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sur 5850 notes
Tout commence avec un voyage à Bali, notre héros décide d'y rencontrer un guérisseur très réputé qui aurait même soigné de hauts dirigeants. Ensuite ? Ben c'est presque tout. Nous assistons à plusieurs dialogues entre le sage et le touriste. Entre chaque entretien, le maître lui donne un ou deux exercices à effectuer. Notre disciple repartira le coeur changé et plein d'espoir.

Dés la première page, j'ai compris que je mettais les pieds dans un univers qui ne me plairait sans doute pas : une citation de Bouddha. Ok. Avant qu'une horde d'européens persuadés d'être bouddhistes ne débarque couteau entre les dents -cherchez l'erreur- je tiens à préciser que je n'ai rien contre cette religion. Je trouve seulement un peu agaçant qu'on accommode le bouddhisme à toutes les sauces. C'est comme les macarons, on nous a tellement saoulé avec ça que je ne supporte plus cette friandise pourtant excellente au départ. Bref, entre le titre et la citation, j'avais bien compris ce qu'on voulait m'expliquer : tu vois AlterVorace, ce roman n'est pas un simple roman, nan, il va t'apporter les Réponses. Ensuite j'ai plongé dans l'histoire et j'ai bien cru me noyer. Ou étouffer. Sous une tonne de clichés, de bons sentiments et de pensée positive. C'est gluant, c'est sucré, c'est écoeurant. Et mal écrit. Non seulement la philosophie du guérisseur frôle l'enfantin tellement elle est simpliste mais ses propos frisent souvent le ridicule :

« - Ils ont raison ! Quand on se voit moche, les autres nous voient moches. Je suis certain que les femmes vous trouvent trop maigre.

- Hou là...

- Les autres vous voient comme nous nous voyons nous-même. »

Oui ami lecteur. Puis la guerre c'est mal, puis quand on est méchant les autres le sont en retour... Tu veux enfoncer d'autres portes ouvertes grâce à monsieur Gounelle ? Pas de problème :

« En Occident, vous avez l'habitude de séparer le corps et l'esprit. Ici, nous pensons que les deux sont intimement liés et forment un tout cohérent. »

Nous avons droit à tout un fatras de ce genre d'idées aussi profondes que l'impact de Barbara Cartland sur le monde de la littérature. L'amour est la solution, il faut savoir s'ouvrir aux autres, la chance n'existe pas mais on doit savoir reconnaître les opportunités qui se présentent... J'arrête là de peur de devoir utiliser un sac à vomi.

Tout au long du récit monsieur Gounelle prend la main du lecteur et lui parle comme à un demeuré pour lui pointer du doigt des idées toutes faites. Après avoir refermer l'ouvrage, je me suis un peu renseignée sur l'auteur de ce pseudo-roman initiatique. Et j'ai mieux compris. Ce monsieur est formateur en PNL (Programmation Neuro-linguistique) et son roman simplifie à l'extrême les principes de cette pseudo-science. Son but est de transmettre son savoir, pas d'écrire quelque chose d'intelligent.

