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EAN : 9782226396365
Albin Michel (01/03/2017)
3.54/5   23 notes
Résumé :
Le soir du réveillon, Sibylle, une jeune journaliste, est réquisitionnée pour couvrir le concert du prestigieux Fersen Orchestra. Lors du final, Lucie Fersen, géniale compositrice et chef d'orchestre de 36 ans, est tuée d'une balle tirée depuis la régie. Sibylle et son amie commissaire de police entendent bien trouver le mobile et le coupable du meurtre de cette ex-enfant prodige et rock star.
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Pour commencer, j'adresse un grand merci aux Éditions Albin Michel et à Babelio pour m'avoir fait découvrir ce livre avant sa sortie officielle et cet auteur grâce à l'opération Masse Critique. Je découvrirai ainsi d'autres livres écrit par elle avec plaisir et curiosité.

Alors, pour être tout à fait honnête, je n'aurais jamais dû embrayer la lecture de ce livre directement derrière « Rêver » de Thilliez. Il ne supporte en effet pas la comparaison hélas, puisqu'ils concourent dans la même catégorie : le thriller. Je vais néanmoins essayé de rester objective.

L'histoire démarre directement sur les derniers détails qui précèdent le meurtre de la très célèbre chef d'orchestre de musique contemporaine, ancienne star de rock, Lucie Fersen lors de la générale de presse de son concert à la Philharmonie à Paris, le soir de Noël.

Sybille quant à elle, y assiste justement en tant que journaliste. Habituellement déléguée à écrire des articles sur la banlieue (sous le prétexte qu'elle est « jeune »), elle est « réquisitionnée » le soir de noël pour faire « un papier » sur le concert de l'année. En fait de concert, sa quête va bientôt tourner à « l'enquête » au ton très « polardisé ».

En effet, elle sera aux premières loges lorsque Lucie sera abattue en plein milieu d'un morceau de sa composition, la « Deuxième Symphonie de l'Apocalypse », pile lorsque les cymbales se déchaineront. Mais Lucie ne meurt pas sur le coup… Ce qui entrainera alors la désorganisation du tueur.

On découvre aussi peu à peu, au travers des auditions qu'effectuera la police de différents témoins dont Sybille se fera la traductrice (eh oui, ils sont américains !), la vie de Lucie, qui elle était ; petite fille introvertie qui a échappée à un terrible accident de voiture à cinq ans qui a couté la vie à se mère, presque asociale, pour qui le chemin semblait tout tracé avec un papa très caractériel, chef de son propre orchestre, le Fersen Orchestra. Cependant, petit prodige, elle fera sa « crise d'adolescence » à dis ans et se lancera dans le rock à treize pour finir par raccrocher et finalement rentrer « dans le rang » sept ans plus tard. On s'attache peu à peu à cette personnalité complètement hors du commun; une écorchée vive qui est bouleversante finalement malgré ses abords abruptes, sans concessions et qui semble être un parangon d'égoïsme.

On a donc deux points de vue qui s'alternent, celui du tireur et celui de la journaliste. Pas de temps mort, tout s'enchaîne parfaitement, c'est fluide. L'enquête est menée tambour-battant par Sybille, aidée dans ses recherches par sa meilleure amie Anouk, qui travaille dans la police – et qui a été réquisitionnée tout comme elle, le soir de noël – et de Benjamin, un ami avocat.

De son côté, Sybille la petite trentaine comme ses deux amis a tendance à ne pas vouloir "grandir" et peine à trouver sa place dans le monde trépidant d'aujourd'hui. Avec leurs questionnements sur leur devenir, ils sont très touchant aussi.

Le ton est léger, il y de l'humour, l'histoire coule bien mais le monde semble un peu trop s'ouvrir facilement devant cette « jeune » journaliste justement. Elle obtient des interviews et des renseignements confidentiels sur l'affaire, un peu trop les « doigts dans le nez » à mon goût, mais bon ça se lit bien, on rentre vite dans l'histoire, c'est plaisant. Certaines descriptions, notamment sur l'analyse technique de la musique sont à mon sens, très fournies avec un vocabulaire très fouillé et précis, pour moi qui suit complètement néophyte sur la question. J'ai donc eu l'impression d'apprendre des choses, ce qui flatte ma curiosité, c'est un bon point.

Alors ici, pas de tortures psychologiques, pas de flashbacks sauvages et déstabilisants, pas de jeu de cache-cache pervers, un style direct, clair sans être simpliste et percutant. Cependant, les phrases parfois construites bizarrement me font un peu tiquer et ont gêné un peu ma lecture, mais ce n'est pas capital.

