Histoire vraie ?
C'est tellement absurde et loufoque que certains passages ne sont pas crédibles.
Les routiers et les collègues de travail de Sarah sont un peu trop stéréotypés.
Mais on passe quand même un très agréable moment très court hélas.
Pour un publique qui aime le langage cru.
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Merci Monsieur Jean-Christophe HERAS VELASCO pour cette super histoire érotique vraie que je recommande. Je l'ai lu d'un bout a l'autre sans pouvoir la lâcher. J'espère en lire beaucoup d'autres
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Le témoignage serait mieux s'il n'y avait pas autant de clichés sur le routiers
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Peut heurter la sensibilité de certaines personnes fragiles
Ma femme ne dit mot, mais son regard en dit long. Elle se laisse limer et peloter la bouche ouverte, parfois les yeux fermés en gémissant. Le gros passe sa main derrière la tête, lui enfonce deux de ces gros doigts dans la bouche, et elle se met à les sucer. Marc sort sa bite et commence à se branler. Moi c’est déjà fait depuis un moment. Sa queue est moins longue et surtout moins épaisse que le gros. Il regarde, la langue légèrement pendante, son pote défoncer ma femme.
1 Il se met à genoux entre ses cuisses, remonte le haut de ma femme qui n’est plus qu’une fine ceinture, sur son ventre, lui attrape les chevilles, lui replie un peut les jambes et enfonce sa grosse queue dans la chatter de ma femme qui pousse un râle de plaisir. Il l’enfonce complétement et la ressort doucement. Il fait ça plusieurs fois. Je regarde son mandrin énorme entrer et sortir du fourreau de ma chérie. Je me branle de plus en plus doucement car je suis prêt à exploser.
3 Elle est debout, poussant des gémissements et des râles réguliers, une jambe en l’air, les seins ballottant, les yeux fermés, la bouche ouverte, la langue a moitié dehors, se doigtant la chatte pendant que le gros la sodomise. Je ne reconnais plus ma femme. Je commence à ressentir de la jalousie en la voyant, si belle, totalement offerte à ce gros pervers, plus qu’elle ne le ferait pour moi. Mon éprit est complètement troublé partagé par cette jalousie qui se réveille, et la vue de cette jeune femme superbe, ma femme, possédée sexuellement devant moi par cet homme dépravé, et qui me pousse à me branler.