AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,47

sur 922 notes
Comme chaque fois que j'ai ouvert un Mary Higgins Clark, j'ai apprécié son histoire.
Ici elle nous entraîne dans le milieu New-Yorkais de la mode.
J'ai aimé le contexte et les personnages qui sont bien développés. Ils sont assez nombreux mais j'ai trouvé le tout cohérent.
En ce qui concerne l'intrigue il y a une révélation qui m'a plutôt frappée.
J'ai trouvé dommage que ce petit passage n'ait pas été écrit avec plus de subtilité. J'ai malgré tout continué l'histoire pour comprendre les motivations, mais sans surprises.
C'est un roman que j'ai lu pendant mes trajets en métro. Il m'a fait passer le temps de manière plus agréable, mais sans plus.

Vous l'aurez compris, ce roman est à mon avis loin d'être le meilleur de l'auteure. J'espère un jour en trouver un qui égalera La nuit du renard que j'avais trouvé vraiment excellent.
Commenter  J’apprécie          340
Cela faisait une éternité que je n avais pas lu de Mary Higgins Clark.
Pas un de mes préférés. Il faut dire que l intrigue se situe dans les milieux de la mode sujet qui ne m intéresse pas particulièrement. l'écrivain n est pas avare en description de vêtements. l'héroïne Neeve kearny est une belle et talentueuse jeune femme qui tient une boutique de mode très en vue. Une de ses meilleures clientes disparaît subitement. Neeve va chercher la vérité d autant plus que son père est préfet de police.
Une intrigue honnête mais qui ne m a pas plus emballée que ça. d'ailleurs au dénouement je me suis souvenue l avoir déjà lu et cette lecture ne m avait marquée non plus à l époque.
Commenter  J’apprécie          300
Un roman intéressant et agréable à lire, c'est vrai! Seulement, les personnages ne nous remuent pas pour autant, ils sont paisibles dans le rôle que leur octroie l'auteur et non celui des situations qu'ils sont appelés à affronter. Les choses bougent beaucoup plus du côté de la mode et de la haute couture que du côté de la police ou encore des criminels. Le suspens, déjà n'existe pas, le livre s'ouvre sur la victime et le bourreau du crime, l'enquête est suscitée avec beaucoup de lenteur, elle se tient tout doucement. Tout est prévisible, seule la mode occupe le terrain avec des pratiques illégales de certaines structures de confection...
Commenter  J’apprécie          270
Qu'écrire ? D'un livre dont après la dernière page tu relis la première et dont tu te rends compte que t'as rien compris de l'histoire à part les thèmes généraux, tu as cru suivre une histoire. En même temps tu as apprécié le découpage, certains cadrages, certains personnages ainsi que la dénonciation d'un fonctionnement du monde de la mode. Tu crois que tu vas en rester là. Manque quelques choses .... deux ** et non 3 le curseur est bloqué ?
Commenter  J’apprécie          200
Il m'a fallu un peu de temps avant de sortir ce titre de ma PAL. Plongé dans le milieu de la mode, on suit une jeune femme, propriétaire d'une boutique de mode, persuadée qu'une de ses clientes habituelles, une journaliste à la langue acérée, n'a pas seulement disparu mais qu'il lui est arrivé quelque chose.

L'enquête en elle-même suit un rythme assez haletant. Les narrations se succèdent et avec elle l'action défile vite. A cela s'ajoute une atmosphère d'urgence, de course contre la montre, lié à un contrat fait sur la tête de Neeve, personnage principal attachant, à défaut de la victime. Pour autant, malgré ce rythme, l'histoire ne m'a pas transcendée plus que ça. Surtout, j'ai trouvé le meurtrier très vite et je ne comprends pas le choix de l'autrice pour le titre...

