Je le dit dès le départ je n'ai pas terminé le livre, j'ai lu les 40 premières pages et j'en ai eut marre. Pourtant je ne suis pas du genre a m'arrêter comme ça dans un livre mais là... Là ça ne se lit pas, ce sont les pensées déconnectées, farfelues, ubuesques, d'un homme un peu perdu dans sa tête sûrement et on ne comprend pas grand chose à ce qu'il écrit. Je ne le conseil à personne et je vais même le donner. Inintéressant.
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C’était le temps des cerises – des coquelicots pornographiques aux pétales de petites lèvres et des fraises de petis nichons pointus de demoiselles de bonne famille -, tout humide, gorgé de rosée et de bave en limace. La nature mouillait, éperdue de désir, et de cet amour que le père de Foucauld sentait brûler sous sa braguette pour sa cousine, vierge folle qui le faisait marcher dans la campagne lorraine.
Rien ne dure qu'à la fin on n'endure.
LES PROVOCATEURS #4 : Jean-Edern Hallier