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EAN : 9782070446674
640 pages
Gallimard (28/02/2013)
3.52/5   46 notes
Résumé :
Six jours. C’est le temps qu’il reste à Emrodes, le jeune souverain de Loar, pour répondre à l’ultimatum du régent de Melen. S’il refuse de se soumettre, sa planète sera réduite en cendres.
Asbjorn tient enfin sa revanche : dix ans après sa défaite, il s’apprête à vaincre son ennemi de toujours et à étendre sa domination sur l’ensemble des mondes connus.
Sur l’échiquier spatial, d’autres forces ourdissent leurs trames. Le grand prêtre de la planète Sai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Je remercie le site Babelio et les éditions Folio pour l'octroi de ce livre dans le cadre de l'opération Masse critique.
Il s'agit du premier roman de l'auteur. Une réussite dans le domaine du space opera.

Dans une galaxie conquise par les hommes, en 12586 AS (après la découverte du premier saut spass qui permet le voyage entre les systèmes), la seconde guerre des royaumes oppose celui de Melen (composé de plusieurs planètes) aux 9 royaumes du Ponant, Loar, spécialisé dans le recherche scientifique en tête. Mais c'est sans compter sur les planètes de la périphérie, oubliées depuis des générations, qui s'organisent depuis des siècles pour revenir au premier plan des affaires du monde connu.

Loïc Henry se réclame de Franck Herbert et la comparaison avec l'oeuvre emblématique de ce dernier, Dune, est indéniable. Son roman est construit sensiblement de la même façon, avec appendices (qui évitent de se perdre dans un nouveau vocabulaire riche et pléthore de nouveaux personnages) et extraits d'oeuvres réelles ou imaginaires en début de chaque chapitre (qui n'est pas non plus l'apanage de ces auteurs).
On pourra comparer les Latars aux maitres d'armes de Ginez, les Spols à un mix entre les mentats et les bene gesserit, et la périphérie à un mix du bene theilax et des honorées matriarches. Pour autant, l'univers extrêmement riche de l'auteur conserve sa propre originalité et son propre fonctionnement. Similitudes, oui, mais on est loin du plagiat. Un bel hommage plutôt...
Je tenterais moi, une comparaison, pour la spécialisation des planètes, à l'univers assez confidentiel (car ancien) de Gordon Dickson Dorsai!. Mais dans l'univers, au final, assez restrictif du space opera, tout le monde peut se réclamer de tout le monde et les comparaisons peuvent être nombreuses.

Bref, l'auteur réussit à nous emporter dans son univers, à nous immerger dans une histoire de guerre maitrisée, crédible et équilibrée entre exposition des stratégies des puissants et moments d'action pure.
Beaucoup de thèmes sont abordés : politique, religions, eugénisme, justice, dans un style plus accessible que celui de Dune mais néanmoins soutenu.

Un premier roman d'une belle facture. Une indéniable réussite.
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Une pépite !
Voilà. Je finis l'année 2015 "Lecture" en beauté ! Et ça fait rudement plaisir...
Je suis soufflée par le fait que ce soit un premier roman, une telle qualité dans un premier écrit, ça ne se rencontre pas à tous les coins de pages !
Dans le style, hormis quelques tics de langages (ah, les "linéaments", qu'est-ce qu'on en voit passer dans ce livre, lol !), c'est juste parfait. D'une poésie parfois pure, qui m'a rappelé Barjavel, en mieux, même. C'est très rare les auteurs à la plume aussi ciselée, surtout en SF. D'où la comparaison avec de la fantasy, mais pourtant, ce n'en est pas !

C'est la première fois que je lis un space-opera "contemplatif", et qu'un univers aussi fouillé soit condensé en un seul tome sans qu'on s'y perde, c'est juste hallucinant. Une pure merveille de précision, sur les intrigues, pourtant complexes, des religieux, des régents (chefs politiques), des stratégies de chaque planète, et de chaque "consortium" de planètes...

Il demande cependant un fond de culture générale, je pense, sur les religions et leurs pratiques, sur les prédécesseurs écrivains de Loïc Henry, de Sun Tzu à F. Herbert en passant, justement, par Barjavel, pour toucher du doigt la profondeur et la complexité de ce premier roman, et l'apprécier à sa juste mesure, j'en reste subjuguée, j'avoue.
A dire vrai, il m'a fait penser au superbe roman "L'echo du grand chant" de Gemmell, plus qu'à tout autre référence citée ailleurs. Pour moi, ce roman est du domaine de la naissance d'un mythe, sans que nulle part l'auteur n'affiche la moindre prétention, il est d'ailleurs, je l'ai rencontré à Gradignan en 2014 au salon "lire en poche", d'une humilité confondante.

