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BZRK tome 1 sur 3
EAN : 9782070646562
448 pages
Gallimard Jeunesse (30/11/-1)
3.46/5   131 notes
Résumé :
2040. Sadie McLure veut savoir qui a assassiné sa famille. Noah Cotton a besoin de comprendre ce qui a mené son frère à la démence. À la recherche de réponses, les deux adolescents se retrouvent projetés dans le monde fascinant de la nano-dimension et au coeur de la plus incroyable bataille jamais menée pour sauver la liberté des hommes.Un thriller haletant où toutes les manipulations biologiques, psychologiques ou politiques sont permises.
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Critiques, Analyses et Avis (45) Voir plus Ajouter une critique
3,46

sur 131 notes
Un bon polar technologique.

Il s'agit du premier tome d'une trilogie de l'auteur, plus connu en France pour sa série YA Gone.
Le second tome est prévu en fin d'année en Anglais pour l'instant : BZRK Reloaded.

Dans un futur très proche, voire de nos jours, certaines sociétés privées maîtrisent, à l'insu des gouvernements mondiaux, la nanotechnologie. Ils ont développé nanobots et biobots, mini-machines à l'échelle des acariens permettant de s'introduire dans le cerveau et y manipuler les émotions. Pour diriger ces bots, les adolescents, plus flexibles et adaptables sont les meilleurs sujets.
Deux sociétés s'affrontent, l'une cherchant asservir l'humanité (pour simplifier), l'autre cherchant à l'en empêcher.
Pour ceux que cela intrigue (et dans la mesure où la réponse est donnée dans une note de traduction avant même le début du livre), BZRK, vient de Berserk : Guerrier nordique pris de coup de folie, ayant donné en anglais la traduction de fou furieux, voire disjoncté. Oui, car si le biobots est perdu à l'échelle nano, son "propriétaire" sombre dans la folie.

Le roman est étiqueté Young Adult, mais peut se lire sans soucis par les Adultes plus si young que cela (c'est moi).
Après un début tonitruant, on est rapidement pris dans l'action qui ne faiblit pas au cours des chapitres. On comprend rapidement les tenants et les aboutissants de l'histoire. Les descriptions des "paysages" nano sont bien tournées et à l'échelle macro (l'échelle normale donc) on ne lésine pas sur l'hémoglobine.
Oui, il y a des gentils et des méchants, mais sans manichéisme excessif (les gentils étant capable de belles atrocités). le roman y gagne en crédibilité ce qu'il avait perdu dans le background (une technologie de contrôle de l'esprit existant sans que l'armée ou les services secrets des différents gouvernements mondiaux ne soient au courant, bof...).

Bref, un premier tome divertissant.
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HA LA VACHE !
Pardon, mais purée, ce livre décoiffe un max !
Je n'avais jamais entendu parler de ce bouquin avant, et à part la couverture sympa et le fait qu'il y ai une citation hyper enthousiaste de Stephen King au dos, quand j'ai reçu les épreuves de Gallimard, j'me suis surtout dis 'Meh, pourquoi quoi".
Et en fait, en le lisant, j'me retrouvais comme dans des montagnes russes, le cheveux hirsute, l'oeil exorbité et larmoyant sous la tension, les muscles tendus et crispés, la mâchoire serrée.

Le résumé est pas mal, mais à première vue, je trouve qu'il fait surtout penser au genre d'histoire à la Spy Kids. Des jeunes se retrouvent avec une mission très importante sur les bras, coachés par une incroyable organisation ultra-secrète.
Waaaah, ça donne hyper méga envie quand on a passé 20 ans, hein ?
Sauf que non ! ma p'tite dame, c'est pas tout à fait ça. Enfin si, mais non. Un peu, mais pas vraiment. Ha ben ça va être coton tiens.
Donc oui, la base, on va dire que c'est bien ça. Mais on n'est pas dans un Disney, et ici, c'est violent, c'est cru, c'est hard, ça fait mal, c'est pas propre, ça claque.
Déjà, rien que les deux scènes qui présentent Noah et Sadie.
Noah dans un hôpital psychiatrique pour y voir son grand frère interné. Rien que cette scène, dès la toute première page, m'a mise mal à l'aise de par le côté cru et réaliste de ses descriptions.
Pareil pour la scène de Sadie, où l'on se lie d'abord avec son père et son frère, devisant gaiement dans un jet, avant que celui-ci ne s'écrase brutalement dans un stade, tuant des centaines de personnes.
Et rien ne nous est épargné. RIEN.
Le sang, la chair, les os, les hurlements, la panique, la peur.
Une scène extrêmement dure à lire, qui annonce la couleur du reste de l'histoire
Rien ne nous est épargné. le ton est donné.

