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EAN : 9782081218345
332 pages
Flammarion (03/10/2008)
2.81/5   86 notes
Résumé :
Tout, comme on dit, nous sépare - à l'exception d'un point, fondamental : nous sommes l'un comme l'autre des individus assez méprisables. J'ai eu un père mélancolique et puissant, silencieux et guerrier, joueur d'échecs, insondable, lucide et incrédule, solitaire et souverain. Un grand dirigeant d'entreprise, le souvenir que j'en ai, est celui qui sait dire "Salade pour tout le monde !" au bon moment. Il n'est pas impossible que vous ayez déjà mis de votre côté les ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Ennemis public. Ennemis de qui ? L'assourdissant déferlement médiatique qui a précédé le lancement de ce livre me fait émettre de sérieuses réserves sur les raisons et les objectifs de la démarche. Sont-ils plus éditoriaux et économiques que littéraires ? Cela n'aurait rien de scandaleux, le monde de la littérature est souvent très sensible à la grande diffusion, et est soucieuse de rentabilité.

Il s'agit ici d'un dialogue épistolaire de deux hommes publics en recherche d'une plus grande reconnaissance. Les deux auteurs savent dès le départ que la correspondance sera publiée. Ce ne sont bien sur pas des missives ordinaires mais des lettres qui explorent et justifient les choix éthiques existentiels effectués par leurs auteurs. Ceux-ci ne laissent jamais indifférent, ils divisent les critiques et le public et participent activement à la scène culturelle et médiatique française depuis de nombreuses années.
Dès le début du livre les auteurs pratiquent l'ironie et l'auto-flagellation : « Tout, comme on dit, nous sépare – à l'exception d'un point fondamental : nous sommes l'un comme l'autre des individus assez méprisables ».
Les premières lettres trahissent une certaine méfiance qu'ils éprouvent l'un pour l'autre, toutefois après quelques échanges, ils se livreront avec moins de retenue. Ainsi, cette correspondance, qui a duré six mois, de janvier 2008 à juin 2008, propose des chapitres où se succèdent confidences et arguments, nous assistons à une sorte de partie d'échecs où les deux personnages avancent tour à tour leurs pions.
Houellebecq frappe fort dès le début en jouant le jeu de la sincérité : « Philosophe sans pensée, mais non sans relations, vous êtes en outre l'auteur du film le plus ridicule du cinéma français ». Le ton est donné.
Les deux écrivains déclarent vouloir respecter un contrat de sincérité et de vérité. Houellebecq rappelle ainsi que « Schopenhauer note avec surprise qu'il est relativement difficile de mentir par lettres ».
L'enjeu de l'échange n'est ni de persuader, ni de susciter une adhésion. Comme ils le reconnaissent, chacun arrive avec ses convictions et repart avec les mêmes. Le but du dialogue est une confrontation d'idées pour une meilleure compréhension de la vision du monde de l'autre.
Ce qui est gênant, c'est qu'ils ont des avis trop tranchés sur tout, abandonnant toute volonté de construction objective argumentée nécessaire à tout exposé clair. Il aurait été intéressant que ces deux hommes intelligents et cultivés cessent de se considérer comme des ennemis publics et abandonnent plus souvent leur côté narcissique pour parler un peu moins d'eux afin d'élargir le débat et de mieux confronter leurs idées sur le monde et son évolution.

De littérature, nulle trace ici, mais ce n'était pas le but. Ce livre laisse transmettre qu'ils sont tous deux animés d'un sentiment d'injustice par rapport au sort qu'il leur est généralement attribué. En définitive, les deux auteurs ont gagné leur pari, le pire pour un écrivain c'est l'anonymat et l'absence cruelle de lecteurs, ceci leur est épargné. L'opération est surtout payante pour BHL en mal de crédibilité alors que Houellebecq va obtenir le prix Goncourt deux ans plus tard, en 2010.
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Sous forme d'un message à Michel H

----- Original Message -----
From: ECHALIER
To: houelle@magic.fr
Sent: Friday, October 17, 2008 8:05 AM
Subject: Bravo


Bonjour cher Monsieur,

Je viens de terminer votre échange épistolaire avec BHL, enfin il me reste quelques pages à lire avant de filer au boulot.
Je tenais à vous féliciter pour les très belles pages sur l'écriture et la discussion sur les arts simples. Je vous crois. Vous êtes convaincant et modeste.