Loïc Henry pourrait écrire une douzaine d'autres romans dans son univers sans se répéter, j'en suis sûre, tant il est riche et diversifié.
Les personnages sont superbes, bien brossés, très attachants, ici le manichéisme est absent, même si Asbjorn fait son "Napoléon" spatial. La science demeure discrète, il n'y a pas d'explications assommantes (à part dans les appendices et ça me va très bien). L'humain est au centre du roman, et c'est juste fascinant de découvrir la vision qu'en a l'auteur.

Bref, je finis l'année sur un coup de coeur absolu. Paf.


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C'est comme vouloir plonger dans une pataugeoire. Ou encore vouloir frissonner d'alpinisme dans le Morvan. Vouloir faire la soirée de l'année à Cherbourg. Rencontrer l'amour à la soirée tartiflette de la commune du coin. Avoir du style avec son pull Sergio Tacchini. Vouloir faire de la boxe en étant manchot. Imiter Jimmy Hendrix avec une Squier. Aller voir Star Wars 7, impatient de voir un chef-d'oeuvre (lol).
Ce n'est pas très sympa de commencer comme ça. Je voulais juste faire passer l'idée, que je peux résumer plus clairement comme ceci: "On s'attend à beaucoup, et l'on a peu.".

C'est une histoire de space-opéra. Je n'aime pas vraiment m'attarder sur des problèmes de classification, surtout pour des oeuvres comme celles-ci, qui au final empruntent autant dans la façon de développer le récit et construire sa scène à la fantasy, qu'au fantastique ou de manière plus évidente, la science-fiction. C'est l'histoire d'Emrodes, souverain de Loar, planète apparaissant comme le pendant principal d'une large balance, qui retrouve aux antipodes Melen, planète aux intentions pas vraiment amicales. Emrodes doit répondre à l'ultimatum lancé par le souverain de Melen: soit passer sous sa coupe, soit voire sa planète rayé de la galaxie par une mystérieuse arme qu'il vient de développer. On rajoute à ça plusieurs dizaines de protagonistes, et on a une base objective du roman de Loïc Henry.

Disons-le tout de suite, il y a beaucoup de choses désagréables dans ce bouquin. Je vais commencer par la principale: la fausse-complexité du bouquin. On a vanté ici ou là une grande intelligence de récit, une richesse complexe de l'intrigue, des stratégies et des personnages... Que nenni, pacotilles, mensonges, balivernes, il n'en est rien! Et c'est très agaçant de lire ça, alors que des auteurs ont fait tellement mieux, avant "Loar", ou après "Loar"... le problème est simple: les protagonistes se comptent par dizaines, les planètes pareilles. Et ceci développe une scène extrêmement large, très attirante au départ. On nous promet un roman-fleuve, à l'univers gonflé à bloc et transpirant l'originalité. Mais Loïc Henry se loupe. Les intrigues, peu importe lesquelles, secondaires ou non, sont au final très simples et très lassantes. Mais elles sont nombreuses, d'où cette pseudo-complexité. La vérité étant que l'on peut aisément résumer chaque intrigue en quasiment une ligne.

Le tout apparait donc assez fade, peu stimulant pour l'esprit volontiers curieux et aventureux du lecteur de space-op. Des dizaines d'intrigues banales, redondantes et donc ennuyantes. Mais alors, rajoutez à cela le fait qu'en plus d'une intrigue pas complexe pour un sou, les personnages et les différentes cultures imaginées par l'auteur sont du même acabit. Et ceci se cristallise autour d'une manie détestable: chaque planète abordée, développée à un moment donnée, est un stéréotype ambulant, gênant l'oeil et blessant l'imagination. Je m'explique: on dirait une littérature de jeunesse de mauvais goût, tout est soit tout blanc, soit tout noir. Chaque planète ne semble chier qu'une seule catégorie d'habitant, tous les mêmes, sorte d'usines à clones... Par exemple: à Bihan, on a les espions et une société qui ne tient pas debout. On a que ça. Sur Latar, on ne forme que des mercenaires et des stratèges. Alors tous les Latars sont des mercenaires stratèges. Les spols, censés être originaux, sont en fait tous la copie du voisin. La périphérie fricotte avec les manipulations génétiques: tous sont adeptes de la manipulation génétique. A croire que chaque population décrite ne recèle aucune once d'originalité.

On en est à: des intrigues faussement-complexes et une platitude affolante de l'univers. On rajoute maintenant un manque cruel de fougue. Honnêtement, le livre passe très vite, on ne sent pas forcément le temps passer. Mais au fond, c'est quand même un peu ennuyant, et le lecteur à peu près impliqué dans l'histoire se désespèrera vite de l'absence d'élan héroïque dans le livre. Les batailles se résument à des énoncés laconiques, des compte-rendus de perte de vaisseaux... Je vous jure, chiante à mourir les batailles. Les stratégies militaires, c'est pareil. L'histoire des noeuds spass, c'est bien joli, mais ça n'est pas franchement folichon. Pareil pour l'ultimatum d'Asbjorn, souverain de Melen: c'est presque à mourir de rire la façon dont l'auteur évite ça, comme si de rien n'était.

