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Critique de Ghiblitotoro
Ce 5ème tome de la saga a eu ses détracteurs : pas assez d'actions, moins trépidant que le tome précédent qui était haletant...
Je vais gentiment prendre le contrepied de tout cela.
Si effectivement le titre du livre, La Morsure de la panthère, nous amenait à penser que, Jason, le frère de Sookie, allait être au centre des préoccupations à cause de la morsure de changeling qu'il avait reçue dans les Sorcières de Shreveport, il est vrai que le souci de sa métamorphose est assez vite expédié pour laisser place à d'autres mystères à résoudre, tels que : Qui s'amuse à tirer sur les changelings de Bon Temps ? Qui sera le nouveau chef de la meute lycanthrope ? Qui en veut à Sookie ? Avec qui, sacré nom !, finira-t-elle par coucher ?
Comme quoi, les mystères s'accumulent aussi dans ce tome, de même que dans le précédent ; ils s'emmêlent et s'interpénètrent. L'auteur nous lance en effet sur plusieurs fausses pistes et parvient assez bien à faire rebondir l'action, même si, je l'accorderais à certains, avec moins de maestria que dans Les sorcières. Je ne suis donc pas d'accord pour dire que Charlaine Harris ne maîtriserait pas ses intrigues, à l'opposé du "brillant" scénariste qui a "si brillamment sublimé" sa saga pour en faire une série tellement plus virile, là où la cible visée était féminine, non mais !
Peut-être que le manque d'action souligné par quelques-un(e)s, est lié à l'absence d'action HORIZONTALE ? En effet, l'héroïne se retrouve plusieurs fois "coincée" avec nombre d'hommes : ce livre semble être une sorte de galerie récapitulative de tous les hommes sur lesquels Sookie a fantasmé ces derniers mois, et même si quelques petits nouveaux se présentent, soit ils ne font pas de vieux os dans ce tome, soit ils ne sont présentés que pour mieux être suivis dans le suivant, semble-t-il. C'est ainsi qu'on a l'impression que la vie sentimentale de Sookie stagne de manière assez désagréable ou que notre héroïne est un vrai coeur d'artichaut. Mais après tout, pourquoi pas ? Ces livres de bit-lit ne sont-ils pas conçus pour nous faire fantasmer ? Il faut donc bien que le personnage auquel on s'identifie soit davantage confrontée à la gente masculine et cède parfois à la tentation !
Je vais gentiment prendre le contrepied de tout cela.
Si effectivement le titre du livre, La Morsure de la panthère, nous amenait à penser que, Jason, le frère de Sookie, allait être au centre des préoccupations à cause de la morsure de changeling qu'il avait reçue dans les Sorcières de Shreveport, il est vrai que le souci de sa métamorphose est assez vite expédié pour laisser place à d'autres mystères à résoudre, tels que : Qui s'amuse à tirer sur les changelings de Bon Temps ? Qui sera le nouveau chef de la meute lycanthrope ? Qui en veut à Sookie ? Avec qui, sacré nom !, finira-t-elle par coucher ?
Comme quoi, les mystères s'accumulent aussi dans ce tome, de même que dans le précédent ; ils s'emmêlent et s'interpénètrent. L'auteur nous lance en effet sur plusieurs fausses pistes et parvient assez bien à faire rebondir l'action, même si, je l'accorderais à certains, avec moins de maestria que dans Les sorcières. Je ne suis donc pas d'accord pour dire que Charlaine Harris ne maîtriserait pas ses intrigues, à l'opposé du "brillant" scénariste qui a "si brillamment sublimé" sa saga pour en faire une série tellement plus virile, là où la cible visée était féminine, non mais !
Peut-être que le manque d'action souligné par quelques-un(e)s, est lié à l'absence d'action HORIZONTALE ? En effet, l'héroïne se retrouve plusieurs fois "coincée" avec nombre d'hommes : ce livre semble être une sorte de galerie récapitulative de tous les hommes sur lesquels Sookie a fantasmé ces derniers mois, et même si quelques petits nouveaux se présentent, soit ils ne font pas de vieux os dans ce tome, soit ils ne sont présentés que pour mieux être suivis dans le suivant, semble-t-il. C'est ainsi qu'on a l'impression que la vie sentimentale de Sookie stagne de manière assez désagréable ou que notre héroïne est un vrai coeur d'artichaut. Mais après tout, pourquoi pas ? Ces livres de bit-lit ne sont-ils pas conçus pour nous faire fantasmer ? Il faut donc bien que le personnage auquel on s'identifie soit davantage confrontée à la gente masculine et cède parfois à la tentation !