Pour être franc je vous trouve bien meilleur que BHL. Il n'est pas écrivain à mon sens. Vous l'êtes. Plus précisement BHL est un écrivain de tête, intelligent et cultivé (trop!), mais qui n'a pas d'intuition (ou de sentiments ou de sensations?). S'il faut avoir avalé toute l'histoire de la philosophie pour se convaincre que la compassion est consubstantielle à la nature de l'homme et de là se donner de bonnes raisons de filer au Darfour (en fait se justifier et se trouver génial plus par la démarche intellectuelle que par l'action), je trouve cela nul. MSF fait cela en silence et sans philosophie. Bref beaucoup trop d'intelligence et pas assez de modestie. Et trop de citations (bon c'est quand même intéressant).

Finalement Hemingway est pas si mal dans le genre et puis Rimbaud pourquoi pas? On pourrait parler de Saint-Ex aussi. Moi j'aime bien associer idées et action. Je suis un manuel (qui crois bêtement que toute notre intelligence vient de nos mains dès qu'on a su se tenir debout).

Vous, Michel, avez une démarche (évidement...) très différente de celle de BHL qui me semble partir de votre ressenti, de votre intuition, de votre inconscient, de votre coeur, je dirai de votre âme (que vous cherchez un peu soit dit en passant). Vous n'êtes pas sans culture mais je crois sentir que chez vous c'est secondaire. Acquis quoi, et qu'on ne va pas y revenir toutes les cinq minutes. Vos émerveillements (Baudelaire, Pascal) sont de très loin antérieurs à ceux de BHL. Vous ressentez l'émotion. BHL analyse à froid. C'est un homme de concept, pas un littéraire créatif de beauté dans le rythme des mots, pas un genre à se laisser inspirer et se laisser aller, quelle horreur! Perdu sans sa bibliothèque. Pfff. Normalien, normal, normé. Et puis il est un peu pontifiant et tente de vous recadrer. Je me demande (et vous admire) comment vous avez réussi à tenir le coup sans vous énerver vraiment. Moi à mon avis vous avez retenu votre plume quelque peu. Vous pouvez me le dire je ne le répéterai à personne...Vous êtes un sensible, un écorché sûrement, vous avez besoin des mots pour vous faire du bien (encore que ce n'est pas complètement vrai pour les romans qui semble-t-il vous angoisse au point de devoir vous avaler une bouteille après cinq pages). Finalement la création cadrée et rationnelle vous épuise. Bon en effet c'est sûrement douloureux d'écrire si le moteur qui vous y pousse est alimenté par vos blessures, les fractures que vous dites explicitement et que vous allez chercher et gratter sans cesse.

Je comprends bien votre insistance sur la poésie comme forme définitive de l'emploi des mots. Et puis plein d'autres choses à dire sur ce qui m'a plu dans vos écrits.

Mon impression globale en tant qu'observateur, lecteur, est que vous remportez le match. BHL ne peut pas vous suivre, et c'est normal. Il essaye de se hausser sur les épaules des géants précédents (dont les votres d'ailleurs). Il bosse. Mais il lui manque du génie. Un créatif est insaisissable et ne rentre pas dans le cadre. BHL veut être tout et c'est trop.

Au fait (mais bon ce n'est pas pour légitimer quoi que ce soit) j'ai passé une soirée en votre compagnie il y a longtemps chez SARA (vous la reconnaitrez sans doute) lorsque vous n'étiez pas encore vraiment connu. Juste après la publication de "Extension du domaine de la lutte". Je ne sais pas pourquoi mais ce roman m'a fait penser à Boris Vian (Sullivan) dans "J'irai cracher sur vos tombes".

Si vous avez le temps faites un tour sur mon site (poèmes, peintures et fleurs).

http://echalier.bruno.googlepages.com/

Et bon courage pour la suite.

Faites gaffe à l'alcool quand même. C'est un anxiolytique d'accord mais c'est aussi un dépresseur. Enfin bref c'est une merde. Un peu un suicide, donc ben bon...

