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EAN : 9782843374708
224 pages
Anne Carrière (13/02/2008)
  Existe en édition audio
3.73/5   5857 notes
Résumé :
Imaginez...
Vous êtes en vacances à Bali et, peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guérisseur. Sans raison particulière, juste parce que sa grande réputation vous a donné envie de le rencontrer, au cas où...
Son diagnostic est formel : vous êtes en bonne santé, mais vous n'êtes pas heureux.
Porteur d'une sagesse infinie, ce vieil homme semble vous connaître mieux que vous-même. L'éclairage très particulier qu'il apporte à votr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (620) Voir plus Ajouter une critique
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sur 5857 notes
Tout commence avec un voyage à Bali, notre héros décide d'y rencontrer un guérisseur très réputé qui aurait même soigné de hauts dirigeants. Ensuite ? Ben c'est presque tout. Nous assistons à plusieurs dialogues entre le sage et le touriste. Entre chaque entretien, le maître lui donne un ou deux exercices à effectuer. Notre disciple repartira le coeur changé et plein d'espoir.

Dés la première page, j'ai compris que je mettais les pieds dans un univers qui ne me plairait sans doute pas : une citation de Bouddha. Ok. Avant qu'une horde d'européens persuadés d'être bouddhistes ne débarque couteau entre les dents -cherchez l'erreur- je tiens à préciser que je n'ai rien contre cette religion. Je trouve seulement un peu agaçant qu'on accommode le bouddhisme à toutes les sauces. C'est comme les macarons, on nous a tellement saoulé avec ça que je ne supporte plus cette friandise pourtant excellente au départ. Bref, entre le titre et la citation, j'avais bien compris ce qu'on voulait m'expliquer : tu vois AlterVorace, ce roman n'est pas un simple roman, nan, il va t'apporter les Réponses. Ensuite j'ai plongé dans l'histoire et j'ai bien cru me noyer. Ou étouffer. Sous une tonne de clichés, de bons sentiments et de pensée positive. C'est gluant, c'est sucré, c'est écoeurant. Et mal écrit. Non seulement la philosophie du guérisseur frôle l'enfantin tellement elle est simpliste mais ses propos frisent souvent le ridicule :

« - Ils ont raison ! Quand on se voit moche, les autres nous voient moches. Je suis certain que les femmes vous trouvent trop maigre.

- Hou là...

- Les autres vous voient comme nous nous voyons nous-même. »

Oui ami lecteur. Puis la guerre c'est mal, puis quand on est méchant les autres le sont en retour... Tu veux enfoncer d'autres portes ouvertes grâce à monsieur Gounelle ? Pas de problème :

« En Occident, vous avez l'habitude de séparer le corps et l'esprit. Ici, nous pensons que les deux sont intimement liés et forment un tout cohérent. »

Nous avons droit à tout un fatras de ce genre d'idées aussi profondes que l'impact de Barbara Cartland sur le monde de la littérature. L'amour est la solution, il faut savoir s'ouvrir aux autres, la chance n'existe pas mais on doit savoir reconnaître les opportunités qui se présentent... J'arrête là de peur de devoir utiliser un sac à vomi.

Tout au long du récit monsieur Gounelle prend la main du lecteur et lui parle comme à un demeuré pour lui pointer du doigt des idées toutes faites. Après avoir refermer l'ouvrage, je me suis un peu renseignée sur l'auteur de ce pseudo-roman initiatique. Et j'ai mieux compris. Ce monsieur est formateur en PNL (Programmation Neuro-linguistique) et son roman simplifie à l'extrême les principes de cette pseudo-science. Son but est de transmettre son savoir, pas d'écrire quelque chose d'intelligent.

