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Critique de Sachenka
«Les catacombes de Vienne» est le cinquième tome de la série «La chronique des immortels», et il est un peu mieux que les deux précédents. Au moins, il a le mérite d'innover un peu. Andrej et son ami nubien Abou Doun, deux «bons» vampires, recherchent un certain Franz Breiteneck. Cet homme mystérieux, médecin-philosophe, alchimiste à ses heures, disposerait d'informations quant à l'origine des gens de leur… espèce. Et il se trouverait tout près, à Vienne. Évidemment, les deux amis ne pouvaient s'en tirer à si bon compte : les Ottomans assiègent la cité impériale, sous les ordres du sultan Soliman le Magnifique.
Pris à l'intérieur des murs, les deux amis doivent aider à la défense de la cité. Mais un malheur n'arrive jamais seul, le commandant en chef des troupes viennoises, le comte Nicolas von Salm, découvre la véritable identité d'Andrej et Abou Doun, et décide de s'en servir pour les obliger à accepter une quête : tuer Soliman. Mais, pour ça, il faut d'abord franchir les souterrains, les catacombes, où se cache un mal mystérieux. Là, ils retrouveront des morts-vivants mais surtout une vieille connaissance, Frédéric. Mais il n'est plus le même petit garçon tourmenté qu'ils ont connu jadis… En fait, tout le monde a changé un peu dans cette saga, sauf Andrej. Ce dernier est toujours resté le même, c'est comme si sa transformation en vampire et les aventures qu'il a vécues ne l'avaient jamais affecté. Occasion manquée ? Surement.
Si l'intrigue est un peu plus originale (enfin !) et que le temps a avancé (cinquante années sont passées depuis le début de la série, même si Andrej et Abou Doun n'en sont pas affectés), le style de Wolfgang Hohlbein est resté le même. Malheureusement ! Toujours des péripéties improbables et des personnages prévisibles, des descriptions minimalistes et des dialogues inutiles, qui ne servent qu'à mettre en évidence ce qui l'est déjà. L'auteur brasse toujours les mêmes éléments, dans le meilleur des cas il en ajoute un ou deux, mais ne change pas sa recette et ça en devient lassant. Surtout, j'ai l'impression qu'il n'évolue pas. Mais bon, je suis un critique sévère et quelqu'un qui cherche une lecture facile et agréable y trouvera son compte. «La chronique des immortels» vaut bien n'importe quel roman de fantasy disponible, probablement même un peu plus.
Pris à l'intérieur des murs, les deux amis doivent aider à la défense de la cité. Mais un malheur n'arrive jamais seul, le commandant en chef des troupes viennoises, le comte Nicolas von Salm, découvre la véritable identité d'Andrej et Abou Doun, et décide de s'en servir pour les obliger à accepter une quête : tuer Soliman. Mais, pour ça, il faut d'abord franchir les souterrains, les catacombes, où se cache un mal mystérieux. Là, ils retrouveront des morts-vivants mais surtout une vieille connaissance, Frédéric. Mais il n'est plus le même petit garçon tourmenté qu'ils ont connu jadis… En fait, tout le monde a changé un peu dans cette saga, sauf Andrej. Ce dernier est toujours resté le même, c'est comme si sa transformation en vampire et les aventures qu'il a vécues ne l'avaient jamais affecté. Occasion manquée ? Surement.
Si l'intrigue est un peu plus originale (enfin !) et que le temps a avancé (cinquante années sont passées depuis le début de la série, même si Andrej et Abou Doun n'en sont pas affectés), le style de Wolfgang Hohlbein est resté le même. Malheureusement ! Toujours des péripéties improbables et des personnages prévisibles, des descriptions minimalistes et des dialogues inutiles, qui ne servent qu'à mettre en évidence ce qui l'est déjà. L'auteur brasse toujours les mêmes éléments, dans le meilleur des cas il en ajoute un ou deux, mais ne change pas sa recette et ça en devient lassant. Surtout, j'ai l'impression qu'il n'évolue pas. Mais bon, je suis un critique sévère et quelqu'un qui cherche une lecture facile et agréable y trouvera son compte. «La chronique des immortels» vaut bien n'importe quel roman de fantasy disponible, probablement même un peu plus.
