AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782020014861
Seuil (01/11/1964)
3.67/5   15 notes
Résumé :
...où le lecteur découvrira, sous le complet austère du militant (et par la grâce de quelle permission divine ?) un nouveau Don Camillo : à la main, un livre rouge frappé de la faucille, du marteau et des mots :"Pensées de Lénine" ; à la bouche, les commandements et les inépuisables ressources de la dialectique marxiste-léniniste ; un Don Camillo qui a quitté son "petit monde" pour affronter, avec Peppone et quelques camarades-élus, les vastes étendues sovkhosiennes... >Voir plus
Que lire après Don Camillo à MoscouVoir plus
Sean Dillon : L'Œil du typhon par Higgins

Sean Dillon

Jack Higgins

3.50★ (1174)

15 tomes

Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Edité en 1963
J'ai eu quelque difficulté à entrer dans ce roman.
Les images des films vus et revus s'imposaient et les lignes imprimées me semblaient fades. Il m 'a fallu nombre de pages avant d'y trouver intérêt et plaisir.
Peppone, le maire communiste est devenu sénateur. Il organise un voyage en U.R.S.S. pour militants méritants auquel participe Don Camillo sous une identité d'emprunt.
Voyage d'instruction dans le paradis des travailleurs.
Peppone aime la sainte mère Russie; Don Camillo la voit comme l'enfer sur terre.
Il y aura des situations imprévues, équivoques, comiques et grotesques mais humaines.
On rencontrera des doutes, de l'enthousiasme, des déceptions face à une réalité jusque là seulement rêvée ou imaginée.

"C'est le roman prophétique d'un écrivain qui croyait à la valeur du bon sens et de la raison".
Commenter  J’apprécie          50
Le filon de la série commence à s'épuiser avec ce voyage en Russie pour Peppone et Don Camillo. L'humour est toujours présent, le texte étant toutefois plus sérieux que les dans les épisodes précédents.
Commenter  J’apprécie          10
Pas le meilleur de Guareschi pour moi
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
...où le lecteur découvrira, sous le complet austère du militant (et par la grâce de quelle permission divine ?) un nouveau Don Camillo : à la main, un livre rouge frappé de la faucille, du marteau et des mots :"Pensées de Lénine" ; à la bouche, les commandements et les inépuisables ressources de la dialectique marxiste-léniniste ; un Don Camillo qui a quitté son "petit monde" pour affronter, avec Peppone et quelques camarades-élus, les vastes étendues sovkhosiennes, les colères de la mer noire et le grand vent de la coexistence ;
...où le lecteur retrouvera le Don Camillo de toujours, pétri de piété et de malice, aux prises avec un Peppone dont la nouvelle dignité de sénateur, guide d'une cellule en voyage, n'a altéré ni l'impétuosité ni la bonhomie ;
...où le lecteur apprendra enfin comment un regard brûlé au feu de Naples, le sens des affaires à la gênoise et l'efficacité milanaise peuvent, en toute innocence, bouleverser les normes industrielles et les concepts sentimentaux des républiques socialistes soviétiques.
(quatrième de couverture)
Commenter  J’apprécie          20
Je ne voulais pas voir la Russie avec les yeux d'un touriste, mais avec tes propres yeux. Avec vos yeux. C'est une chose d'assister à un spectacle d'un fauteuil d'orchestre ou de la scène, c'en est une autre de le faire au milieu des figurants.
Commenter  J’apprécie          60
La nuit tombait. Pas un arbre, pas une bicoque, rien ne rompait la monotonie de l'immense plaine onduleuse et balayée par le vent. Seuls les champs se succédaient à l'infini, et on les imaginait sans peine transformés en un frémissant océan de blés d'or ; mais le pus éclatant des soleils de l'imagination n'arrivait pas à réchauffer les cœurs gelés par cette accablante tristesse. p. 124
Commenter  J’apprécie          10
Le métro de Moscou est l'orgueil de l'Union soviétique. Pour avoir une idée de ce dont il s'agit, il n'est que de songer à un cauchemar assyro-babylonien. Marbres,cristaux, lampadaires, mosaïques, stucs, fresques, hauts-reliefs, bas-reliefs, statues, ciselures, bronzes, argentures, dorures : on s'étonne que les tapis-brosses ne soient point de vison.
Commenter  J’apprécie          10
L'époque était à la détente. L'U.R.S.S., ne regardant point à la dépense, avait choisi pour ses hôtes le plus somptueux palace de la capitale. Quelque chose dans le goût du métro, avec plus de mille chambres et des salles, des salons, des boudoirs et des ascenseurs à n'en plus finir.
Commenter  J’apprécie          10

autres livres classés : italieVoir plus
Les plus populaires : Littérature étrangère Voir plus


Lecteurs (31) Voir plus




{* *}