Pour conclure, Laurent Gounelle c'est un peu comme si Paulo Coelho avait mangé Oui-Oui et un Bisounours. Franchement, tant de pensées positives enrobées dans du sucre, ça me donne envie de hurler. Ou de tuer des bébés chats.
Lien : http://altervorace.canalblog..
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En débarquant chez mon père au mois d'avril, que vois-je trônant dans sa bibliothèque? L'homme qui voulait être heureux. Chic, justement j'avais vu de bonnes critiques de lecteurs sur cet ouvrage donc qui dit vacances dit aussi repos de l'esprit, du coup cela aurait du être la lecture idéale pour commencer un séjour sous le soleil du sud.
Certains savent que je pratique la cartomancie, que j'aime beaucoup ce qui touche au développement personnel en règle générale et vous serez sûrement surpris de lire ce qui va suivre : j'ai refermé cette merde à la page 50. Voilà qui est dit !
Je vais être une sale langue de vipère car je ne serai certainement pas capable d'écrire un livre mais comment peut-on se foutre de la gueule des gens à ce point? L'homme qui voulait être heureux... Non mais laissez-moi rire, je l'aurai plutôt rebaptisé "L'histoire d'un ex frustré qui donne de pathétiques leçons de vie dans le but de remplir son compte en banque".
Le peu que j'ai lu m'a donné le tournis, c'est niais, insipide et ça sonne faux, mais faux... je me suis même demandé si l'auteur est réellement allé à Bali tellement ça a l'air inventé de toutes pièces. Déjà, l'espèce de chaman qui lui sert de guide n'est pas crédible pour un sou quand à la pseudo quête spirituelle de l'auteur... laissez tomber sinon vous allez vous taper un coma diabétique pour abus de guimauve!
Je vais vous dire le fond de ma pensée, si ce périple à Bali est réel, à mon avis l'auteur à plus passé son temps à fumer des pétards qu'à suivre assidûment les préceptes zen d'un espèce de bonhomme planqué au fin fond de la forêt.
Laurent Gounelle pourrait chanter à tue-tête "Ca plane pour moi", en attendant pour moi, L'homme qui voulait être heureux, ça a été une torture qui m'a presque grillé la rétine!
Voilà un auteur qui ne m'y reprendra pas, quand à vous mes amis si vous souhaitez tenter l'expérience je vous mettrai simplement en garde : c'est à vos risques et périls !
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Je sais que cela fait un peu cliché d'apprécier (pour ne pas dire même adorer) un livre qui a rencontré un tel succès au point d'en devenir un best-seller mais tans pis, j'assume mes choix ! Oui, j'ai adoré cet ouvrage (j'avais déjà adoré "Les dieux voyagent toujours incognito", et là, c'est le même sentiment de béatitude qui m'a emporté). Un livre simple, facile à lire, accessible à tous et qui pourtant nous fait réfléchir sur des questions existentielles, comme par exemple (et non pas des moindres) : Qu'est-ce que je veux vraiment faire de ma vie ? Et suis-je capable de réussir ? ou encore Dois-je me fondre dans le moule et faire ce que les autres attendent de moi ou faire ce dont, moi, j(ai réellement envie ?

Le narrateur va être amené à se poser toutes ses questions lors de son séjour à Bali avec sa rencontre avec guérisseur, ou pour être exacte, un maître spirituel du nom de Samtyang. Ce dernier va apprendre au narrateur à progresser en lui donnant quelques petites tâches à accomplir pour l'aider à découvrir qui il est réellement et à progresser afin de se sentir mieux dans sa vie et dans sa tête. Car oui, le narrateur exerce une profession (il est enseignant), il gagne donc bien sa vie (même s'il a de temps en temps des prises de tête avec son banquier à cause de ses découverts) mais il n'a cependant personne dans sa vie et plus que tout, il n'est pas heureux. Maître Samtyang va donc l'aider à découvrir ce qu'il lui faudrait faire pour que cela change !