Pour conclure, Laurent Gounelle c'est un peu comme si Paulo Coelho avait mangé Oui-Oui et un Bisounours. Franchement, tant de pensées positives enrobées dans du sucre, ça me donne envie de hurler. Ou de tuer des bébés chats.
Lien : http://altervorace.canalblog..
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En débarquant chez mon père au mois d'avril, que vois-je trônant dans sa bibliothèque? L'homme qui voulait être heureux. Chic, justement j'avais vu de bonnes critiques de lecteurs sur cet ouvrage donc qui dit vacances dit aussi repos de l'esprit, du coup cela aurait du être la lecture idéale pour commencer un séjour sous le soleil du sud.
Certains savent que je pratique la cartomancie, que j'aime beaucoup ce qui touche au développement personnel en règle générale et vous serez sûrement surpris de lire ce qui va suivre : j'ai refermé cette merde à la page 50. Voilà qui est dit !
Je vais être une sale langue de vipère car je ne serai certainement pas capable d'écrire un livre mais comment peut-on se foutre de la gueule des gens à ce point? L'homme qui voulait être heureux... Non mais laissez-moi rire, je l'aurai plutôt rebaptisé "L'histoire d'un ex frustré qui donne de pathétiques leçons de vie dans le but de remplir son compte en banque".
Le peu que j'ai lu m'a donné le tournis, c'est niais, insipide et ça sonne faux, mais faux... je me suis même demandé si l'auteur est réellement allé à Bali tellement ça a l'air inventé de toutes pièces. Déjà, l'espèce de chaman qui lui sert de guide n'est pas crédible pour un sou quand à la pseudo quête spirituelle de l'auteur... laissez tomber sinon vous allez vous taper un coma diabétique pour abus de guimauve!
Je vais vous dire le fond de ma pensée, si ce périple à Bali est réel, à mon avis l'auteur à plus passé son temps à fumer des pétards qu'à suivre assidûment les préceptes zen d'un espèce de bonhomme planqué au fin fond de la forêt.
Laurent Gounelle pourrait chanter à tue-tête "Ca plane pour moi", en attendant pour moi, L'homme qui voulait être heureux, ça a été une torture qui m'a presque grillé la rétine!
Voilà un auteur qui ne m'y reprendra pas, quand à vous mes amis si vous souhaitez tenter l'expérience je vous mettrai simplement en garde : c'est à vos risques et périls !
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Je sais que cela fait un peu cliché d'apprécier (pour ne pas dire même adorer) un livre qui a rencontré un tel succès au point d'en devenir un best-seller mais tans pis, j'assume mes choix ! Oui, j'ai adoré cet ouvrage (j'avais déjà adoré "Les dieux voyagent toujours incognito", et là, c'est le même sentiment de béatitude qui m'a emporté). Un livre simple, facile à lire, accessible à tous et qui pourtant nous fait réfléchir sur des questions existentielles, comme par exemple (et non pas des moindres) : Qu'est-ce que je veux vraiment faire de ma vie ? Et suis-je capable de réussir ? ou encore Dois-je me fondre dans le moule et faire ce que les autres attendent de moi ou faire ce dont, moi, j(ai réellement envie ?

Le narrateur va être amené à se poser toutes ses questions lors de son séjour à Bali avec sa rencontre avec guérisseur, ou pour être exacte, un maître spirituel du nom de Samtyang. Ce dernier va apprendre au narrateur à progresser en lui donnant quelques petites tâches à accomplir pour l'aider à découvrir qui il est réellement et à progresser afin de se sentir mieux dans sa vie et dans sa tête. Car oui, le narrateur exerce une profession (il est enseignant), il gagne donc bien sa vie (même s'il a de temps en temps des prises de tête avec son banquier à cause de ses découverts) mais il n'a cependant personne dans sa vie et plus que tout, il n'est pas heureux. Maître Samtyang va donc l'aider à découvrir ce qu'il lui faudrait faire pour que cela change !

