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Critique de Mondaye


Chaque nouvelle de ce recueil est une perle, mais chacune à sa propre beautée...

Pour la première nouvelle... c'est celle qui ouvre le reccueil et pourtant parmis celle qui m'ont le moins marquée. Une bonne atmosphère toutefois, et une fin assez surprenante, à mille lieus de ce que l'on attendait

On retouve dans la seconde Benvenuto et sa terrible verve qui nous a charmé (ou si le lecteur ne le connait pas encore va le charmer) dans Gagner la guerre. (que le lecteur doit s'empresser d'aller lire sitôt ce livre refermé) pour son entrée pour le moins mouvementée au service de vous-savez-qui.
Mais ce n'est là qu'une seule des nouvelles, aussi éclatante soit-elle, et elle ne peut résumer à elle seule l'oeuvre.

la troisième nouvelle nous parle d'honneur, et comment celui-ci peut être détourné et utilisé à mauvais escient.
Même si elle ne m'a pas émue comme d'autre on pu le faire, on reste prisonnier de l'intrigue, ou le vent de la fatalité se fait sentir.

La quatrième nouvelle est assez prenante aussi à sa manière, et le fond est assez touchant. C'est une des seules qui propose une fin optimiste.

Pour le conte de Suzelle (cinquième nouvelle), c'est une nouvelle assez cruelle que nous offre l'auteur, qui ne lasse pas de nous émouvoir.

Dans la sixième nouvelle nous faisons la rencontre de Calame, un copiste malchanceux atteint du syndrome de Palimpeste... quand à connaître précisément quel est ce fameux syndrome, je laisse au lecteur le soin de le découvrir... en même temps qu'un excellent moment à passer ou le sourire pourra bien le surprendre au détour des pages... et se transformer en rire incontinent.


La dernière nouvelle qu'est le confident... est bien, j'ai peur de trop en dire. Je me contenterais de dire qu'elle est troublante, terriblement troublante.
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