Un roman agréable à lire, très vite lu et que je vous recommande, même si j'ai constaté que les avis sur le sujet étaient mitigés !
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Je pense que ce livre n'est pas fait pour tout le monde d'où les avis très contrastés à son égard ! c'est un livre de développement personnel par conséquent il s'adresse à un public bien précis : des gens en quête de renouveau, de connaissance de soi, de confiance en soi... Lecteurs surs de vous et bien dans votre vie ce livre n'est pas pour vous ;) Pour les autres (dont je fais partie !!!) ce livre certes simpliste regorge de questions existentielles mais surtout de leurs réponses salvatrices. Pour qui a déjà consulté un psy ce livre est un condensé de ce que certains peuvent mettre 10 ans à aborder en psychothérapie sauf que au près d'un psychiatre le travail sera inscris en vous alors que ce livre vous ouvrira les portes de ces "évidences" mais je doute qu'il soit un remède de longue durée (je dis ça pour les gens qui penseraient trouver içi une solution durable à leur mal être). Ce livre vous amènera peut être à prendre rdv avec un très bon psychiatre pour enfin vous délivrer de vos peurs et vos angoisses et rien que pour cela je dis que c'est un excellent livre. Bravo à l'auteur qui a su transmettre ce désir de changement chez certains lecteurs.
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Je devrais revoir certaines priorités. Il m'arrive de boire quelques bières, de fréquenter les plaisirs suaves et charnels des brunes, des blondes, des rousses, et le temps qui file sous mes yeux sans que je n'arrive à le rattraper. Il faudrait que je me pose cinq minutes, pour vivre. En attendant la serveuse à demi déshabillée, je te laisse deviner quelle moitié et je profite même de cet instant d'ardente attente pour te raconter mes dernières vacances à Bali, ses plages de sable fin, ses cocotiers, sa drogue ses putes ses massages. Bref, un petit coin de paradis sur terre, un endroit pour reposer son âme après une année harassée aux abords de la capitale. Parce que Bali est l'endroit idéal pour les rencontres et la recherche du bonheur. Je voulais être heureux, billet d'avion en poche. Je voulais croiser le regard de Nicole Kidman sur une plage admirant le coucher de soleil. Et bien tu ne vas peut-être pas me croire, mais j'ai vu mieux… Quoi ? Mieux que le regard de Nicole Kidman ?? Instant dubitatif qui te guette, que peut-il y avoir de mieux ? Son cul, l'ami ! Sa chute de rein. Souviens-toi…

« – Hou là…
- Les autres nous voient comme nous nous voyons nous-mêmes. Quelle est votre actrice préférée ?
- Nicole Kidman.
- Vous la trouvez comment ?
- Excellente actrice, l'une des meilleurs de sa génération. Je l'adore.
- Non, je veux dire physiquement.
- Superbe, magnifique, c'est une bombe.
- Vous avez dû voir Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick ?
- Vous regardez les films américains ? Vous avez un récepteur satellite dans votre campan ?
- Si ma mémoire est bonne, il y a une scène où l'on voit Nicole Kidman entièrement nue, en compagnie de Tom Cruise.
- Votre mémoire est bonne.
- Allez au vidéoclub de Kuta, et faites-vous projeter Eyes Wide Shut. Ils ont des cabines pour les gens qui ne possèdent pas de magnétoscope. Quand vous en arriverez à cette scène, faites un arrêt sur l'image et observez attentivement.
- Cela ne me demandera pas trop d'effort.
- Oubliez pendant quelques instants qu'il s'agit de Nicole Kidman, imaginez que c'est une inconnue, et regardez objectivement son corps.
- Oui…
- Vous constaterez vous-même qu'elle est bien, elle a un beau corps, mais pas parfait pour autant. Ses fesses sont jolies, mais elles pourraient être plus rebondies, un peu plus dessinées. Ses seins sont pas mal, mais ils auraient pu être plus volumineux, avoir un plus joli galbe, et être un peu plus hauts, plus dressés. Vous verrez aussi que les traits de son visage sont réguliers, fins, mais ne recèlent pas non plus une beauté exceptionnelle.
- Où voulez-vous en venir ?
- Il y a des dizaines de milliers de femmes aussi belles que Nicole Kidman. Vous en croisez tous les jours dans la rue et vous ne les remarquez même pas. Sa vraie force est ailleurs.
- Oui ?
- Nicole Kidman est vraisemblablement convaincue d'être superbe. Elle doit être persuadée que tous les hommes la désirent, et que toutes les femmes l'admirent ou la jalousent. Elle se voit probablement comme l'une des plus belles femmes du monde. Elle le croit si fort que les autres la voient ainsi. »