Cordialement,

Bruno Echalier
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Échange épistolaire parfois instructif, parfois moins. D'emblée, je n'aime pas la posture de BHL, ses propos expliquant son engagement politique et humanitaire ne me convainquent pas. En revanche les propos de MH complètent sa façon d'envisager la littérature. Il s'explique simplement, toujours avec cet air désabusé qu'on lui connaît.
Ceci dit, cette correspondance entre deux « nantis » a parfois quelque chose d'un peu provoquant, bien que ce ne soit pas voulu. Le retour sur leur vie et surtout leurs position de victimes face aux média est assez désagréable.
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En préambule nécessaire, je dois reconnaître que si ce bouquin paru en 2008 ne m'était pas tombé par hasard entre les mains et contre ma volonté, je ne l'aurais pas lu. Pour de bonnes et de mauvaises raisons.
Les mauvaises raisons d'abord, car elles ne sont ni honorables, ni de l'ordre du littéraire mais tiennent de la personne, en l'occurrence ces deux écrivains bien particuliers. On voit là poindre le débat jamais clos, faut-il ou non distinguer l'écrivain en tant qu'homme de son oeuvre ? Encore qu'ici, ne s'agissant pas d'un roman donc d'une fiction, mais d'un débat entre deux intellectuels bien réels, leurs personnalités ne puissent être ignorées étant au centre de ce livre.
Michel Houellebecq je l'ai lu et plusieurs de ses romans sont chroniqués ici. En tant qu'écrivain j'hésite entre bon et très bon, en tout cas toujours intéressant. Par contre son oeuvre révèle des aspects de sa personnalité qui me troublent ou me mettent mal à l'aise, étonnant effet miroir entre ses écrits et son physique malingre et souffreteux, voire maladif. Ses livres m'attirent, sa personnalité me repousse un peu.
Bernard-Henri Lévy lui, je ne l'ai jamais lu. Trop présent depuis toujours dans les médias, de son opposition en tant que « nouveau philosophe » à André Glucksmann il y a une éternité, jusqu'à sa caricature assumée de lui-même, la chemise blanche immaculée ouverte sur son bréchet glabre, le cheveu romantique frémissant sous la brise venue du désert. L'image prenant le pas sur le personnage.
La bonne raison enfin et surtout, pour ne pas vouloir lire ce bouquin à priori, je ne suis pas amateur de correspondances. Car ce texte se présente comme une série d'échanges épistolaires entre Houellebecq et Lévy, des lettres se répondant l'une à l'autre, écrites entre janvier et juillet 2008.
Le titre et l'entame du livre n'étaient pas faits pour contredire mon apriori négatif. « Ennemis Publics », déjà perce une fanfaronnade prétentieuse. Quand on parle d'ennemi public, on songe à un dangereux personnage qui met en péril la société ou ses citoyens quels qu'ils soient, or Houellebecq et Levy ne concourent pas dans cette catégorie. Au mieux ou au pire ( ?) pour eux, ils le sont mais dans l'espace clos autant qu'étroit des intellectuels parisiens. Quant à la première ligne du texte, « nous sommes l'un comme l'autre des individus assez méprisables » écrit Houellebecq, vantardise provocante permettant de désamorcer par avance les critiques négatives qu'il attend, qu'il espère, car sans elles, ce livre n'a aucune raison d'exister. Là aussi, l'affirmation s'adresse aux mêmes intellectuels, car le lecteur lambda lui, est surtout en droit de s'interroger, pourquoi perdre mon temps à lire une paire d'individus méprisables ? Cette seule phrase dépeint assez bien une facette de Michel Houellebecq, balancer du glauque à la gueule du lecteur et le mettre au défi de s'y enfoncer en continuant sa lecture.
Passer cette première barre d'écueils n'était donc pas rien mais j'ai poursuivi ma lecture jusqu'à son terme et ce, je peux le dire, en y trouvant une part d'intérêt. Certains passages m'ont franchement ennuyé, d'autres me sont passés au-dessus de la tête car pas assez calé en concepts philosophiques ou connaissances littéraires, j'avais du mal à suivre. Mais quand les deux écrivains abordent des sujets comme la création littéraire et la poésie ou encore la religion ou du moins ce qui peut y ressembler, l'entretien devient passionnant. Sinon, il est aussi question de leur enfance, de souvenirs personnels, de la misère du monde et de politique, de lynchage médiatique etc.
On serait tenté de vouloir savoir qui des deux écrivains s'en tire le mieux à l'issue de cette rencontre, même si cette réaction est un peu ridicule je l'avoue. Néanmoins, j'ai trouvé Houellebecq plus « petit joueur » comparé à Lévy dont la prose ne manque pas de belles envolées exaltantes faisant appel à des sentiments nobles. Houellebecq est un pessimiste qui se demande « si l'humanité est une expérience qui mérite d'être poursuivie », Lévy est plus combatif. Houellebecq a la rancune tenace, limite radotage, contre les journalistes qui l'ont cassé (Assouline, Demonpion…) alors que Lévy semble (nous faire croire qu'il peut) oublier plus facilement, un choix tactique qui lui pourrit moins la vie. Tout du long de ce recueil de lettres, BHL a le mérite de tenter d'élever le débat et son écriture insuffle un vent de culture encyclopédique qui n'est pas désagréable.