Bon, je vous résume vite fait histoire que vous visualisiez quand même le background du bouquin.
Un milliardaire a inventé des nanobots absolument incroyables, reproduits grâce à de l'adn et pouvant être commandés par le donneur d'adn.
C'est pas clair ? Hmm ... Imaginez que vous donniez un peu de sang, on en crée un nanobot organique, et c'est une partie indépendante de vous, que vous pouvez contrôlez par l'esprit.
Vous imaginez mieux ? Et bien cet homme a créé ce procédé pour la médecine, mais c'est quelque chose d'illégal, car tombant entre de mauvaises mains, ces créatures seraient capable de s'introduire dans n'importe quel être humain pour le contrôler.
Flippant, n'est-ce pas.
Nous avons donc, d'un côté, une organisation qui a reproduit cette technologie et veut s'en servir pour mettre la main sur les grandes puissances mondiales, et de l'autre, l'équipe venant de ce milliardaire et qui doit tout faire, TOUT, pour stopper l'organisation ennemie.
Et c'est tout simplement à couper le souffle.
Non seulement tout va à 100 à l'heure, il y a de l'action quasi non-stop et on a un parfait mélange entre combats et machinations, mais il y a, pour moi, le vrai, gros intérêt du livre : le corps humain.

Car qui dit nanorobots, dit balades dans le monde de l'infiniment petit. Et bon, même si je ne me passionne pas spécialement pour la médecine et la science (même si celle-ci ne cessera jamais de m'étonner), je dois bien avouer que j'ai été absolument bluffée par les descriptions du corps humain en ultra-gros plan.
C'est tout simplement fascinant, et l'auteur est tellement bon, a une écriture tellement visuelle, que l'on voyait sans aucun effort tout ce qu'il voulait nous faire voir.
Comment c'est un oeil quand on peut se balader dessus ? Á quoi ressemble l'intérieur des oreilles quand on est 10 fois plus petit qu'une puce ? Et je ne vous parle pas du cerveau ou simplement de la peau et ses poils !
C'est jubilatoire et c'est un pur plaisir d'avoir cette vision si précise de certaines scènes et décors !
Un autre aspect qui m'a pas mal déstabilisée mais que j'ai a-do-ré, c'est la violence (vous finissez par me connaître, maintenant) omniprésente. Que ce soit dans les dialogues (moi qui parle de façon très vulgaire, j'admets m'être reconnue dans certaines discussion, haha !), dans certains personnages, leurs réactions ou encore dans pas mal de scènes.
C'est étonnant d'en trouver autant dans un livre étiqueté jeunesse, et pourtant, j'ai un peu envie de dire que l'adolescence est une période pleine de violence, aussi bien internes qu'extérieures.
J'ai juste l'impression que l'auteur ne prend pas son public pour des cons, et il n'essaye à aucun moment d'adoucir son propos ou d'infantiliser ses lecteurs.
C'est tout à son honneur, et à aucun moment j'ai eu l'impression de lire quelque chose qui était destiné à bien plus jeune que moi. Franchement, bravo, j'ai trouvé ça génial !

Je pourrais encore en parler longtemps de ce bouquin, tellement il est décoiffant, intelligent, vif, brillant, original, bien écrit, réaliste et qu'il prend aux tripes.
J'ai été bousculée, choquée, amusée, émue et désarçonnée. Pas mal, non, pour un livre jeunesse ?
Je ne peux que vous conseiller de sauter dessus dès sa sortie, ce 20 septembre. Une grosse claque bourrée d'émotions.
Lien : http://archessia.over-blog.c..
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Une nouvelle sorte de guerre se déroule à l'intérieur de nous, « dans la chair ». Des nanobots et biobots se livrent une guerre sans merci à l'intérieur de notre organisme pour prendre le contrôle de notre corps et de nos pensées. Ces armées sont contrôlées par des hommes et des femmes qui sombrent peu à peu dans la folie et l'envie de sang. Meurtres horribles, sombres machinations et attentats suicides, personne n'en sortira indemne.