C'est ainsi à l'autre bout de la planète pendant que je suis en train de boire un cocktail dans une noix de coco qu'un vieux sage – parait-il – me parle des fesses de Nicole Kidman qu'il ne juge pas assez rebondies. Mon regard alors se perd sur la plage, à la recherche d'autres paires de fesses. Mmmh, belles celles-là. Ah oui, là effectivement elles ont l'air plus rebondies… Mmm, pas mal ; faudrait toucher pour m'assurer de leur fermeté mais, j'en conviens, ce cul-là dans le bikini bleu turquoise a l'air tout aussi bon que celui de Nicole. Un cul à rendre heureux un homme, un cul à faire réfléchir. J'aime bien cette spiritualité là, merci vieux sage ! Est-ce que ton concept s'adapte aussi à la poitrine des femmes ? Mais là, trouvons un autre modèle que Nicole Kidman pour philosopher le sujet…

Est-ce qu'il y a d'autres livres qui déblatèrent sur les fesses de Nicole ? Non, parce que cela pourrait m'intéresser. Moi aussi, comme chaque homme, j'aspire à être un homme heureux. Et puis ce genre de bouquin serait à lire plusieurs fois, pour rentrer plus en profondeur dans les messages spirituels d'une telle entrée en matière lors des lectures suivantes et des moments différents de sa vie intérieure. Peut-être le genre de bouquin à servir pour avoir une autre image de soi, surtout quand je nage nu dans l'eau tiède d'une baie balinaise. Cela s'appelle du développement personnel, et avec l'image des fesses de Nicole Kidman une partie de ma personne se développe effectivement. J'en conclus donc que l'auteur, Laurent Gounelle, a réussi sa mission. Il a de quoi en tirer une certaine satisfaction et fierté !

« Je repensais à ma rencontre avec le guérisseur, et je me sentais encore envoûté par notre échange. Cet homme avait une aura particulière, une énergie qui émanait naturellement de sa personne. J'étais assez excité par ce qu'il m'avait fait découvrir, même si ses propos m'avaient parfois décontenancé. Et je n'avais jamais imaginé que je me retrouverais un jour à l'autre bout du monde, écoutant un vieux sage balinais me commenter les seins et les fesses de Nicole Kidman. »