Pas le thriller de l'année donc, loin s'en faut, mais très intéressant tout de même. J'ai eu l'impression que l'écrivain voulait toucher plutôt un public d'ados. Mais ce n'est qu'un simple avis, parmi tant d'autres…
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Je remercie Babelio et les Editions Albin Michel de m'avoir permis la lecture de ce roman de Stéphanie Janicot. Je découvre la couverture après lecture, j'ai eu la chance de lire les épreuves.
Elle ne rend pas hommage au récit ! Lucie Fersen, Cheffe d'Orchestre hors pair, chanteuse à la voix particulière est assassinée le soir de Noël, en pleine expression de son art. L'assassinat est millimétré à la seconde prêt. Évidemment, un soir de réveillon, les pointures que ce soit dans un journal ou à la PJ ne sont pas là. Mais ce concert est l'évènement de l'année à Paris, cela va permettre à Sibylle, journaliste, et son amie Anouk, flic, de mener l'enquête.
Lucie Fersen, jeune femme de presque 36 ans, a gardé la petite-fille de 5 ans qu'elle a été, prisonnière de sa vie d'adulte. Je m'attendais à une intrigue au coeur de l'orchestre philharmonique qu'elle dirige à la suite de son père. Mais Autour de Lucie gravite une cour d'afficionados, de courtisans, difficile de la cerner. Sybille, sortie de son quotidien de banlieue est intriguée par cette artiste et ses relations ambigües tant avec les femmes qu'avec les hommes de son entourage. La séduction serait-elle un moyen d'arriver à ses fins ? La journaliste ne peut s'empêcher d'être en empathie avec la jeune femme si entourée et seule à la fois.
Je me suis laissée embarquer par l'enquête qui devient vite secondaire et la découverte du parcours de Lucie, de ses amours, sa manipulation, sa volonté de maîtriser sa vie. Un point commun entre les personnages de Stéphanie Janicot, l'abandon et l'émotion. La fin de ce roman m'a surprise. Une sortie à ne pas manquer !
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Fallen Angel...
Comme l'ange qui tombe...
Comme l'ange déchu...
Comme l'ange déçu ?

Le soir du réveillon de Noël, Lucie Fersen dirige le Fersen Orchestra pour la répétition générale de sa deuxième symphonie quand soudain elle s'effondre, touchée par une balle en pleine poitrine.
A qui rapporte le crime ?

Je m'attendais à lire un simple roman policier traditionnel, avec ses potentiels coupables, ses embrouilles infinies et je me suis retrouvée à découvrir le quotidien d'une musicienne précoce et hors pair à travers le regard de ceux et celles qui l'ont côtoyée.
Et c'était passionnant !
La vie et les relations de Lucie Fersen étaient si intenses, si étranges et parfois si irréalistes que je m'y suis plongée corps et âme oubliant que j'étais à la recherche de l'auteur d'une fusillade. J'ai laissé de côté l'intrigue pour me focaliser sur la psychologie des proches de Lucie, leurs liens de sang ou musicaux, leurs amours naissantes ou finissantes...
Ce livre est une somme de mini biographies et d'histoires de vie aussi passionnantes les unes que les autres.
Je découvre avec ce roman l'univers littéraire de Stéphanie Janicot. Et je suis sous le charme.

Merci à Masse Critique, aux Editions Albin Michel et à Babelio pour cette splendide découverte et pour cette partition musicale et littéraire qui m'a enchantée.
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Merci à la masse critique Babelio et la Maison d'édition Albin Michel de m'avoir envoyé cette épreuve non corrigé de ce roman qui sort le 1er mars.
Alors tout d'abord je voulais juste faire une remarque visuelle. Après avoir fini le roman qui m'a plus dans l'ensemble, je trouve que la couverture ne lui fait pas honneur du tout. Je la trouve kitch et loin d'être à l'image de ce polar bouleversant. Je n'ai pas mis cette note mitigée à cause de la couverture non c'est pour mon ressenti général.
Sybille journaliste parisienne doit assister à un grand concert philarmonique de Lucy grande prodige mais un meurtre est commis devant tous les spectateurs. Elle se retrouve à enquêter avec sa meilleure amie Anouk policière.
Dans son roman Stéphanie Janicot auteure que je ne connaissais pas du tout traite deux trames : um polar mais aussi le star système (la pression permanente d'être la meilleure). Elle nous raconte la vie d'une prodige de la musique qui commence dès l'âge de 5 ans. A 36 ans elle est assassinée sur scène et Sybille voudra des réponses et le lecteur d'ailleurs aussi.
Dès le départ le ton est donné Lucie est morte et on va apprendre à la connaitre grâce aux recherches de Sybille. Et franchement c'est la partie que j'ai adoré. L'empathie que Sybille éprouve pour cette femme et qui la pousse à aller plus loin dans l'enquête. Et c'est là que je bloque un peu j'aurais aimé que ce soit un peu plus poussé. Je suis restée sur ma faim alors que je commençais à rentrer entièrement dans le roman.
La partie polar aussi m'a laissé perplexe trop rapide alors que l'auteure aurait pu facilement jouer avec nos nerfs. Et même aussi pousser le caractère bien complexe de Sybille et sa relation avec Anouck. Mais je tiens à dire que Stéphanie Janicot m'a quand même surprise même si je commençais à douter du meurtrier (mais plutôt vers la fin ce qui est une bonne chose). Ce reste un bon roman dans l'ensemble j'aime pinailler parfois quand je reste sur ma faim et que je cherche le pourquoi du comment.
Pour conclure juste un manque de profondeur sur ce roman. Dommage car j'ai dévoré en une journée. Merci quand même à la maison d'Edition qui nous permette de connaitre des auteurs et s'ouvrir à autre chose.
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Ce roman policier est bien mené et prenant. J'ai vraiment passé un bon moment !

