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La trilogie des Rats tome 2 sur 3

Anne Crichton (Traducteur)
EAN : 9782266031639
252 pages
Pocket (12/09/1999)
3.68/5   169 notes
Résumé :
Dans le secret de leur repaire, à seulement quelques heures de Londres, les rats mutants s'étaient reproduits. Les hommes n'avaient pas encore décelé leur présence.
Les jeunes rats ne tenaient plus en place, en proie à une faim qu'ils ne comprennent ni ne pouvaient satisfaire. Mais le monstrueux mutant qui les dominait, leur cerveau, leur ancêtre à tous, lui, savait et se souvenait. La bave coulait de sa gueule quand il se rappelait le goût de la chair humai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Cinq ans après que les énormes rats noirs aux dents d'hachoirs avaient confronté les londoniens, voici qu'ils réapparaissent dans une réserve naturelle fortement boisée, non loin de Londres, dans l'unique but de se repaitre succulemment de chair humaine...
Autres lieux, autres personnages (en dehors d'un politicien toujours aussi patelin et un scientifique-commercial avide de gloire)... même histoire...

Herbert nous a concocté une ragoûtante génoise sanglante garnie de deux scènes érotiques, surmontée d'une romance (qui se construit en trois semaines, peuh !). Sexe et sentiments mis à part (parce que ce n'est pas ce que je cherche dans un livre d'horreur), l'histoire se lit agréablement mais n'est certes pas aussi captivante que le tome précédent. On connaît désormais les bestioles monstrueuses que des valeureux essaient de trucider par tous les moyens et l'effet de surprise est passé.
D'autant que, dans ce 2e tome de la trilogie, l'auteur a mijoté allègrement sur la même intrigue que dans "Les Rats" et ne nous sert au bout du compte rien de nouveau hormis quelques délicieux frissons bienvenus.
Et donc, au final... même pas peur !
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Les ordres des officiers continuaient de fuser : ‘’N’attaquez pas la vermine, hâtez-vous de gagner la cité.’’

«Le repaire des rats» est la suite du livre «Les rats», je ne savais pas, à ce moment-là, que «les rats» est le premier livre de James Herbert. C’est toujours intéressant de le savoir et de découvrir ses premiers livres.



«Sanglant», «Dépaysant», «Effrayant», voilà comment je définis le livre «Le repaire des rats» de James Herbert. Est-ce que dans son livre James Herbert nous fait voir les rats comme des animaux gentils, tendres et soumis ? Si vous aimez vraiment ces animaux, je ne pense pas que cette trilogie soit faite pour vous.

On se rappelle, que dans le livre : «Les rats», le premier tome : L’histoire se passe à Londres et les gens avaient dû faire face à une invasion théâtrale de rats. Ils avaient réussi à les éliminer. Ils pensaient avoir gagné le combat contre ces vermines. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient. Dans le «Repaire des rats», le deuxième tome : On croit que la vie est douce et qu’on n’a plus rien à craindre de ces bestioles. Détrompez-vous !
C’est désormais, dans une forêt de Londres, qui est le centre d’attention. Les rats commencent doucement à sortir de leurs cachettes. Ils tuent peu à peu des humains, les rats deviennent confiants et par la suite il a une épidémie. C’est une épidémie inquiétante et terrifiante. Comment les gens vont-t-ils tenter de les arrêter ? Est-ce qu’ils vont réussir avec un bon plan ?



Quand on ouvre ce livre, on entre dans tout un univers, c’est celui des Rats. C’est une lecture qui se lit très bien. L’histoire est bien écrite, les personnages entrent bien en scène ainsi que les Rats qui s’y faufilent. L’auteur James Herbert emploi des mots effrayants, des descriptions sanguinaires et des détails bien croustillants. Dans cette ambiance angoissante, il y glisse pour le lecteur des petits moments de voyeurismes…
Côté écriture, on voit tout de suite une différence, avec le premier livre. Il amène bien son intrigue et il te donne le goût de poursuivre ta lecture.



Dans le livre le «Repaire des rats», on remarque qu’il garde la même signature que dans le roman «Les Rats.» C’est-à-dire qu’il nous donne un bon aperçu sur le rat. Il amène plusieurs sujets et j’approuve car c’est captivant. J’en nomme quelques-uns :
- Le rat normal;
- Le rat géant;
- Le cochon;
- La peste noire;
- Les maladies;
- Les dangers.



Pour terminer, c’est un très bon moment de lecture, elle te procure une bonne évasion et tu fais vraiment le saut, à l’occasion. C’est une histoire qui se lit bien, l’auteur James Herbert capte tout de suite ton attention et il te transporte dans un monde très différent du nôtre. Il sait te faire sourire, il sait te faire peur, et il sait t’émouvoir.
Je constate encore une fois sa plume fluide, son imagination débordante et je lui dis ‘’Chapeau’’ encore une fois à James Herbert.
Quand on lit «Le repaire du rat» c’est comme s’y on s'y croit et parfois on a peur de se faire dévorer à notre tour par ces drôles de vermines…
Et quand on lit l’épilogue, on doute, on doute, on doute… est-ce c’est ça le talent d’un auteur ? Est-ce que c'est de nous faire douter, nous tenter ?

J'embarquerai plus tard, dans l’empire des rats, le dernier tome ! C'est à suivre...
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A ne pas lire directement à la suite du tome 1 !

Le repaire des rats est un très bon livre, aussi bon que le premier tome, voir même meilleur sous certains aspects mais malheureusement il souffre du défaut d'être très exactement identique au tome 1.

