AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de okka


Quand la vérité est en face mais qu'on ne la voit pas. Où que l'on ne veut pas la voir.
Que l'on se dit, « non ce n'est pas possible, elle est si gentille, si belle, si faible… » Mais qu'en fait elle est : inconsciente, nombriliste, dangereuse !
Un beau reflet de notre société qui ne juge que par le physique, que l'habit fait le moine,… qui ne juge, sans avoir toutes les infos des deux parties, victime et coupable.

Il y a de quoi devenir parano s'il faut se méfier de tout le monde… oui mais non… Il suffit d'ouvrir les yeux. Et non se laisser hypnotiser par la beauté mensongère. Les psychologues pointent du doigt les gens fermé, froid… Alors qu'il y a beaucoup plus à avoir peur d'une personne « social ».
En résumé, nous vivons dans un monde de fous, et rare sont ceux à être sain d'esprit.

Une histoire qui donne des palpitations, car nous, lecteur sommes omniscients et que les enquêteurs sont à l'ouest.
Un graphisme par Bernard Khattou , en noir et blanc qui donne l'atmosphère à cette histoire. Davantage que si elle aurait été en couleur.
On en apprend au fil de l'histoire grâce aux enquêtrices sur ce syndrome de Munchaüsen, avec des faits réels. Et la touche biochimie, toxicologie d'Andrea H. Japp
Commenter  J’apprécie          160



Ont apprécié cette critique (14)voir plus




{* *}