Journaliste de permanence pendant les fêtes de fin d'année, Sibylle se rend à reculons aux dernières répétitions du Fersen Orchestra avant que soient donnés les derniers concerts de leur tournée, se clôturant à Paris. La jeune femme est fascinée par la synesthésie musique/couleur mise en place par Lucie Fersen, fille du fondateur de l'orchestre et musicienne virtuose qui dirige désormais le Fersen Orchestra. Mais lors du final cette dernière est atteinte par une balle qui l'atteint au poumon et au coeur, sous les yeux ahuris du public. Tandis qu'elle est emmenée entre la vie et la mort à l'hôpital, Anouk, commissaire de son état et meilleure amie de Sibylle, est chargée de l'enquête. Les deux jeunes femmes vont alors passer un accord pour que la journaliste puisse avoir accès aux interrogatoires des proches de la victime et autres suspects. Une série d'interrogations vont se succéder dans leurs esprits, car Lucie Fersen semble avoir une personnalité controversée et un tas d'ennemis.

Ce roman est une agréable découverte ! Je ne connaissais pas encore la plume de Stéphanie Janicot, qui compte de nombreux romans à son actif, et elle s'est révélée vraiment plaisante. Outre le contexte idéalement choisi de la société mondaine - la vie privée d'une célébrité, ancienne enfant-star de surcroît, recèle autant de mystères que de faits connus du grand public, ou que celui-ci pense connaître... -, j'ai aimé que l'auteure nous en apprennent plus sur les personnages et potentiels suspects tout au long du roman, principalement grâce aux interrogatoires menés par la police que l'on découvre en même temps que Sibylle. Ces "interviews", comme les appelle cette dernière, sont la matière principale du récit et c'est par leur biais que nous découvrons petit à petit l'histoire de Lucie Fersen et de son entourage. Celle-ci a un caractère fort et son histoire est aussi touchante que déroutante; bien que l'on ne la croise pas réellement en personne dans le roman, on apprend à la connaître par la voix des autres et sa personnalité profonde n'en est que plus délicate à deviner: entre rumeurs et faits véritables, on ne sait jamais vraiment à qui se fier. Néanmoins je me suis sentie proche de ce personnage, son génie musical, sa volonté de réussite et ses ambitions diverses, sont palpables.
L'idée d'ajouter au point de vue de Sibylle celui du tireur en début et fin de roman est intéressante et apporte aussi son lot de questionnements.
Mais puisque nous parlons d'un roman policier, une question se pose: est-il aisé pour le lecteur de se faire une idée du malfaiteur ? Réponse: eh bien, si vous prenez le temps de bien analyser ce que vous lisez, oui, vous pouvez deviner la trame de l'intrigue. L'auteure nous sert sur un plateau tout ce que découvre le duo principal: Sibylle/Anouk. Nous évoluons donc à leur rythme, assistons à leurs déductions, et pouvons dès lors nous faire nos propres idées, en même temps qu'elles. Ceci dit, cela ne veut pas dire que c'est prévisible, au contraire, la supposition est toujours de mise dans ce récit, rien n'est jamais sûr, alors il est possible de douter jusqu'au dénouement tandis que les pistes sont nombreuses. En grande amatrice de séries télévisées policières, j'ai pris un vrai plaisir à prendre part à cette intrigue et, en milieu de roman environ, une certaine logique s'est imposée à moi. Parviendrez-vous à faire de même ?