En dépit de cela, un Mary Higgins Clark fait le job. Sans être renversant, cela reste toujours distrayant.
Commenter  J’apprécie          180
Même s'il fait partie des premiers livres de Mary Higgins Clark, c'est son septième par ordre de parution, Dors ma jolie est loin d'être l'un des meilleurs de l'auteur. Bon, il est loin d'être le plus mauvais non plus. Je me rappelle qu'à l'époque de ma lecture, je l'avais trouvé assez " moyen".
On se retrouve dans un milieu assez mondain ( qui est le milieu de prédilection de l'auteur )avec une jeune femme ( ben oui, elles sont toujours jeunes et jolies les héroïnes de MHC !!) qui va être amenée à se questionner sur le meurtre d'une de ses amies qui était écrivain et journaliste.
Cette fois ci, l'histoire gravite dans le milieu de la haute couture, et la mère de l'héroïne a elle aussi été assassinée il y a des années. Y-aurait-il un lien avec ses deux meurtres en apparences si différents et éloignés ?
Les suspects foisonnent ainsi que les fausses pistes, mais à l'époque de ma lecture, je me rappelle parfaitement avoir deviné assez rapidement qui était le coupable.
Comme d'habitude, vers la fin du livre, l'héroïne manque de se faire tuer par le coupable et est sauvée in extremis...
Assez prévisible cette histoire , comme la plupart de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          170
La garde-robe de la journaliste Ethel, exclusivement constituée grâce à la boutique de Neeve, est assassinée. Celle-ci est la première à s'inquiéter de constater que sa cliente ne donne plus signe de vie depuis plusieurs jours. Et c'est légitime, car Ethel avait le don pour s'attirer les inimitiés. Elle extirpait sans scrupule une pension exorbitante à son ex-mari depuis des décennies. de plus, son dernier article à paraître dénonçait des malversations commises dans le monde de la mode et son unique neveu convoite l'héritage qu'elle lui laissera. Et dans cette période troublée, le père de Neeve, s'inquiète de son côté, car le mafieux qui a tué sa femme sort de prison, avec certainement une envie de se venger sur sa fille. D'ailleurs un contrat est mis sur la tête de celle-ci.


Lien : https://lesparolesenvolent.c..
Commenter  J’apprécie          130
Une trame narrative attendue chez la “reine du frisson” : un meurtre, plusieurs suspects, et un coupable qui n'est évidemment pas celui qu'on croit. Cette fois c'est l'univers de la mode et du journalisme qui sert de cadre à l'intrigue. Et pour “coller au thème”, de nombreuses descriptions de tenues...
Si le roman se laisse lire, il est à mon sens beaucoup moins réussi que certains autres romans de l'auteure, par exemple La nuit du Renard.
Commenter  J’apprécie          100
“L'atmosphère d'angoisse qu'elle excelle à créer devient sa marque de fabrique, mais peu à peu un côté artificiel, sentimental et mondain tend fâcheusement à se développer dans son oeuvre.” Dixit Jean Tulard dans son Dictionnaire du roman policier. Ça résume assez bien Dors ma jolie, qui est loin d'être un titre majeur dans la biblio de l'auteure, la faute à une écriture formatée relevant autant de la recette de cuisine avec sa liste d'ingrédients pesés au gramme près que de la mécanique où chaque pièce de la machine assure sa fonction par automatisme. En ressort un roman, mou du genou, froid, sans âme.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
Commenter  J’apprécie          80
Neeve Kearny est dans la mode haut de gamme à New-York. Sa mère a été assassinée alors qu'elle était encore enfant, et cette tragédie a marqué profondément cette belle et jeune femme ainsi que son père, veuf inconsolable.
Quand la journaliste de mode Ethel, et amie de Neeve, est retrouvée assassinée à son tour dans des circonstances peu banales, le passé ressurgit et les amitiés que l'on croyait sûres vacillent.
Le roman commence par le meurtre d'Ethel. Ce choix est devenu banal dans beaucoup de thrillers. S'il a le mérite de mettre le lecteur dans le bain dès les premières pages, il a aussi le défaut de faire retomber sensiblement l'attrait pour la suite qui risque de souffrir de cette soudaine montée d'adrénaline. Si l'intrigue est faible, gare !
Dans le cas présent, j'ai trouvé l'histoire plutôt intéressante et je l'ai suivie avec plaisir. La trame de l'auteure n'est pas originale, les ficelles toujours un peu les mêmes, mais se couler dans ses règles de construction traditionnelles est assez confortable.
Il manque alors, peut-être, l'originalité qui ferait que le lecteur soit surpris, mais ce n'est pas le but recherché par l'écrivaine très consensuelle qu'est Mary Higgins.
Comme à son habitude, elle dresse un tableau sociologique fait de richissimes hommes et femmes de pouvoir évoluant dans une société un peu hors sol (le summum pour un homme digne de ce nom est de savoir assortir sa cravate avec la couleur de son costume sur mesure…).
Malgré tout, et toutes mises en garde admises, on passe un bon moment de lecture principalement récréative !

Michelangelo 12/06/19

Lien : http://jaimelireetecrire.ove..
Commenter  J’apprécie          70




Lecteurs (5290) Voir plus




{* *} .._..