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Critique de kalimera
L'auteur de "La guerre des mouches" est français, il est mort en 1963 en nous laissant huit romans de sciences fiction absolument incroyables et souvent difficiles à trouver.
Nous sommes les enfants du XXI siècle et les scénarios catastrophes, apocalyptiques, fin de mondiste....
ben...on a l'habitude...y a qu'a voir le dernier Brad Pitt, n'est ce pas ?
Mais les "hou ! je sors de la tombe", je trouve que ça commence à faire réchauffé, DONC, je vous propose une fin du monde provoquée par des légions, des nuées, des millions de tonnes de mouches in-te-lli-gentes !
Quoi ! quoi !
Ridicule !
Des mouches ?
Personnes n'a peur des mouches, ça vole en cercle au milieu de notre plafond, c'est pas foutu de prendre la fenêtre même grande ouverte, ça pique même pas, ça a vraiment l'air tout con sur un tas de merde, non vraiment ça ne peut pas faire un roman ou même un film !
Et pourtant je vous assure que ce roman vous tient en haleine, vous fait réfléchir et vous fait regarder le vol hiératique de la mouche domestique avec un brin de paranoïa !
Le tout servit par un style début de siècle (celui d'avant) particulièrement décalé et assaisonné d'un humour fin et vraiment trop léger pour un sujet aussi grave que la fin de l'Humanité !
Nous sommes les enfants du XXI siècle et les scénarios catastrophes, apocalyptiques, fin de mondiste....
ben...on a l'habitude...y a qu'a voir le dernier Brad Pitt, n'est ce pas ?
Mais les "hou ! je sors de la tombe", je trouve que ça commence à faire réchauffé, DONC, je vous propose une fin du monde provoquée par des légions, des nuées, des millions de tonnes de mouches in-te-lli-gentes !
Quoi ! quoi !
Ridicule !
Des mouches ?
Personnes n'a peur des mouches, ça vole en cercle au milieu de notre plafond, c'est pas foutu de prendre la fenêtre même grande ouverte, ça pique même pas, ça a vraiment l'air tout con sur un tas de merde, non vraiment ça ne peut pas faire un roman ou même un film !
Et pourtant je vous assure que ce roman vous tient en haleine, vous fait réfléchir et vous fait regarder le vol hiératique de la mouche domestique avec un brin de paranoïa !
Le tout servit par un style début de siècle (celui d'avant) particulièrement décalé et assaisonné d'un humour fin et vraiment trop léger pour un sujet aussi grave que la fin de l'Humanité !