Les situations sont figées et pas du tout immersives, donc. Vous rajoutez à cela une habitude particulièrement détestable de l'auteur de mettre toutes les pensées des personnages en italique, et vous avez franchement un résultat médiocre. Vraiment, faut pas pousser quand même: je peux vous dire que le mystère, il n'y en a pas, une fois que vous savez ce que chacun pense de qui ou de quoi.

La fin ne remplit même pas son contrat. On a l'impression que l'auteur a soudainement décidé de ne pas continuer, et de s'arrêter brutalement entre deux chapitres. Il bâcle ça avec une explication prévisible à 200km, que l'on souhaitait bien éviter.

Alors, il y a pourtant quelques avantages. le premier, c'est que ça se lit assez bien, et qu'avec du recul, c'était un minimum divertissant. le deuxième, c'est la plume de l'auteur, qui réussit volontiers quelques chapitres, quand il se laisse aller à un peu de fougue et de verve. Ensuite, l'ouvrage est beau (la couverture de Griffes d'Encre est magnifique).

J'ai un peu l'impression que Loïc Henry a peut-être visé un peu trop grand pour un premier roman. Je ne vois pas en quoi je serais légitime de juger son métier d'écrivain ou son talent, cela ne m'appartient pas de le faire. Mais en tant que lecteur, j'ai ressenti un potentiel agréable chez l'auteur, mais complètement anéanti par une intrigue et une progression linéaire, ennuyante et trop didactique... C'est marrant, c'était le deuxième ouvrage de Griffe D'Encre auquel je m'attaquais. J'ai appris que la maison d'édition a fermé ses portes depuis, ce qui est toujours regrettable pour nous lecteurs de l'imaginaire. Mais pour le coup, on ne peut pas dire que j'ai été convaincu par leur travail. Si les objets étaient sublimes (Lemashtu et Loar sont de très beaux objets-livres), je n'ai jamais réussi à passer outre le fait d'une sorte d'écriture débutante, didactique, fanfictionnesque à certains moments.

"Loar" ne m'a donc pas convaincu; en revanche, ce n'est pas le cas de tout le monde. On en a beaucoup parlé comme d'un coup de coeur, alors n'hésitez pas à le lire pour vous forger votre propre avis. Et si j'ai passé globalement un bon moment, on ne peut pas vraiment dire que ça m'a emballé...
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Un livre = une critique. C'est le jeu. Me voici donc écrivant la critique d'un livre que je renonce à terminer, vaincue par l'ennui au bout d'environ 250 pages.

Certes, Loïc Henry crée ici un univers assez riche et cohérent, qui dans un premier temps était loin de me déplaire. Les différentes civilisations présentées, leurs particularités, leurs mystères et leurs interactions, à un moment critique de l'histoire où tout est sur le point de basculer, sont franchement intéressants : il y a là un sacré potentiel, tant en matière scénaristique qu'intellectuelle.

Malheureusement, la sauce ne prend pas.

Côté scénario, aucune tension : celle impliquée par l'ultimatum militaire ne m'a pas convaincue une seule seconde, et au bout de 250 pages, rien n'a encore vraiment bougé. Ce qui n'est pas nécessairement un défaut en soi : des tas de choses sont en train de se nouer dans l'ombre, l'auteur peaufine scène à scène ses personnages et à travers eux les différentes facettes de son univers… Ce parti-pris scénaristique aurait pu être passionnant, avec des personnages accrocheurs et une écriture convaincante.

Mais les personnages sont plats, ce qui n'aide guère le lecteur à s'y retrouver dans la foule qu'on lui présente, et cette manie de faire de tous les personnages féminins des bombasses super intelligentes, super douées au combat et expertes es arts érotiques m'a très, très vite exaspérée. Sans grimper aux bastions du féminisme, je supporte assez mal cette tendance littéraire très hétéro-masculine à transformer les femmes en fantasmes, plutôt qu'à les traiter comme un être humain à part entière.

Quant à l'écriture, je l'ai trouvée à peu près aussi plate, avec en prime cette autre manie agaçante : écrire systématiquement, en italique, les pensées des personnages. le procédé est lourd, d'autant plus que les pensées en question ne sont pas toujours d'un grand intérêt, et ressemblent parfois à moyen trop facile d'amener dans le récit des éléments que l'auteur ne savait pas comment évoquer autrement. Plus de suggestions, moins d'évidences pesamment soulignées, et j'aurais peut-être pu finir par accrocher à l'histoire.

