Quatrième de couverture :
Jamais l'homme n'avait connu une telle épidémie. Les derniers bruits donnaient un rescapé pour cinq mille personnes, et il n'y avait plus assez de vivants pour enterrer les morts...
Kev empoigna son fusil à pompe au canon scié. de quoi dégager le terrain. Aujourd'hui, plus de sentiments. Survivre, seulement survivre. Après, on verrait à refaire une civilisation...
La fin du monde : Une comète a amené une maladie du sang laissant vivre uniquement les groupes sanguins rares : AB+
Pourquoi
le dernier pilote ? parce que Kevin le héros est un pilote d'avion type vieux coucou et planeur et que toute l'histoire tourne autour de ses voyages en avion pour retrouver les derniers groupe de survivants.
Hérault est fan, connaisseur et probablement pilote de petits avions lui-même, on le constate dans ses écrits.
Ecrit en 1984, l'histoire semble avoir été écrite en 1950. Une histoire de fin du monde banale, sans surprise, 212 pages (petit fleuve noir) manquant cruellement de développement tant du caractère et des motivations des personnages que de l'histoire elle-même.
Le livre se laisse lire, style simple, très facile d'accès, mais 212 pages dont une partie non-négligeable sur l'avionique laissent un petit arrière goût d'inachevé.
Pour les fan de P-J hérault uniquement. J'en fais parti, mais force est de constater que M. HERAULT a écrit des romans plus intéressants que ce dernier (voir mes autres commentaires).