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Les désastreuses aventures des orp... tome 3 sur 13

Brett Helquist (Illustrateur)Rose-Marie Vassallo-Villaneau (Traducteur)
EAN : 9782092506844
222 pages
Nathan (02/06/2005)
3.92/5   686 notes
Résumé :
Cher lecteur, Prudence, prudence ! Pour lire ce livre, il faut être prêt à affronter mille choses déplaisantes : un ouragan, une jambe de bois, sans parler de cadeaux ratés, de soupe de concombres glacée, de manuels de grammaire - et j'en passe.
Es-tu bien certain d'y tenir ? Toute l'histoire des orphelins Baudelaire a de quoi fendre le coeur, mais cet épisode pourrait bien être le plus navrant de tous. [...] Lemony Snicket
Que lire après Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 3 : Ouragan sur le lacVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (47) Voir plus Ajouter une critique
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Il m'en coûte de le dire, mais la critique que voici ne contient rien de réjouissant. Aussi, Babeliote, à toi de décider si tu te sens la force de la lire...

Sur ces quelques mots empruntés de la 4e de couverture et détournés à mon profit, le 3e tome s'inscrit dans la lignée des deux premiers. Les Baudelaire vont à nouveau rencontrer un tuteur peu efficace ( Agrippine obtient sûrement la palme...), vont à nouveau se heurter aux combines du Comte Olaf ( avec ses déguisements si inventifs), vont à nouveau imaginer des plans astucieux pour se tirer d'affaire ( message codé, signal d'alarme, jusqu'à inventer du temps!) et vont à nouveau compter sur l'incapacité flagrante de Mr Poe ( quand va-t-il se décider à voir plus loin que le bout de son nez, on se le demande...) . Au programme, une maison glacée, des soupes glacées, un ouragan glacé, une virée sur un lac glacé et une ambiance de restaurant glacée... Voilà un près ce que l'on peut dire pour ce troisième tome. Lemony Snicket reprend avec astuce ses signatures, que ce soit par la narration particulière, les chapitres courts qui s'enchaînent vite et bien ou encore le tout agrémenté de leçons - de grammaire, d'histoire, de vie... - qui font le charme de cette série.

Un 3e tome que j'ai pris beaucoup de plaisir à relire.

PS : J'espère ne pas avoir fait de grosses fautes Tante Agrippine.

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Avec ce troisième tome des Aventures des Orphelins Baudelaire (le titre français), j'avance doucement mais surement dans plusieurs de mes challenges (lecture en vo, ABC imaginaire et surtout, celui des séries !) et je suis très fière de moi. Et j'ai apprécié ma lecture, qui plus est, ce qui n'est pas négligeable. Je lui préfère peut-être le tome précédent (côté intrigue) et pourtant, c'est sans doute ce troisième opus qui me marquera le plus depuis le début… Etrange. Je ne possède malheureusement pas la suite mais j'espère bien la trouver un jour en anglais, pour continuer dans ma lancée ! En revanche, je vous épargne la chronique dans la langue de Shakespeare (de toute façon, je ne crois pas que ce serait particulièrement lisible…).

Qui dit troisième tome dit troisième aventure. En effet, le schéma narratif se construit sur le modèle du livre précédent. Nous retrouvons les trois enfants Baudelaire : Violet, Klaus et Sunny, à nouveau complètement orphelins, à nouveau placés par Mr Poe, chez un nouveau tuteur. Cette fois, il s'agit d'une femme, une tante éloignée : Aunt Josephine. Alors que les trois orphelins s'accommodent tant bien que mal des peurs et maniaqueries de leur nouvelle tutrice, le Comte Olaf, leur pire ennemi, revient dans le paysage, déguisé mais reconnaissable et parvient à embobiner tous les adultes pour s'accaparer les enfants (et donc leur fortune).
Rien de bien extraordinaire comme vous pouvez le voir, mais ce qui fait l'intérêt de ce troisième tome, c'est l'originalité et la force des personnages, notamment la vieille tante un peu loufoque. Récemment veuve, Aunt Josephine vit au sommet d'une colline, dans une maison branlante, juste au dessus du lac aux sangsues (Lake Lachrymose). Terrifiée par tout et n'importe quoi (le téléphone qui peut électrocuter, la gazinière qui peut exploser, les agents immobiliers qui peuvent… on ne sait quoi…) et complètement obnubilée par la grammaire et l'orthographe, la vieille dame n'est pas méchante mais n'est pas d'un très grand réconfort. Et lorsque le Comte Olaf, déguisé sous les traits d'un marin du nom de Captain Sham, débarque en ville et lui fait les yeux doux, elle tombe dans le panneau, malgré la mise en garde des enfants qui eux, ont bien reconnu leur ennemi derrière la jambe de bois et l'oeil bandé. Celui-ci, cruel comme jamais, est prêt à tout pour récupérer la fortune des Baudelaire, n'hésitant pas à pousser la tante Josephine au suicide…