Un roman agréable à lire, très vite lu et que je vous recommande, même si j'ai constaté que les avis sur le sujet étaient mitigés !
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Je pense que ce livre n'est pas fait pour tout le monde d'où les avis très contrastés à son égard ! c'est un livre de développement personnel par conséquent il s'adresse à un public bien précis : des gens en quête de renouveau, de connaissance de soi, de confiance en soi... Lecteurs surs de vous et bien dans votre vie ce livre n'est pas pour vous ;) Pour les autres (dont je fais partie !!!) ce livre certes simpliste regorge de questions existentielles mais surtout de leurs réponses salvatrices. Pour qui a déjà consulté un psy ce livre est un condensé de ce que certains peuvent mettre 10 ans à aborder en psychothérapie sauf que au près d'un psychiatre le travail sera inscris en vous alors que ce livre vous ouvrira les portes de ces "évidences" mais je doute qu'il soit un remède de longue durée (je dis ça pour les gens qui penseraient trouver içi une solution durable à leur mal être). Ce livre vous amènera peut être à prendre rdv avec un très bon psychiatre pour enfin vous délivrer de vos peurs et vos angoisses et rien que pour cela je dis que c'est un excellent livre. Bravo à l'auteur qui a su transmettre ce désir de changement chez certains lecteurs.
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Je devrais revoir certaines priorités. Il m'arrive de boire quelques bières, de fréquenter les plaisirs suaves et charnels des brunes, des blondes, des rousses, et le temps qui file sous mes yeux sans que je n'arrive à le rattraper. Il faudrait que je me pose cinq minutes, pour vivre. En attendant la serveuse à demi déshabillée, je te laisse deviner quelle moitié et je profite même de cet instant d'ardente attente pour te raconter mes dernières vacances à Bali, ses plages de sable fin, ses cocotiers, sa drogue ses putes ses massages. Bref, un petit coin de paradis sur terre, un endroit pour reposer son âme après une année harassée aux abords de la capitale. Parce que Bali est l'endroit idéal pour les rencontres et la recherche du bonheur. Je voulais être heureux, billet d'avion en poche. Je voulais croiser le regard de Nicole Kidman sur une plage admirant le coucher de soleil. Et bien tu ne vas peut-être pas me croire, mais j'ai vu mieux… Quoi ? Mieux que le regard de Nicole Kidman ?? Instant dubitatif qui te guette, que peut-il y avoir de mieux ? Son cul, l'ami ! Sa chute de rein. Souviens-toi…

« – Hou là…
- Les autres nous voient comme nous nous voyons nous-mêmes. Quelle est votre actrice préférée ?
- Nicole Kidman.
- Vous la trouvez comment ?
- Excellente actrice, l'une des meilleurs de sa génération. Je l'adore.
- Non, je veux dire physiquement.
- Superbe, magnifique, c'est une bombe.
- Vous avez dû voir Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick ?
- Vous regardez les films américains ? Vous avez un récepteur satellite dans votre campan ?
- Si ma mémoire est bonne, il y a une scène où l'on voit Nicole Kidman entièrement nue, en compagnie de Tom Cruise.
- Votre mémoire est bonne.
- Allez au vidéoclub de Kuta, et faites-vous projeter Eyes Wide Shut. Ils ont des cabines pour les gens qui ne possèdent pas de magnétoscope. Quand vous en arriverez à cette scène, faites un arrêt sur l'image et observez attentivement.
- Cela ne me demandera pas trop d'effort.
- Oubliez pendant quelques instants qu'il s'agit de Nicole Kidman, imaginez que c'est une inconnue, et regardez objectivement son corps.
- Oui…
- Vous constaterez vous-même qu'elle est bien, elle a un beau corps, mais pas parfait pour autant. Ses fesses sont jolies, mais elles pourraient être plus rebondies, un peu plus dessinées. Ses seins sont pas mal, mais ils auraient pu être plus volumineux, avoir un plus joli galbe, et être un peu plus hauts, plus dressés. Vous verrez aussi que les traits de son visage sont réguliers, fins, mais ne recèlent pas non plus une beauté exceptionnelle.
- Où voulez-vous en venir ?
- Il y a des dizaines de milliers de femmes aussi belles que Nicole Kidman. Vous en croisez tous les jours dans la rue et vous ne les remarquez même pas. Sa vraie force est ailleurs.
- Oui ?
- Nicole Kidman est vraisemblablement convaincue d'être superbe. Elle doit être persuadée que tous les hommes la désirent, et que toutes les femmes l'admirent ou la jalousent. Elle se voit probablement comme l'une des plus belles femmes du monde. Elle le croit si fort que les autres la voient ainsi. »

