il avait saisi que la quête de Kaelig représentait une série d'épreuves toutes plus difficiles les unes que les autres et que l'oisiveté serait leur pire ennemie. C'était comme dans une guerre où il fallait entretenir la mauvaise humeur des soldats pour qu'ils se surpassent.
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Pour tous, la caste druidique ne représentait qu'une légende ou un regroupement d'illuminés adeptes de croyances archaïques. (…)

[Les druides] occupaient le rôle de gardiens du savoir ancestral et de guides spirituels en lien direct avec les dieux gaulois.
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Lui-même se vantait intérieurement d'être quelqu'un de lucide et, pourtant, il manquait parfois d'assurance. Bien sûr, il n'en laissait rien paraître, car un seigneur ne pouvait se permettre la moindre faiblesse.
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Le libre arbitre n'est pas une illusion façonnée pour excuser notre création et nos déviances. L'homme décide, aussi cruels soient parfois ses choix.
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