Encore une fois, et je trouve que c'est vraiment très présent ici, il y a un véritable décalage entre les adultes et les enfants. Ces derniers, conscients de tous les dangers et débrouillards, ne peuvent compter que sur eux-mêmes car leurs aînés, bornés et complètement aveugles, ne se rendent compte de rien et se noient dans leurs manies et tics. Mr Poe passe son temps à tousser dans son mouchoir et ne se rend jamais compte de la gravité d'une situation (ou alors quand le mal est fait et réparé). Quant à la tante Josephine, peureuse et tête en l'air, elle ne remarque que les fautes de langage et rien ne revêt plus d'importance que la grammaire dans sa vie.
Pauvres Violet, Klaus et Sunny… tous trois sont encore une fois bien lotis. Et malgré tout, ils restent fidèles à eux-mêmes : déterminés, intelligents, solidaires. Violet et ses cheveux attachés lorsqu'elle réfléchit pour inventer un système, Klaus et ses livres, Sunny et ses dents affûtées qui ne ratent jamais leur cible ! Ils connaissent parfois des moments de profonde tristesse et mélancolie (mais, qui n'en connaîtrait pas après avoir perdu ses parents et en étant traîné de foyer en foyer chez des tuteurs plus incapables les uns que les autres ?) mais savent toujours rebondir et attraper la lueur d'espoir qui passe.

Et Lemony Snicket met très bien en scène cette dualité : le fond (l'histoire) est particulièrement grave et déprimante, mais il évite de peser trop sur le moral du lecteur en traitant la forme de façon humoristique, avec beaucoup d'ironie. le ridicule et la bêtise des adultes sont tellement prononcés qu'il est difficile de ne pas sourire devant leurs (absences de) réactions. Vous pouvez donc y aller (et les plus jeunes lecteurs également), vous ne vous tirerez pas une balle après cette lecture.

J'ajouterai que, ceux qui souhaitent tenter la lecture en vo, peuvent tout à fait se lancer dans cette saga certes longue (13 tomes) mais très abordable niveau vocabulaire et syntaxe. Il reste quelques termes un petit peu difficiles, mais l'auteur les explique, la plupart du temps (et oui, ce sont des livres pour enfants au départ…). Même si vous n'êtes pas bilingues (ce que je ne suis assurément pas), vous comprendrez tout de même l'ironie mise en place par Lemony Snicket et apprécierez son style.


Dans la continuité des deux premiers, ce troisième tome reprend le même schéma narratif mais se distingue par l'arrivée d'un nouveau personnage marquant et haut en ridicule. Un fond grave intelligemment atténué par une forme humoristique maîtrisée. Une fin à nouveau ouverte… mais que va-t-il se passer pour les trois orphelins dans le tome suivant ?
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Nous voici donc de retour pour la troisième aventure de nos orphelins Baudelaire. Aucune illusion à avoir maintenant, nous savons pertinemment que l'histoire ne va pas être très guillerette... même si à chaque fois on espère un peu tout de même... Pourtant, je n'ai pas entamé ma lecture à reculons, si je puis dire. Je suis une grande fan des histoires qui se finissent bien, mais Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire ont quelque chose d'hypnotique. Je veux savoir jusqu'à où Daniel Handler va être près à aller avec ses trois héros.

Ce tome trois n'était pas vraiment une découverte. Ayant vu le film inspiré des trois premiers romans, je savais à peu près à quoi m'en tenir. Et comme pour le film, cette troisième partie ne m'a pas trop emballé. Ce n'est pas que l'histoire n'est pas intéressante en soi, mais entre l'ambiance glaciale qui en découle et le personnage de Tante Agrippine, il n'y avait rien de très chaleureux. Si bien que durant toute ma lecture, j'ai eu un certain détachement vis à vis de l'histoire.