C'est ainsi à l'autre bout de la planète pendant que je suis en train de boire un cocktail dans une noix de coco qu'un vieux sage – parait-il – me parle des fesses de Nicole Kidman qu'il ne juge pas assez rebondies. Mon regard alors se perd sur la plage, à la recherche d'autres paires de fesses. Mmmh, belles celles-là. Ah oui, là effectivement elles ont l'air plus rebondies… Mmm, pas mal ; faudrait toucher pour m'assurer de leur fermeté mais, j'en conviens, ce cul-là dans le bikini bleu turquoise a l'air tout aussi bon que celui de Nicole. Un cul à rendre heureux un homme, un cul à faire réfléchir. J'aime bien cette spiritualité là, merci vieux sage ! Est-ce que ton concept s'adapte aussi à la poitrine des femmes ? Mais là, trouvons un autre modèle que Nicole Kidman pour philosopher le sujet…

Est-ce qu'il y a d'autres livres qui déblatèrent sur les fesses de Nicole ? Non, parce que cela pourrait m'intéresser. Moi aussi, comme chaque homme, j'aspire à être un homme heureux. Et puis ce genre de bouquin serait à lire plusieurs fois, pour rentrer plus en profondeur dans les messages spirituels d'une telle entrée en matière lors des lectures suivantes et des moments différents de sa vie intérieure. Peut-être le genre de bouquin à servir pour avoir une autre image de soi, surtout quand je nage nu dans l'eau tiède d'une baie balinaise. Cela s'appelle du développement personnel, et avec l'image des fesses de Nicole Kidman une partie de ma personne se développe effectivement. J'en conclus donc que l'auteur, Laurent Gounelle, a réussi sa mission. Il a de quoi en tirer une certaine satisfaction et fierté !

« Je repensais à ma rencontre avec le guérisseur, et je me sentais encore envoûté par notre échange. Cet homme avait une aura particulière, une énergie qui émanait naturellement de sa personne. J'étais assez excité par ce qu'il m'avait fait découvrir, même si ses propos m'avaient parfois décontenancé. Et je n'avais jamais imaginé que je me retrouverais un jour à l'autre bout du monde, écoutant un vieux sage balinais me commenter les seins et les fesses de Nicole Kidman. »

« L'homme qui voulait être heureux » et revoir le cul de Nicole Kidman.
Lien : http://leranchsansnom.free.f..
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J'hésitai quelques temps, avant d'entrer dans L'homme qui voulait être heureux... Je ne sais pas, je me méfiais un peu de ce titre...
Azincourt par temps de pluie est passé devant Laurent Gounelle, et puis je l'ai lu, ce livre dont je me gardais!
En route pour Bali, donc! En voiture pour une rencontre déterminante entre un vacancier et un vieux sage qui soigne corps et âmes.
Cela paraît si simple... Encore faut-il laisser le vieux sage entrer dans votre for!
Cela ne va pas forcément de soi, surtout si l'on ne se sait pas malheureux et si les vacances touchent à leur fin.
Voilà donc ce prof en vacances, parti dans une visite de lui-même, de ses rêves et de ses espoirs. Certaines de ses certitudes vont, sinon voler en éclats, plutôt s'effilocher voire disparaître... Et il finira, le vacancier de Bali, par grimper cette fameuse montagne!
Rechercher son bonheur, c'est plein de leurres et de fausses pistes... Cela nécessite une forte introspection, de l'aide et de la connaissance de soi-même.
L'homme qui voulait être heureux s'adresse et parle à tout le monde, et c'est ce qui a apporté mon adhésion... C'est aussi ce qui, apparemment, fâche et irrite beaucoup de commentateurs. Pour moi, ce livre est une porte que j'ai ouverte sur un jardin (le mien) et d'autres chemins intimes que l'on craint d'emprunter.