« L'homme qui voulait être heureux » et revoir le cul de Nicole Kidman.
Lien : http://leranchsansnom.free.f..
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Citations et extraits (562) Voir plus Ajouter une citation
Une jeune femme vint à ma rencontre, enroulée dans son sarong, ses cheveux noirs relevés en chignon, le teint hâlé, un petit nez régulier et des yeux non bridés, traits qui m'ont toujours étonné chez cette population enfouie au cœur de l'Asie.
- Bonjour, que voulez-vous ? me demanda-t-elle, s'exprimant d'entrée de jeu dans un anglais approximatif.
Mon mètre quatre-vingt-dix et mes cheveux blonds laissaient peu d'ambiguïté sur mes origines occidentales.
- Je viens voir monsieur... euh... maître... Samtyang.
- Il va venir, m'informa-t-elle avant de disparaître entre les arbustes et la succession de petites colonnes qui soutenaient les toits des campans.
Je restai un peu bête, debout, en attendant que Son Excellence daigne venir accueillir l'humble visiteur que j'étais. Au bout de cinq minutes, qui me parurent suffisamment longues pour m'amener à m'interroger sur la pertinence de ma présence ici, je vis s'avancer un homme d'au moins soixante-dix ans, peut-être même quatre-vingts. La première chose qui me vint à l'esprit fut que je lui aurais sans doute donné cinquante roupies si je l'avais vu faire la manche dans la rue. J'ai tendance à ne donner qu'aux vieux : je me dis que s'ils mendient à leur âge, c'est vraiment qu'ils n'ont pas le choix. L'homme qui marchait lentement dans ma direction n'était pas en haillons, certes, mais ses vêtements étaient d'une sobriété désarmante, minimaliste et sans âge.
J'ai honte d'avouer que mon premier réflexe fut de penser qu'il y avait erreur sur la personne. Il ne pouvait s'agir du guérisseur dont la réputation s'étendait outre-mer. Ou alors son don allait de pair avec son manque de discernement et il acceptait que le Premier ministre du Japon le paye en cacahuètes. Il aurait pu aussi être un génie du marketing, ciblant une clientèle d'Occidentaux crédules, avides de clichés, comme celui du guérisseur vivant en ascète dans le parfait détachement à l'égard des choses matérielles, mais acceptant en fin de séance une rétribution généreuse.
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Page 136
Une vie réussie est une vie que l'on a menée conformément à ses souhaits, en agissant toujours en accord avec ses valeurs, en donnant le meilleur de soi-même dans ce que l'on fait, en restant en harmonie avec qui on est, et, si possible, une vie qui nous a donné l'occasion de nous dépasser, de nous consacrer à autre chose qu'à nous-mêmes et d'apporter quelque chose à l'humanité, même très humblement, même si c'est infime. Une petite plume d'oiseau confiée au vent. Un sourire pour les autres.
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- Très bien, je suis d’accord avec tout ça dans l’absolu, mais en pratique ce n’est pas toujours possible de faire ce que l’on souhaite faire.
- On a toujours le choix.
- Non, si je ne faisais que ce qui est en accord ave moi-même, je risquerais de perdre mon boulot…
- Vous avez donc le choix de garder ou de perdre cet emploi.
- Mais je prendrais dans ce cas le risque d’en trouver un moins bien rémunéré. Je ne pourrais plus payer mon loyer !
- Vous auriez alors le choix de conserver cet appartement ou d’en prendre un moins cher, peut-être plus éloigné de de votre travail.
- Ma famille et mes amis seraient déçus si je m’éloignais.
- Alors, vous auriez le choix au de les satisfaire ou de les décevoir.
- Vu comme ça…
- C’est juste pour vous dire que le choix vous appartient. A certains moments, dans la vie, on n’a pas forcément beaucoup de choix, et ceux-ci sont peut-être douloureux, mais ils existent et, au final, c’est vous qui déterminez ce que vous vivez : vous avez toujours le choix, et c’est bien de garder à l’esprit cette idée.
- J’ai parfois l’impression que ce sont les autres qui choisissent pour moi.
- Alors, c’est que vous choisissez de les laisser décider pour vous.
- Je trouve quand même qu’il y a des gens qui disposent de plus de choix que d’autres.
- Plus on évolue dans la vie, plus on se débarasse des croyances qui nous limitent, et plus on a de choix. Et le choix, c’est la liberté.
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Vous vous souvenez qu’hier nous avons parlé du bébé qui apprend à marcher et ne se décourage jamais, malgré ses échecs à répétitions ?
- Oui
- S’il prersévère et finit par réussir, c’est notamment parce qu’aucun parent au monde ne doute de la capacité de son enfant à marcher, et aucune personne au monde ne va le décourager dans ses tentatives. Alors qu’une fois adulte, nombreux seront les gens qui vont le dissuader de réaliser ses rêves.
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— Quand vous ne dites pas la vérité aux gens, vous leur fournissez la tentation de contourner vos arguments, ce qui vous amène à mentir de nouveau. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé. Au bout du compte, vous vous retrouvez contraint de faire quelque chose contre votre volonté, tel que manger un mets que vous n’aimez pas… Vous êtes donc doublement pénalisé.
—Doublement ?
— Oui, parce que mentir est avant tout mauvais pour soi. Un peu comme si cela générait une énergie négative que l’on accumulerait en soi. Essayez la vérité : vous verrez, c’est libérateur, et on se sent beaucoup plus léger d’un seul coup.
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Vidéo de Laurent Gounelle
Extrait du livre audio « le Réveil » de Laurent Gounelle lu par Rémi Gutton. Parution numérique le 29 mars 2023.
https://www.audiolib.fr/livre/le-reveil-9782702188668/
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