Contrairement à l'oncle Monty que nous avions découvert dans le tome deux, Agrippine n'est pas un personnage très attachant. Elle n'est pas mauvaise en soi, mais il est très difficile de lui trouver une quelconque qualité. Si bien que (je sais, c'est horrible) mais j'ai eu envie qu'elle disparaisse assez rapidement de la vie de Violette, Klaus et Prunille. Car contrairement à elle, je me suis beaucoup attaché aux trois enfants. Il faut dire que Daniel Handler joue beaucoup sur l'amour fraternel qui les unit et malgré quelques petits clashs, ils forment une sacrée équipe. D'ailleurs, je me suis faite la réflexion à plusieurs moments dans mes différentes lectures des trois tomes, mais... les adultes sont vraiment des idiots de première... Cela donne un contraste assez impressionnant avec les enfants, et sans nul doute aussi une "explication" aux réussites du conte Olaf à chaque fois, mais quand même... Je trouve cela un peu gros. Même irritant quelque fois. On aurait presque envie de secouer Mr Poe très très fort en lui criant qu'il n'est quand même pas très futé...

Mis à part ce détail, l'histoire était un peu plus sombre cette fois-ci, et plus trépidante car les enfants sont comme dans le premier tome réellement en danger à de nombreuses reprises. Et même si la redondance est bien présente, j'ai tout de même hâte de découvrir les prochains tomes, d'autant plus que je ne connais pas ce qu'il va arriver aux enfants cette fois-ci.
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Les pauvres orphelins Baudelaire sont à nouveau en quête d'une maison d'accueil. Sur le quai du Port Damoclès, en bordure du lac Chaudelarmes, Violette, Klaus et Prunille attendent le taxi qui les mènera à leur tante Agrippine.

Poe, chauffeur-livreur pour ce genre d'occasion, mais aussi banquier-tuteur, confie cette fois-ci les enfants à une parente veuve, belle-soeur du cousin issu de germain. La parentèle est éloignée, mais la famille Baudelaire n'a point de parent proche.

Avant de découvrir la demeure, la voiture passe devant une ville désertée, vide et barrée. Hors-saison, les touristes ont fui les lieux et ceux-ci se présentent, aux regards des enfants, fantomatiques.
La maison qui les reçoit est semblable à un mollusque agrippé à son rocher. Faite de cubes, patchwork décousu, elle est en équilibre sur la falaise et s'offre au lac.

La tante Agrippine est une femme gentille mais fantaisiste. Feu son mari, mort dévoré par les sangsues du lac, l'a laissée sans descendance. Ravie d'héberger des neveux, elle souhaite les combler d'attentions maternelles, mais sa bienveillance n'est pas toujours bien raisonnée.
Alors, comme les enfants le disent, il faut maintenant s'habituer à cette nouvelle vie, répondre à la sollicitude de leur tante avec le sourire et manger sa soupe au concombre avec appétit.
Le plus désolant, peut-être, est la bibliothèque… Pour des enfants épris de lectures, de sciences, les rayonnages, du sol au plafond, sont essentiellement composés d'ouvrages sur l'orthographe et la grammaire. Tante Agrippine est passionnée par ces deux matières et se montre inflexible sur la manière de parler et d'écrire.

Le lendemain, lors des courses alimentaires, Violette se retrouve face à un marin. Etrangement la silhouette ne lui est pas inconnue. L'homme est grand, a une jambe de bois, un bandeau sur l'oeil gauche. En regardant plus attentivement l'oeil droit, elle perçoit une noirceur. L'arc du sourcil souligne une prunelle désagréable, méchante, inquiétante… Serait-ce celui qu'elle croit reconnaître ? Non !!! Mais si, c'est lui !!! le comte Olaf est revenu.
Les présentations se font. Il est le capitaine Sham et son charme séduit tante Agrippine qui rougit à ses compliments fleuris.

Comment faire ? Monsieur Poe, avant de partir, avait raconté que les enfants étaient si traumatisés par ce cousin, qu'ils le voyaient partout. Une stratégie est à élaborer et il semblerait qu'il faille la conceptualiser le plus rapidement possible.

Cependant, durant la nuit, la tante disparaît. Elle laisse une lettre et abandonne les enfants à la garde du capitaine Sham. Il est flagrant que ce message est un leurre, confirmé par une particularité flagrante… il est bourré de fautes !

« Chers Violette, Klaus et Prunille,
S'il vous plait, quelque soit votre surprise à la vue de ce message, lisez-le attentivement.
Quand vous l'aurez entre les mains, je ne serai plus de ce monde. La vie m'est devenue insupportable. A l'évidence, vous autres enfants ne pouvez pas comprendre, mais ces temps-ci je trouvais cette vie constamment plus fatigante. Surtout ne soyez pas tristes, je vais retrouvé mon cher Ignace et ma viduité prendra fin.
Pour dernière volonté, je vous confie tous trois au capitaine Sham, , un homme bon et honorable. Soyez sages et respectez bien la grammaire et l'orthographe.
Votre dévouée
tante Agrippine. »

La destinée des enfants prend la couleur du ciel. Des nuages menacent le repos du lac et présagent une déveine inévitable.

