Compte tenu des divers résumés pertinents, je ne parlerai ici que des illustrations : somptueuses et puissantes, où une large part est faite aux jeux de lumière ; et de la traduction : du peu comparé et de deux traducteurs, celle de Maxime le Dain est plus déliée, claire, fleurie et littéraire - au risque, rarement touché, d'être emphatique - que la traduction de François Bon (qui date de 2015), qu'on peut juger percutante, plus laconique et incisive, mais moins littéraire et plus sèche.
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