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Avec ce livre, on perçoit le fossé abyssal qu'il y a entre l’image médiatique (un patchwork de rumeurs souvent erronées virant à la caricature) et la vérité d’un être qui n’est plus dans la posture.
Les deux écrivains entreprennent de se dévoiler en soulevant des questions existentielles. Et ils en sortent grandis, car une certaine cohérence se dégage peu à peu de l’ensemble et remplace la confusion, l’ambiguïté qui donnait prise aux doutes les plus infâmes (racisme, etc.) et à toutes sortes d’interprétations abusives.
On peut ne pas être d’accord avec eux, on peut penser qu’ils se trompent, réfuter leur point de vue. Mais l'on comprend qu'un certain désespoir viscéral (dépressionisme) pour l'un, et pour l’autre une sorte d’optimiste à tout crin, un gout de l’action d'éclat et de la justice, prennent leurs racines dans l’analyse d’un monde en décomposition ; une réalité qui n’a rien de réjouissant.
Houellebecq assume son impuissance d’où découle la honte, Bernard Henri Levy se donne des raisons de la combattre avec un acharnement digne de Don Quichotte, ce qui en devient presque touchant.
J’ai trouvé curieux (mais c’est à méditer) qu’ils aient tous deux besoin de se définir et de mentionner en premier lieu la référence au père et qu’ils aient ainsi l’occasion de s’inscrire dans une trajectoire (même en porte à faux). C’est peut-être l’ultime résurgence d’une société patriarcale et la source d’un certain narcissisme qui transpire malgré tout dans ces lettres.
Quoi qu’il en soit, je garde le souvenir de deux écrivains authentiques qui valent le détour (j'ai en mémoire le Baudelaire de BHL), passionnée par leur métier et qui font comme ils peuvent pour vivre et survivre dans un monde qui se délite.
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MH
Les écologistes ont raison. Bien entendu, aucun problème humain ne pourra être résolu sans une stabilisation de la population mondiale, sans une stabilisation de la consommation d'énergie, sans une gestion intelligente des ressources non renouvelables, sans une prise en compte des dangers climatiques.
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Aussi loin que je me souvienne, en tout cas depuis l'adolescence, il y a deux choses - pas trois, pas quatres, deux - qui m'ont paru mériter d'être vécues: aimer d'abord; je veux dire aimer au sens strict; aimer au sens d'aimer les femmes; et puis écrire, juste écrire, passer des nuits, des jours, encore des nuits, sur mon établi à mots, à faire que la pâte lève, que la forme vienne et que mes petites colonnes de signes tiennent à peu près debout...
Que ce soit ces deux passions-là ensemble n'a rien de surprenant.Car je crois que c'est la même chose. Vraiment, profondément, la même chose. La même sorte d'énergie. La même pulsion. La même complusion. La mêm force contenue et qui se résout. (...) Pourquoi écrivez-vous? Parce qu'on ne peut pas faire l'amour toute la journée. Pourquoi faites-vous l'amour? Parce qu'on ne peut pas écrire toute la journée. Quand, dans quelles circonstances, pourriez-vous renoncer à écrire? Le jour, s'il advenait, où l'autre passion, l'autre ferveur, donnerait des signes d'épuisement. L'inverse aussi? La même corrélation, mais dans le sens inverse? Naturellement!
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Et ma conclusion, cette fois, était certaine : en fin de compte, le groupe gagne toujours.
Dans nos sociétés occidentales, un individu peut parfaitement se mettre à l’écart du groupe, pour quelques années, et tenter un galop relativement libre. Mais tôt ou tard la meute se réveille, se met en chasse, et finit par le rattraper.
Alors elle se venge, et sa vengeance est terrible. Parce qu’elle a eu peur, la meute, et ceci peut surprendre, car elle est nombreuse : mais elle est composée d’individus médiocres, et conscients et honteux de l’être, et furieux que leur médiocrité ai pu, l’espace d’une seconde, être étalée au grand jour.

J’en suis là : la meute m’a rattrapé. Elle ne lâchera pas prise, et ceci durera jusqu’au moment de ma mort, et même un peu après.
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Il serait d’ailleurs injuste de jeter la pierre aux éditeurs ; à quand remonte la dernière fois où j’ai vu, dans une librairie, un rayon poésie ? Et que peuvent faire les libraires, s’il n’y a pas de public ? Nous vivons peut-être dans un monde (c’était la conclusion de Ghérasim Luca juste avant son suicide) où la poésie n’a simplement plus de place. [Michel Houellebecq]
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L'humanité c'est poisseux, c'est comme mettre la main dans un pot de mélasse, on se met à trouver de bonnes raisons à tout le monde, on est rapidement gagné par une complaisance sénile, et sucrée.

(Michel Houellebecq)
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À l'occasion de son film "Dans la peau de Blanche Houellebecq", sorti en salle le 18 mars 2024, il est l'invité de Géraldine Mosna-Savoye et Nicolas Herbeaux.
Visuel de la vignette : Joel Saget / AFP
#art #cinema #film _________
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