Un livre assez cru, avec des descriptions très précises des situations des plus sanglantes. Néanmoins l'histoire est bien construite et on a envie de savoir la suite. A ne pas mettre entre toutes les mains !
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Au vue de la première de couverture, "BZRK" est sans nul doute un roman ado SF frissonnant.

Il sera à rapprocher du dernier Robert Muchamore "Killer T" (Casterman) qui prenait entre autres pour fond l'éternelle théorie du complot et les nouvelles technologies en armes sophistiquées d'exécution mortelle.



Michaël Grant, c'est un nom bien connu des ados lecteurs.

"Gone", cela vous dit bien quelque chose, n'est-ce pas?

Un autre scénario angoissant, à la manière d'un Stephen King, mettant en scène une ville laissée aux ados et dont les adultes ont tous mystérieusement disparu. Certains se voyaient également contaminés d'une radiation qui leur conférait des pouvoirs étranges.

Ce fut une série à succès.



Nous parlerons cette fois de nanotechnologie.

L'auteur nous fera entrer dans des batailles de l'infiniment petit mais dont les enjeux seront mondiaux.

Bienvenue dans l'univers de l'espionnage et de la domination.

Il mettra en vedette un drôle de criminel au départ: Bug man.

Dans "Bug", il faudra comprendre à la fois "dysfonctionnement" et "insecte".



Imaginez, chers lecteurs ados, qu'un scientifique soit capable de vous implanter à votre insu une puce microscopique capable de soumettre votre volonté.

Un thème classique de la Hard Science.

L'auteur poussera le grand plan jusqu'à envisager de connecter le monde entier en une entité collective, une rûche mondiale dont on découvrira rapidement l'organisation qui souhaitera décrocher le titre de reine.



Michaël Grant dépoussière et actualise le scénario, nous serons propulsés dans un univers un peu proche du nôtre, jouissant d'une avancée technologique très moderne.

Le théâtre s'ouvre sur un drame: un jet privé s'écrase sur un stade sportif rempli.

Une des spectatrices, la riche Sadie McLure, assiste au naufrage tragique de son père et son frère pris au piège à l'intérieur de l'engin.

On ne peut s'empêcher de penser à ce moment de la lecture que l'auteur force un peu le trait du dramatique en offrant pareil cadre et en donnant pas mal dans le détail pour nous mettre dans le bain de la catastrophe.

Nous boirons la tasse.



Toute la famille Mc Lure se trouvait être la cible de ce sinistre terrorisme à coup de nanites (nous vous laisserons découvrir) et il ne restera que Sadie.

Quel lien partage Sadie et l'affreux Bug man?



Il faudra "laisser la chance au produit" comme vous dira un bon colporteur et accepter dans les 1ers temps de ne pas saisir les connexions entre les différents personnages, chacun appartient au problème ou à la solution.

L'impassible nerd Vincent se présentera à Sadie comme son dernier recours face à une " OPA" secrète et assassine.

Son père Grey McLure était un visionnaire de la nanotechnologie et il en est mort.

Le jeune Noah, lui, est recruté par une organisation secrète, "BZRK", pour ses " compétences" spéciales.

Tous ces éléments vont se recouper pour ne penser qu'à contrer la "rûche".

Vous avez envie de savoir, n'est-ce pas?



Ce qui réalisera principalement l'accroche chez le lecteur en premier lieu c'est cet univers technologique hautement sophistiqué, ces nouvelles méthodes du terrorisme informatique et électronique intriguantes car adoptant d'autres fonctions hostiles que les poings ou les armes.

Nous savons déja que dans la vraie vie des entreprises qui jouent des sommes colossales et dématérialisées peuvent entrer dans des joutes fatales par le biais de la bourse et de l'informatique. C'est une preuve que nous ne sommes pas si loin de la fiction.

