On n'atteint jamais l'essence de la peinture si l'on se contente de peindre ce que l'on voit! Il faut peindre ce qu'on ne voit pas!
Le Mont Fuji n'a jamais la même forme. Il prend des couleurs et des apparences différentes selon l'heure, et selon l'endroit d'où on le regarde. Et puis ça vaut pour tous les paysages en général tout change selon le cœur de celui qui les regarde, au moment où il les regarde.
Ce que j'aime dans les voyages, c'est qu'on a le temps d'observer des choses qu'on ne verrait pas d'habitude... des paysages, des constructions, des gens. Ce sont surtout les gens qui m'intéressent, ils sont toujours plus compliqués ou plus facile à croquer qu'on ne pense au départ. Voir ce qui se cache réellement derrière les gestes des gens... c'est formidable!
Je peins le temps qui marque de son empreinte chaque instant de ce monde.
Le mont Fuji n'a jamais la même forme. Il prend des couleurs et des apparences différentes selon l'heure, et selon l'endroit d'ou on le regarde. Et puis, ça vaut pour tous les paysages en général, tout change selon le coeur de celui qui les regarde, au moment ou il les regarde. Et donc, la nature vit aussi ! Tout passe par le coeur de l'homme ! La vie la mort...
qu'aussi sublime que soit un paysage... si on ne parvient pas à le faire passer dans le regard des gens, il perd tout intérêt.
Ce sont surtout les gens qui m'intéressent. Voir ce qui se cache réellement derrière les gestes des gens c'est formidable. Peindre un personnage c'est ce qu'il y a de plus difficile en peinture. Ce qui l'est plus encore c'est de dépeindre l'âme qui se cache derrière ces mouvements.
C’est pour ça qu’aussi sublime que soit un paysage… Si on ne parvient pas à le faire passer dans le regard des gens, il perd tout intérêt. Quand on le fait passer dans le regard des gens… C’est comme s’il n’appartenait plus à ce monde et qu’il devenait éternel… Je peins le temps qui marque de son empreinte chaque instant de ce monde.