Ce livre est la troisième « désastreuse aventure » des enfants Baudelaire. Dans ce tome, nous les retrouvons un peu désemparés mais pas résignés et toujours inventifs. le comte Olaf est un adversaire redoutable, mais face à ingéniosité de Violette et Klaus, aux crocs de Prunille et à des pastilles de menthe… ce démon est un poids plume.
Cette lecture s'adresse vraiment à de jeunes enfants. Il est certain qu'ils trouveront beaucoup de plaisir à leurs histoires car elles sont bien écrites. Pour cela, je ne dirai pas que je me suis embêtée. Quant à savoir si je poursuis la série, je laisse à Vilvirt cette décision. A elle de dire si je dois prendre le quatrième volume ou si je le laisse reposer sur les étagères dans sa poussière… Je reste partagée… et pourtant, je voudrais bien savoir la suite…

Je tiens à ajouter que les illustrations de Brett Helquist sont très belles et que les photos du film sont un soutien à mon imagination. Je me figure des images aux teintes fanées.
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Troisième tome et troisième membre éloigné de la famille chez qui Mr Poe - toujours fidèle au poste à défaut d'être clairvoyant - transbahute ces pauvres orphelins Baudelaire. Cette fois-ci, il s'agit d'une tante, Agrippine de son petit nom... Peu rassurant quand on sait comment était la maman de Néron... Ça ne peut guère être pire que le Comte Olaf.

Cette tantine vit dans une maison assez singulière, donnant sur le lac Chaudelarme. Oui, tout de suite, c'est engageant. Après un oncle Monty d'une grande gentillesse, la tante Agrippine est un chouïa moins sympathique. Intransigeante sur la grammaire, elle se montre par ailleurs paranoïaque à un niveau élevé. Aux enfants de s'habituer à l'absence de chauffage, à la soupe glacée de concombre et autres manies de la tante.

Olaf, de son côté, n'a toujours pas renoncé à mettre la main sur l'héritage des enfants. La partie s'annonce serrée, dans un cadre loin d'être idyllique et où le lac porte bien son nom.
Le trio Baudelaire fait à nouveau preuve d'un grand esprit de solidarité fraternelle et d'une débrouillardise sans égal. Chacun des membres de la fratrie apporte sa spécialité pour se sortir de mésaventures qui en auraient coulé bien d'autres.

Lemony Snicket continue de malmener avec "bonheur" ses héros. A se demander jusqu'où il compte aller. En attendant de découvrir ce point, je me suis à nouveau régaler de la lecture de ce tome trois, aussi foisonnant et captivant que les précédents. Plus les volumes avancent et plus on s'attache aux enfants Baudelaire. Ils offrent trois beaux portraits qui s'affinent au fil des histoires. Cette série est un bon exemple de littérature jeunesse de qualité. Tome 4?
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Les larmes sont chose étrange. Comme les tremblements de terre et les marionnettistes ambulants, elles peuvent apparaître à tout moment, sans prévenir, sans raison valable.
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Violette et Klaus échangèrent un regard bref, sous le regard aigu de Prunille. Tante Agrippine leur offrait une visite guidée de leur nouveau logis et, à ce stade, il était clair qu'elle se méfiait d'à peu près tout ce qui s'y trouvait, depuis le paillasson (sur lequel on pouvait trébucher, au risque de se tordre le cou), au canapé du séjour (qui pouvait s'écrouler à tout moment et transformer en galette quiconque s'y serait assis).
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Une carte de visite, bien évidemment, n'a jamais rien prouvé du tout. N'importe qui peut entrer chez un imprimeur et commander des cartes de visite affirmant ce qui lui chante. Votre dentiste peut commander des cartes en assurant qu'il est votre grand-mère.
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Etre trois, se serrer les coudes au milieu des pires coups durs, c'était comme d'avoir un bon bateau dans la tempête. Et les enfants Baudelaire savaient quelle chance immense ils avaient là.
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"-Oh! Bonne idée, dit Violette. Rien ne vaut une bonne soupe chaude par une soirée frisquette.
- En fait, ce n'est pas une soupe chaude, précisa tante Agrippine. Je ne cuisine jamais rien de chaud : je n'ose pas allumer le fourneau, j'ai bien trop peur qu'il explose. Non, non je nous ai préparé une bonne soupe de concombre glacée."
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