Michaël Grant va plus loin dans le frisson technologique en alliant biologie et mécanique à l'infiniment petit, une menace agressive et invisible à l'oeil nu.

Nos agents de BZRK( terme issu du mot anglais Berzerker: soldat fou) pourront infiltrer les individus reliés à un insecte parasite espion, observer ce qu'il voit et créer chez eux un désordre psychologique utile le moment souhaité.

Cette technique va t-elle déshumaniser nos jeunes héros en quête de justice, de reconnaissance ou de vengeance?

Sadie va t-elle succomber au pouvoir et à la colère pour obtenir vengeance?
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Un roman d'action.

On peut critiquer tout ce qu'on veut. (on ne sait jamais). Mais on ne m'enlèvera pas cette information capitale : BZRK, c'est de l'action en pages. Vous avez quoi ? 600 Pages environs ? Et bien cela décoiffe tout le temps. Je vous explique de suite. Déjà vous suivez 4 personnages minimum. Donc 4 points de vue différents. MAIS ! C'est personnages ont aussi pour la plupart des petits robots miniatures qu'ils font partie d'eux et qu'ils font courir un peu partout de leurs petites patounettes minuscules. Donc, imaginez que vous suivez 8 points de vue différents. Comme je vous le disais : c'est un livre d'action ^^

Alors, je ne dis pas. Cela ressemble à un énorme pavé mais l'action aidant, vous ne voyez rien passer du tout. le seul inconvénient de ce type de rédaction est qu'il faut suivre, et donc il faut du temps pour lire. Bloquez-vous quelques soirées car vous ne pourrez pas faire des coupures sauvages au risque de devoir recommencer le chapitre. On passe d'un personnage à un autre très vite, d'un paragraphe à l'autre. Et si vous avez une mauvaise mémoire des noms et des pseudos, je ne peux que vous déconseiller ce tome. Par contre, si vous aimez les styles d'écriture francs, de l'action à gogo et des points de vue totalement différents. Mettez votre ceinture et allez-y !

Un roman de réflexion ?

Ce n'est pas tout de mettre de l'action un peu partout, il faut tout de même avoir une histoire qui tient la route (sisi). Dans BZRK, vous aurez d'excellentes matières à réflexion pour les jeunes adultes. On va déjà parler d'ADN et de bioéthique. Un peu ardu n'est-ce pas, mais traité ici de manière assez simple. En effet, on a de petites bêbêtes faites à partir de notre adn qui se nomment les biobots. Mais ceux qui les génèrent partagent leurs visions, leurs sentiments et les dirigent totalement. Lorsqu'un biobot meurt, c'est la folie qui vous guette car une partie de vous meurt littéralement. C'est une réflexion qui est d'actualité et surtout qui est très pertinente pour les générations futures. Je fais partie de la génération du premier animal cloné. Et de celle aussi avec des films ayant matière à la réflexion du clonage humain. Ici, ce n'est pas tout à fait la même chose car l'on parle de répliques minuscules. Mais l'on voit les prémices de la réflexion sur l'individualité en cas de clonage. On voit aussi les bons et les mauvais côtés. Puisque ici, les biobots sont là pour vous soigner (pour prendre le cas de Sadie) ou pour détruire (pour prendre le cas de Julien, si ma mémoire est bonne).

Enfin, on a une réflexion sur l'âme humaine, les souvenirs et les sentiments. En effet, grâce aux biobots, on a accès aux connexions du cerveau. A voir tous les enchevêtrements de notre cerveau, la question se pose évidemment sur notre libre arbitre (en cas de modifications de notre cerveau par un biobot), de l'âme humaine (avec l'existence même de ces biobots) et de Dieu car ici, les humains jouent littéralement à Dieu ! On sent que toutes ces petites réflexions sont au début et je pense qu'elles s'étofferont dans les tomes suivants. Aussi, si vous vous accrochez à ce roman (qui est un plaisir des yeux) vous découvrirez d'autres points de vue, d'autres horizons qui vous prêteront réflexion.

Un style différent.