Bien sur l'histoire n'est pas la même, ici les choses se passent dans une forêt de la banlieue londonienne et non plus en ville. On ne retrouve aucun des personnages du premier tome. En revanche, l'histoire est construite très précisément à l'identique. Un schéma trop prévisible, surtout après l'avoir éprouvé lors de la précédente lecture. du coup, à chaque fin de chapitre on sait parfaitement de quoi retourne le chapitre suivant sans même avoir lu les premières lignes. Dommage, plus de suspens, on imagine la grande scène finale et sans surprise elle va se dérouler pratiquement à l'identique. Ça manque un peu d'originalité M. Herbert.

Il n'en reste pas moins que cet opus va une nouvelle fois nous entraîner au fond du terrier. Sauf qu'au lieu de courir après le lapin blanc c'est bien des milliers de rats mangeurs d'hommes qui y sont terrés et qui vous y attendent. Et autant vous dire qu'ils ont faim. Très faim. Les descriptions des scènes d'attaques font, d'ailleurs, froid dans le dos. Amateur d'épouvante, vous allez vous régaler.
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J'ai été mâché, dévoré, même disséqué par ce roman. Je dirais même griffé…
En fin de compter, je me suis laissé emporter par le récit. Mais je n'ai pas été pétrifié ni angoissé… Je m'attendais à toutes les étapes et la fin est si évidente.
Je me suis aperçu que je n'avais pas lu « les rats » avant de me plonger dans celui-là. Et bien, je pense que j'en resterai là…. Pour les rongeurs.

J'ai lu de cet auteur « les autres », un livre qui m'a marqué, donc M. Herbert notre rencontre ne fait que commencer…

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
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Me revoilà entourée de rats énormes et effrayants ! Mais j'aime ça sans doute, puisque je me suis jetée sur le tome 2 peu de temps après avoir lu le 1er tome.
Au début, j'ai été déçue de ne pas trouver les personnages du 1er tome auxquels je m'étais attachée et qui étaient plutot charismatiques.
Cela se passe 5 ans après et on fait connaissance avec de nouveaux protagonistes. Je m'y suis autant attachée. Et j'avoue, j'ai plongé dans cette histoire sans retenue même si elle est très semblable à la 1ere.
J'ai presque honte de le dire mais j'ai pris beaucoup de plaisir avec cette lecture qui m'a tenue en haleine jusqu'à la fin.
Je rajoute vite le dernier tome de cette trilogie dans ma PAL.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
- Ils ont pu émigrer vers, la forêt avant l'extermination de Londres, suggéra le secrétaire de la Défense.
- C'est possible, mais les agressions précédentes indiquaient qu'ils étaient concentrés dans certains quartiers de la ville, observa Lehmann. On peut échafauder une autre hypothèse : qu'ils aient résister d'une manière ou d'une autre aux ultrasons destinés à les attirer hors de leurs nids, jusque-dans les enclos à gaz, et se soient enfuis ensuite en comprenant que le jeu était fini. À présent, les machines à ultrasons servent à éloigner les rongeurs, non à les attirer; mais de toute façon, les expériences menés dans nos laboratoires montrent qu'à la longue, les ultrasons deviennent inefficace : les rats s'y habituent et apparemment à les ignorer.
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Il lui semblait... il lui semblait voir ses arbres frémir de quelques vie cachée. Les branches remuaient, les feuilles s'agitaient comme sous l'effet d'un tourbillon de vent, et tombaient. Un froid intense s'empara de lui lorsqu'il vit les centaines de formes noires se deverser du boqueteau et s'élancer telle une marée vers la montée.
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Ils s'étaient enfuis de l'endroit où on les pourchassaient, où on exterminait leur espèce; l'instinct des survie était leur seul alliée. Quand la porte de la cave s'était ouverte, ils avaient occis leurs libérateurs et s'étaient repus de leurs corps avant de se lancer dans l'aventure.
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Pour une raison ou une autre, le casque du malheureux avait glissé, à moins qu'on ne l'ait arraché. Postés autour de sa tête découverte, cinq rats se gorgeaient des chairs de son visage. D'autres tiraient à belles dents sur le tissu de son costume, qui était à bout de résistance. Le spectacle excita la fureur des soldats ; ils se mirent à mitrailler aveuglément la vermine, sans précautions pour l'homme dont ils savaient qu'il était mort.
- Cessez ! commanda l'officier d'une voix dépourvue d'émotion. Nous ne pouvons plus rien pour ce pauvre gars, mais qu'au moins son corps serve à les occuper un moment !
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Il avait sous les yeux les monstres qui régnaient sur la multitude des rats noirs, mutants ordinaires qui chassaient pour leurs maîtres.
Et ceci était leur repaire, l'endroit où ils cachaient au monde leur hideuse chair dénaturée, parce qu'il ressemblait au nid souterrain que leurs précurseurs avaient fui jadis.
Le jour où il avait aperçu, près du manoir en ruines, ce que Denison avait pris pour un porc, il avait vu en fait l'une de ces créatures ! Les cochons étaient déjà morts, tués par les rats pour servir de réserve, et relativement conservés par le froid.
Et on avait négligé d'explorer la maison parce qu'on avait confondu de loin ces bêtes
avec les porcs, que le voisinage des rats aurait immanquablement destinés au massacre !
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Videos de James Herbert (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de James Herbert
Bande annonce de la série,The Secret of Crickley Hall, adaptation du roman de James Herbert
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