Ce livre est le livre le plus réconfortant que je n'ai jamais lu.je l'ai prêté dans la bibliothèque de ma mère.mr Martin a perdu sa famille dans une incendie.il a passé 7annee a aidé les autres qui sont déprimés.Apres ces 7annee il a trouvé Virginia qui a enfanté Barbara.il a choisi de fondé une organisation.
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Un livre emblématique,lu avec émotion il y a près de quarante longues années déjà où j'avais compati à de telles sommes de souffrances imposées
La vie s'impose,avec ses composantes atroces ou douces pour contrebalancer l'iniquité
Terrible
Terriblement pourtant puissant catalyseur de résurgences, celles de nos ressources insoupçonnées auxquelles puiser .
La vie a rattrapé Martin gray le jetant à terre pour achever de l'épuiser
Et qui s'est refusé de céder
Jusqu'au bout
L'espoir en berne
Le cap au creux de la houle enragée
Un exemple formidable
La vie, quelle qu'elle puisse être EST BELLE GOETHE
lui ayant reoffert l'occasion de se réaliser tel
Mettre nos pas dans les siens
Dès lors que le doute nous a atteint nous atteindra immanquablement
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je ne comprend pas le tableau a remplir
vous voudriez me l'expliquer?
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Savoir accepter l'autre tel qu'il est.
Être joyeux du bonheur qu'il trouve.
L'aimer dans sa totalité : pour ce qu'il est, laideur et beauté, défauts et qualités.
Voilà les conditions de l'amour, de l'entente.
Car l'amour est vertu d'indulgence, de pardon et de respect de l'autre. (171)
Des lambeaux de tissu étaient utilisés par la jeune fille comme chaussures et je la vis qui s'enveloppait les pieds. J'ai voulu prendre dans ma main son talon mais elle a replié les jambes, la terreur sur elle. J'ai dit : Tu ne peux pas rester comme ça, fais voir.Elle se laissait faire, je dénouais les chiffons qui entouraient ses pieds nus, je voyais de petites plaies sur ses orteils. J'ai posé son pied sur ma peaume, et j'ai ri.
-Tu as le pied long, bien long
Le matin m'a trouvé allongé sur le sol des barons.Le téléphone a sonné plusieurs fois et je suis allé lentement vers l'appareil .Avec l'insecte en moi qui rongeait,faisait naître la terreur qu'une voix,là dans l'écouteur,ne m'annonce une drame.Mais ce n'était que la joyeuse intonation de Virginia qui répétait :
-Nous t'attendons,Martin .Barbara, si tu savais mange déjà et j'ai tant de lait!
Aimer c'est en même temps partager des mots, des regards, des espoirs et des craintes. (176)
Aimer, c'est réussir à donner à l'autre confiance en lui. (183)
Martin GRAY au Camp de Rivesaltes