J'ai hésité avec le mot révolutionnaire, mais ce mot est définitivement trop fort. Mais j'aimerai ici souligner l'imagination et l'audace de Michael Grant. En effet, avec ces biobots, ces nanobots et autres bêbêtes joyeuses, on a des descriptions vraiment microscopiques de l'être humain. Et j'avoue parfois que la lecture après le repas du soir…. Produisait certains effets grâce à ces descriptions réalistes. Je n'ose imaginer le nombre de reportages sur les microbes et acariens qu'il a dû regarder pour s'aider à la description. Mais bravo, il a réussi à m'emporter haut la main.

Ensuite, j'ai eu l'occasion de découvrir d'autres points de vue. Il n'y a plus seulement des gentils et des méchants comme partout. Il y a des camps différents. Des points de vue différents. Et l'on voit que la guerre entre nanobots et biobots est devenu pour certain un jeu. On sent qu'ils n'ont pas toujours l'implication de leurs évènements (pour rappel, les héros ont pour la plupart moins de 18 ans). Et ils ont aussi des réflexions parfois très abouties (ou pas d'ailleurs). Quand je parlais de religion tout à l'heure, ce n'était pas totalement faux. Car les deux jumeaux ont l'air de véritables gourous d'une nouvelle secte. Avec une idéologie recherchée, une propagande poussée. Il y a aussi matière à réfléchir sur les sectes ou nouvelles religions selon l'appellation que vous souhaitez.

Pour résumer : Si vous aimez les mélanges action/Réflexion, lisez moi cela de suite ! Cette saga montre qu'elle vaut le coup. Et si vous êtes des parents d'adolescents qui veulent donner un peu de plomb à vos ouailles insouciantes, il est peut-être temps de leur offrir un livre. BZRK apparaît un peu comme un ovni qui brise quelques carcans. Mais il est aussi un très bon thriller de science-fiction qui vous rendra totalement parano le temps d'une lecture (et parfois même au-delà je pense). Un très bon moment qui frôle le coup de coeur (mais non j'attendrai encore un peu).

Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
De vrais donuts, hein, poursuivit Wilkes. Frits avec un trou au milieu. J'aime pas trop les autres, cuits au four, même si j'en mangerais quand même si on m'en proposait. Mais bon, le problème avec ceux qui sont cuits au four, c'est que le trou est tout irrégulier. Pour moi, un donut doit avoir un vrai trou.
Elle laissa planer un court silence, avant d'ajouter, en lançant un grand sourire à Keats :
Parce que j'adore mettre ma langue dedans.
Un certain affolement se lut sur le visage de jeune Anglais.
Et toi, blue eyes ? Demanda innocemment Wilkes. Tu aimes enfoncer ta langue dans le trou ?
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Personne ne contredira le fait que, durant toute l'histoire humaine, les hommes ont eu la liberté de choix, l'opportunité de préférer l'amour de son prochain à la haine. Personne ne niera non plus que, dans une large mesure, ce n'est pas la voie que l'humanité a choisie.
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Passant une main sous sa jupe, Wilkes sortit de la taille de son collant quelque chose qui ressemblait en tout point à un pistolet. En fait, un jouet en plastique, qui avait sans problème passé le portique de sécurité. D'ailleurs si les personnes présentes avaient pris le temps d'examiner l'objet au lieu de battre en retraite en lançant des « hé, doucement avec ça ! », ils auraient tout de suite vu qu'il s'agissait d'un faux.
A leur décharge, quand un ou, en l'occurrence, une déséquilibrée vous agite un flingue sous le nez, il est rare que la première réaction soit de chercher les numéros de série.
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"Nous nous battons pour la liberté de choix. Pour le droit au Malheur. [...]
Notre combat est celui du droit à la différence. Le droit d'être celui que l'on choisit d'être, de ressentir ce que l'on choisit de ressentir. Quand bien même ça pourrait paraître irrationnel aux yeux des autres."
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"Grey buvait son café dans un mug qui disait "papa tolérable". Car, voyez-vous, un tasse "meilleur papa du monde" aurait heurté le style familial, plutôt orienté vers l'auto dépréciatif, tendance cynique, et vers la ténacité discrète."
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