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Critique de leojl


Humour danois
Où l'on découvre dès le début de l'intrigue le nom du meurtrier, celui de la victime et l'arme du crime. C'est pas banal, non ? Mais il reste le mobile ! Max, fidèle ami et conseiller du 1er ministre, tue Tom, le 1er ministre, à l'aide d'une bouteille de Glenfiddich de 30 ans d'âge (vous savez celle qui est triangulaire et qui ressemble à un Toblerone en plus grand et en plus solide ! On aurait pu choisir un Red Label ou un Johnny Walker , mais Glenfiddich, c'est plus classe, non ?). le narrateur, le braqueur de banques, veut relater les faits que lui a racontés Max le génie. On a droit alors à un récit complètement déjanté, surréaliste au style teinté d'un humour « braque » (voir la couverture) à la limite du burlesque. « Nous voilà presque revenus où tout avait commencé, la boucle est bouclée, je peux enfin raconter l'histoire depuis le début ; maintenant que nous savons comment va se terminer ce qui ne va pas tarder à commencer. » et « Où Tom trouve lui-même un moyen pour que ce qui se passe mal se passe bien. Mais ça se passe mal ! Ça aurait pu se passer bien, et c'était presque le cas – mais alors ça s'est pal passé. C'est pas bien. » Réflexions de l'auteur, dérision et aphorismes « Il s'en va des ministres comme des couches jetables ; il faut les changer souvent. ». Surprenant, déstabilisant, désopilant, fascinant, génial… c'est comme le bon vin, ça réjouit le coeur de l'homme.

Lien : http://leoalu2.blogspot.com
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