Là, je n'en ai juste pas vu l'intérêt, et trop de livres m'attirent pour que je m'acharne sur celui qui ne m'apporte aucun plaisir.
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Un livre dont les nombreuses qualités compensent quelques défauts exaspérants.

L'auteur réussit ici magistralement un space opera complexe : il raconte de manière fort convaincante une guerre spatiale, ancrée dans plusieurs millénaires d'histoire d'une galaxie. Chapeau ! La construction de l'univers est très réussie : quatre (voire cinq) camps en présence, une petite dizaine de planètes, avec chacune sa culture, son idéologie et son système politique, quelques dizaines de personnages aux ressorts complexes, des complots, espions, manipulations, des mystères révélés au compte-goutte tout le long du roman... le parti pris de spécialiser chaque camp ou chaque planète (un camp religieux conservateur, un camp adepte de la manipulation génétique, une planète de guerriers, une planète démocratique...) permet de monter facilement des rebondissements à répétition, c'est fort agréable.

Je serai un peu plus réservée sur les personnages : ils sont bien définis, cohérents, et échappent à tout manichéisme. A part le grand prêtre, tous gardent une part de mystère et d'ambiguité, je serais bien en mal de désigner des méchants dans cette histoire. Mais, curieusement, ils ne sortent quasiment jamais du stéréotype : les jeunes rois sont beaux, intelligents, les femmes magnifiques... Leur part d'ombre manque de profondeur, ils sont beaucoup trop lisses à mon gré.

La faute, peut-être essentiellement à ce qui est le pire point faible du livre : l'écriture. Très plate, peu inventive (je pense ici aux inventions de vocabulaire de Pierre Bordage, référence du space opera français), monocorde. Et à ma plus grande exaspération, truffée de tics de langage : le nombre de femmes et de plantes aux cheveux/fleurs ambrés et aux feuilles/yeux de jade est décourageant, dans la seconde partie du roman, toutes les femmes ont un joli galbe, chose que j'ai du mal à visualiser...

Dernier point, la fin est un peu rapide : on reste sur notre faim, la révélation finale est très attendue et laisse en suspend la quasi-totalité de l'intrigue. Difficulté à finir, ou volonté d'une fin ouverte pour laisser la place à un deuxième volume qui n'est pas annoncé ?
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Où s'arrête la patience et où commence l'indécision ? Comment distinguer la ténacité de l'obstination ? Si vous différenciez les facettes positives et négatives d'un même trait de caractère avec acuité et précision, c'est qu'il est temps d'analyser votre propre vanité... que vous assimilez sans doute à de l'intelligence.
Précepte Latar.
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-L'irrégularité, dans certains domaines, peut parfois représenter la pire des faiblesses, poursuivit Bleiz.
Chuluun devint livide.
- Que veux-tu dire, spol ? gronda-t-il.
- Les spols ne sont pas dangereux pour vous, Chuluun. Nous somme même les seuls que vous ne devez pas craindre. Le pouvoir et la puissance ne nous intéressent pas. Pourquoi, pendant tous ces siècles, Latar a-t-il été le seul royaume qui n'ait jamais cherché à s'agrandir ? Pourquoi, alors que vous êtes le vivier des meilleurs combattants de l'univers, êtes-vous toujours restés reclus sur votre planète, que vous interdisez à tout visiteur ? Pourquoi, si ce n'est parce que votre force cache votre faiblesse mortelle ? L'irrégularité de votre cycle de naissances vous prive parfois de combattants d'âge mûr sur votre propre planète. D'après mes projections, vous ne devez pas dépasser les deux cent mille, en comptant les quelques trente mille mercenaires éparpillés dans l'univers.
Chuluun était blême. Le secret, le secret sacré était connu. Il fallait nettoyer l'univers de cette engeance avant que la nouvelle ne se répande, à commencer par celui-ci. On ne pouvait faire confiance aux spols. Le secret à nu !
"Je n'aurai qu'une seule chance. Mon poignard en plein cœur, ou il me tuera dans la seconde suivante."
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A la question de rhétorique : « Lors d'un conflit, préféreriez-vous vous passer des spols ou des Latars ? », je réponds que cela revient à demander si l'on préfère se passer d'une arme à projectiles ou de ses munitions.
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Jugez un homme par ses questions plutôt que par ses réponses.
Précepte Latar, attribué à un écrivain de l'époque pré-spatiale, nommé Voltaire.
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N'attaque ni pour impressionner, ni pour troubler, ni pour lancer un avertissement. Attaque pour désarmer, blesser ou tuer. La surprise est ton alliée.
Précepte Latar
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Vidéo de Loïc Henry
Interview de Loïc Henry par Actusf aux Utopiales 2016.
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