Mes rêves au grand galop

Inès est une jolie jeune fille handicapée à cause d'un accident, aimant la nature et l'équitation. Sébastien est un jeune homme, parisien et branché, détestant la campagne et sa tranquillité. Ils vont pourtant se rencontrer grâce à leurs mères respectives qui sont amies d'enfance et qui viennent de se retrouver lors d'un stage. Les parents de Sébastien arrivent alors chez Inès, Fleur et Raoul pour passer quelques jours de vacances.
Autant dire que ces deux-là ne s'apprécient guère, leurs modes de vie différent ne fait que les éloigner. Pourtant, des liens se tissent au fur et à mesure du récit, des liens d'amitié très fort qui se développent autour d'une passion : l'équitation et les chevaux

Un roman jeunesse sympathique à lire. le lecteur se trouve plonger dans les problématiques adolescentes, la recherche de soi. Les auteurs abordent le handicap sans pathos mais avec réalisme.
Didier Jean et Zad écrivent ensemble un roman à deux voix Tantôt Inès est la narratrice puis c'est au tour de Sébastien de nous raconter sa vision des événements. Cette alternance donne une densité à ce court roman dans un style agréable.

Cet ouvrage fait partie de la sélection du Prix des Incorruptibles 2014-2015 dans la catégorie CM2 - 6ème.

Lorsque Fleur retrouve sa copine d'enfance, elle espère que leur enfant vont bien s'entendre. Mais entre un garçon des villes et une adolescente de la campagne en fauteuil roulant, la frontière est grande. Pourtant, un matin, Sébastien va découvrir le secret d'Inès...

Un roman sur le bonheur, celui de l'amitié et celui de la nature. L'opposition Ville Campagne ne dure qu'un temps, celui de faire connaissance. L'ouverture vers l'autre est conditionnée par la nécessaire acceptation de soi-même. Dans cette jolie histoire, c'est le cheval qui va servir d'intermédiaire. Un agréable petit roman.

Lien : http://t.co/fd8A02RSzZ

Inès, 13 ans, est en fauteuil roulant depuis son accident, ce qu'elle a encore du mal à accepter sans colère. Ses parents ont invité dans leur grande maison à la campagne une amie d'enfance de sa mère, retrouvée depuis peu, ainsi que son mari et son fils Sébastien, du même âge qu'Inès. Entre les deux ados, les relations sont un peu tendues. Mais tout change quand Sébastien découvre le secret d'Inès...

Un roman vite avalé et qui ne me laissera pas un souvenir impérissable même si finalement, il est plutôt sympathique. le problème vient surtout du fait que la psychologie des personnages est très sommairement expédiée (la fille, handicapée, en colère et ne voulant pas se résigner, le garçon, borné, plus sensible qu'il n'en a l'air) et qu'on voit arriver le dénouement avec ses gros sabots dès la rencontre entre ces 2 personnages. Alors oui, c'est assez agréable à lire, on est touchés par l'avalanche finale de bons sentiments qui dégoulinent sur tous les protagonistes mais je pense que demain, je ne me souviendrai plus de ce livre. Les jeunes lecteurs fans de chevaux y trouveront peut-être plus leur compte que moi?

Ce roman evoque l'amitié naissante entre une jeune handicapée et un garçon en pleine crise d'ado. le cheval n'est ici qu'un prétexte pour permettre à cette amitié, pourtant pas gagnée à l'avance, de naître. Il s'agit là d'un texte simple, plaisant à lire mais loin de laisser un souvenir impérissable : les personnages sont un peu caricaturaux et les bons sentiments un peu gros. Cela plaira sans doute aux tout jeunes ados...

J'ai bien aimé ce livre car quand on grandi dans une ville, c'est difficle de s'adapter à la campagne, sans la modernisation. J'ai aimé car j'ai compris qu'il ne faut pas voir les citadins comme des accrocs à leur console car au final ils finissent toujours par s'adapter. J'ai été ému parce qu'Ines est en fauteuil roulant et qu'elle aime le cheval.
Marc N.

J'ai bien aimé. Au début ça ne me tentait pas. Mais après j'ai aimé. A des moments j'allais pleurer mais je me retenais. Après ça n'a pas changé ma vie. Mon personnage préféré c'est Inès car elle est en fauteuil roulant et toutes les aventures qu'elle a vécu ça m'a touchée. Je ne pensais pas que les handicapés ne pouvaient pas faire autant de choses que nous qui ne le sommes pas.
Angeline N.