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Critique de Kenehan
Un tome exclusif tout droit sorti des greniers et qui s'offre au passage un petit lifting visuel et audio. Car oui, ce hors série de 1967 est un peu particulier puisqu'il s'agissait, à sa publication, d'un livre-disque.
Oeuvre cross-média, cet album délaisse les habituelles planches au service d'un texte signé Goscinny pour des illustrations en complément d'une mise en scène sonore venue insuffler la vie à nos gaulois préférés.
Si le sujet n'est pas extraordinaire, il est somme toute divertissant et en adéquation avec le format visé. Ainsi, l'écoute couplée à la lecture de l'album propose une expérience un peu à part et qui saura plaire aux plus jeunes comme aux plus grands.
Un tome réussi ne serait-ce que pour les sourires induits. Une certaine culture musicale, en variété française, n'est pas de trop pour saisir les parodies servies lors du concours du « Menhir d'or », ancêtre humoristique de l'Eurovision. En ce qui me concerne, je n'ai reconnu que Claude François…
En fin d'ouvrage, un appendice lève le voile sur l'histoire de ce tome à part, oublié et presque perdu. Il est dommage que la version audio originale ne soit pas proposée en bonus puisqu'elle contenait, entre autres, l'inoubliable voix de Roger Carel, l'Astérix des dessins animés.
Oeuvre cross-média, cet album délaisse les habituelles planches au service d'un texte signé Goscinny pour des illustrations en complément d'une mise en scène sonore venue insuffler la vie à nos gaulois préférés.
Si le sujet n'est pas extraordinaire, il est somme toute divertissant et en adéquation avec le format visé. Ainsi, l'écoute couplée à la lecture de l'album propose une expérience un peu à part et qui saura plaire aux plus jeunes comme aux plus grands.
Un tome réussi ne serait-ce que pour les sourires induits. Une certaine culture musicale, en variété française, n'est pas de trop pour saisir les parodies servies lors du concours du « Menhir d'or », ancêtre humoristique de l'Eurovision. En ce qui me concerne, je n'ai reconnu que Claude François…
En fin d'ouvrage, un appendice lève le voile sur l'histoire de ce tome à part, oublié et presque perdu. Il est dommage que la version audio originale ne soit pas proposée en bonus puisqu'elle contenait, entre autres, l'inoubliable voix de Roger Carel, l'Astérix des dessins animés.
