Patrick nous raconte son histoire. de son enfance, où il subit des viols des mauvais traitements, de son adolescence où il devient un vrai truand qui est remplit de haine et d'une rage de vengeance à l'homme qu'il est devenu aujourd'hui.
Témoignage d'un homme qui a souffert, qui a galéré mais qui a toujours cru en lui et qui a fait des rencontres pour le guider dans la bonne direction et lui donner des repères à quoi se raccrocher. Une bonne leçon de vie : toujours y croire.
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un seul mot pour ce livre : MAGISTRAL !
Un récit époustouflant, une véritable leçon de vie, avec un message tout au long du livre : ne jamais baisser les bras , rien n'est jamais acquis, même le malheur! Nous somme maître de notre destinée.
Un roman que je conseille à tous ceux que la vie a meurtri
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Une vie toujours remise en question, malgré des situations extrêmement difficiles, où l'abandon et la pitié de soi n'ont pas sa place. Une formidable leçon de courage, d'optimisme, où chaque jour, chaque peine, chaque échec, chaque désillusion est une nouvelle leçon pour l'avenir.
Beaucoup de psychologie dans cette biographie qui marque l'esprit et qui inspire le respect.
A LIRE !!!!
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Ceci n'est pas un ouvrage écrit par un habitué des lettres. Ceci est un incroyable récit de vie. Et dans la littérature de sa vie, cet homme a réinventé sa propre ponctuation où les poings remplacent les points...
Il vaut la peine d'être lu jusqu'au très beau point final.
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L'auteur nous montre une belle leçon de vie. Je suis admirative face à cet homme qui a lutté pour s'en sortir et réussi à arriver là où il est . Il a énormément souffert durant son adolescence, s'est battu non seulement pour lui-même mais aussi pour sa famille. Je pense que cet un grand homme. Je recommande ce livre.
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« Face à moi, un policier. derrière lui, un autre, avec un chien. "Debout, connard !" Surtout ne pas montrer que j'ai peur. Je pourrais les tuer avec mes mains, mais ils représentent l'autorité, donc il faut que je les respecte. Je découvre la sensation d'être menotté et je comprends que je suis à leur merci. Je me retrouve dans une pièce avec seul mobilier une table et deux chaises. Trois malabars entrent quelques instants plus tard, et une claque sur ma tête accompagne une phrase qui me renvoie quatorze ans en arrière. "Alors connard, on fait moins le fanfaron. Tu l'as dans le cul, cette fois." »
le souvenir de mes amis abattus ou estropiés et mes années de prison ne m'ont appris qu'une seule chose: on ne naît pas voyou, on le devient.
Ma logique me dit qu’avant de vouloir aider les autres, il faut d’abord être bien soi-même, car, souvent, les gens s’occupent de la détresse des autres pour se cacher de la leur.
Je préfère croire à la volonté d’accepter les choses telles qu’elles viennent, car mieux vaut les gérer que les subir.
"Il est plus intelligent de consacrer son temps à se perfectionner soi-même plutôt qu'à critiquer les autres."