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Critique de christinebeausson


Quel bonheur de partir dans les souvenirs du commissaire Erlendur pour les fjords de l'est de son enfance ... Reydarfjordur... Eskifjordur... Faskrudsfjordur....
Ne vous affolez pas on s'y retrouve !
Quelle surprise de se tester soi même pour voir si l'auriculaire et le pouce peuvent se toucher, il y a un stade d'hypothermie où cela devient impossible,
Quel plaisir de découvrir l'explication de la chair de poule, de la sensation de brûler à l'intérieur quand on a eu très froid.. à quoi correspond tout cela ?
Et puis, juste pour goûter, un petit verre de brennivín, (littéralement « vin brûlé » en islandais, nom générique pour les alcools forts).
C'est une eau de vie de pomme de terre aromatisée au carvi (appelé « cumin des prés », qui ne doit pas être confondu avec le cumin).
Étranges rivages, c'est les rivages de notre mémoire, de ce qui est inscrit au plus profond de nous, de ce que nous ne savons pas si nous l'avons vraiment vécu.
Alors préparons nous pour ce voyage dans la mémoire de notre cher Erlandur, nous allons revenir sur son passé qui est souvent évoqué avec rapidité dans les autres récits.
L'intrigue est peut être un peu tirée par les cheveux mais on est en Islande dans une région loin de tout, alors accompagnons Erlendur dans son ancienne ferme battue par les vents, balayée par la neige et
N'oublions pas nos anoraks, nos doudounes très très chaudes, des Thermos de café et allons y !
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