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J'ai acheté ce livre lors de la fête de fin d'année de l'école de ma nièce ( 9 ans). Il faisait partie d'un lot de cinq pour quelques euros. D'ordinaire, ce genre d'ouvrage ne fait pas partie de mes préférences, même si je peux comprendre qu'il puisse aider lorsqu'on traverse une période de questionnement, que la vie paraisse sans sens, que la lassitude, le découragement, le manque de goût, de désir noircissent l'horizon des pensées. L'homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle éclaire très simplement les ressorts psychologiques qui font de l'homme son pire ennemi dans sa quête du bonheur. L'auteur emprunte la figure tutélaire du vieil homme à la sagesse orientale qui guidera l'occidental vers une meilleur compréhension de lui-même et des clés pour atteindre la paix intérieure.
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Soyons clair, j'ai trouvé ce livre presque nul. Je me méfiais déjà devant son succès de "Best seller", meilleure vente ?!. Chaque ligne est une parodie de bouddhisme, de psychologie, de trucs pour développement personnel, de jugement à l'emporte-pièce sur la façon de vivre ou d'être des uns et des autres. Car la morale c'est qu'il y a UNE façon d'être qui est la bonne... L'histoire : Un touriste occidental va se découvrir en 3 jours grâce à un maître tout de bienveillance et de sourire. Un croisement entre de Dalaï-lama et Gandhi. Ce gourou lui révèle après des exercices ( mais oui !!, entre deux séances le maître donne des devoirs : aller chercher des infos sur Internet, écrire sur un carnet , gravir une colline, obtenir des refus...) que - et là ça devient sérieux - l'argent ne fait pas le bonheur, on a toujours le choix, la foi rallonge la durée de vie, etc... tout est l'avenant jusqu'à la fin. Et le tout emballé dans un style où les descriptions sirupeuses de Bali alternent avec des dialogues simplissimes, des adjectifs et des adverbes à foison. Heureusement que le livre est petit.
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Encore un livre découvert et lu dans le cadre du soutien scolaire. (Amira, 3ème dans un collège privé)
Pour traiter de l'argumentation, j'avais lu , au lycée « la Vie heureuse de Sénèque » ( Sénèque, pour être en cohérence avec les cours de latin ? ) Aujourd'hui, cette collégienne doit rédiger une fiche de lecture sur
« L'homme qui voulait être heureux », un roman (un essai plus tôt) qui a pour cadre un endroit idyllique, l'Indonésie, l'île de Bali. L'auteur met un scène Julian, un enseignant venu en tant que touriste se reposer dans un petit village de pêcheurs à l'écart des grands axes touristiques. A quelques jours de la fin de ses vacances, il décide de consulter un guérisseur non pas qu'il soit malade, mais plus par curiosité.
S'ensuit , plusieurs rencontres avec le Gourou Samtyang.
Pour ma part, je n'aurais jamais choisi ce type de lecture, j'ai trouvé qu'il y avait un décalage et trop de modernité dans les propos du sage, et les préceptes qu'il enseigne un peu primaires, mais bon, je ne suis pas réceptive à ce genre de chose, tant pis pour moi.
Mais là n'est pas l'essentiel, ce que Amira doit retenir et qui devra lui servir plus tard pour réussir ses commentaires, dissertations, exposés et autres travaux scolaires et universitaires c'est de bien repérer et maîtriser les artifices de l'argumentation, d'acquérir l'art de convaincre pour capter l'attention du destinataire, de faire évoluer son opinion, réussir à le convaincre, à le persuader à toucher, percuter à la fois la raison et le coeur comme le souhaitait Pascal . Alors nous allons disséquer, ensemble, ce livre pour en découvrir les techniques et moyens employés par l'auteur (en tout cas, si j'en crois les ventes, un bon moyen pour s'enrichir !) , je ne lui dévoilerai pas mon ressenti lui laissant à loisir , le choix entier d'apprécier ou pas les prescriptions énumérées par ce « guérisseur » (ou manipulateur) des âmes et des corps .
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Attirée par le sujet, un brin de spiritualité ne fait jamais de mal, j'avoue avoir été profondément déçue par "L'homme qui voulait être heureux".
C'est mièvre, cucul, béni oui oui, bref une lecture qui ne casse pas trois pattes à un canard!
Je sais, je n'ai aucune charité chrétienne et ce n'est pas le respect bouddhiste qui m'étouffe mais je tenais à faire part de mon avis.
Certains se demanderont si je n'ai pas avalé mon parapluie tant il est rare car difficile pour moi d'écrire une critique négative! En général je m'abstiens...
Passez votre chemin si vous voulez mon humble avis, vous n'en serez que plus heureux!
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