"Fallen Angel" fut une très bonne découverte ! C'est un roman que je conseille absolument à tous types de lecteurs, il n'est pas besoin d'avoir une préférence pour le genre policier pour apprécier ce récit. On s'attache vite aux personnages et la plume de l'auteure est très agréable !
Lien : http://letoucherdespages.blo..
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
- Franchement, moi aussi, je traite les histoires de couples, sauf que les miens, ils ne sont pas dans les beaux quartiers à prendre des amants et des maîtresses, ou à se disputer des pensions à mille euros, ils se foutent sur la gueule quand ils sont bourrés et ils se trucident à coups de couteau ! Sérieusement, je n'ai pas l'impression de participer à la grande marche de la justice.
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Comme j'étais dans les derniers spectateurs à évacuer et qu'ils n'avaient toujours rien découvert, ils étaient sur les dents. Ils ont exposé tout le contenu de mon sac à dos sur une table. La honte. Pêle-mêle, deux tampax au milieu des crayons et stylos, des papiers froissés et salis, un bonbon sur lequel s'étaient accrochées des miettes de tabac, un paquet de cigarettes écrasé, des kleenex pas forcément propres, un carnet aux pages écornées, l'agenda qui ne valait pas mieux, mon téléphone avec des traces de chocolat et justement la barre de chocolat à moitié mangée. Plus deux clés USB, une en forme de Mickey et l'autre publicitaire pour Orange. Mes clés accrochées à une peluche éventrée et mon portefeuille dégorgeant de tickets de caisse et de carte de crédit. J'ai essayé de sourire au flic qui inspectait tout et me regardait comme si j'avais pu tirer au révolver avec un tampax mais, peine perdue, c'était réveillon et il était de corvée à fouiller des sacs à main pendant que ses gamins attendaient le père Noël. Pour l'humour, il faudrait attendre la nouvelle année.
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Tu serais bien en mal de me citer une seule époque dans laquelle la société n'a pas été divisée en cercles fermés. Peut-être dans les années cinquante ou soixante, les gens ont-ils eu l'impression que les classes devenaient perméables, qu'ils pourraient naviguer de l'une à l'autre en fonction de leur mérite. Mais ce temps-là est bien terminé. Nous nous savons tous voués à un certain mode de vie qui a peu de chances d'évoluer entre l'enfance et la mort.
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Nos parents nous avaient tant fait croire que nous serions éternellement des enfants, le temps nous avait surpris. Nous vieillissions en marge sans parvenir à prendre des places d'adultes.
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Le pistolet est un Ruger Mark III 22/45 fileté, équipé d'un silencieux B&T HP22. Neuf et chargé. Une seule balle. La cible est à moins de quarante mètres. Il s'efforce de penser l'opération en termes techniques. La musique pourrait altérer sa concentration. Cette Deuxième Symphonie qu'il connait par coeur comporte des envolées mélodiques qui lui donne la chair de poule. Depuis plusieurs semaine, il frissonne chaque fois ques les cordes gonflent leur son avec la lenteur d'un vaisseau amiral, il tremble lorsque, rejointes par les cuivres, elles explosent avec une joie désespérée. C'est ce désespoir qui le touche mais il ne l'analyse pas, il le ressent. Il sait exactement à quel instant il tirera, à la mesure 147 lorsque les cymbales se percuteront pour le premier de leurs trois affrontements. Il a emprunté la scène à un film Hitchcock dans lequel le meurtre prévu de la sorte finissait par avorter. Il espère que cela ne lui portera pas malheur.
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Videos de Stéphanie Janicot (17) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Stéphanie Janicot
Avec François Busnel, Pierre Furlan, Stéphanie Janicot & Françoise Nyssen Lecture par Pierre Baux
Russell Banks (1940–2023), deux fois finaliste du prix Pulitzer, était assurément l'un des écrivains majeurs de sa génération et l'un des plus engagés. Il n'a eu de cesse pendant plus de quarante ans de mettre en scène des personnages issus de l'Amérique profonde, confrontés à l'adversité de la vie. Son oeuvre, composée d'une vingtaine de textes de fiction et de non-fiction, a obtenu de nombreuses distinctions internationales. Deux de ses oeuvres ont été adaptées au cinéma : de beaux lendemains (réalisé par Atom Egoyan) et Affliction (réalisé par Paul Schrader). Russell Banks fut également président du Parlement international des écrivains chargé de défendre les écrivains victimes de persécution. Pour l'évoquer ce soir : des témoignages, souvenirs, analyses, extraits de documentaires et moments de lectures.
À lire – Russell Banks, Oh, Canada, éd. Actes Sud, 2022. le reste de son oeuvre est publié aux éditions Actes Sud.
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