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Critique de A-petits-pas-de-pages
Ayant vu et beaucoup aimé le film, je me suis laissée tenter par le roman. Il s'agit d'un livre assez spécial, il y a beaucoup de pages avec des photos, et l'écriture varie selon celui qui parle. Cela en fait un roman original mais vraiment beau.
Parmi les quelques points qui gênent, il y a l'ordre chronologique. Bien que dans les récits d'Oskar on s'y retrouve assez, dans ceux de la grand mère et du grand père, c'est plus compliqué... de plus, on perçoit quelques inégalités dans les récits. Ceux d'Oskar et du grand père se lisent bien, mais ceux de la grand mère sont assez longuets.
Cependant, ce qui fait la force de cette intrigue, c'est les personnages et leurs relations face aux situations. le jeune Oskar est très attachant, sa personnalité est forte, le fait qu'il soit surdoué apporte de nombreuses choses très intéressantes, c'est vraiment un personnage brillant. Ensuite, sa grand-mère. C'est un personnage que l'on respecte dans ses relations avec Oskar, mais pour le reste (ses relations avec son mari sont compliquées à percevoir), sa personnalité est dure à cerner. le fait que l'événement de sa vie qui lui fait encore mal soit l'effondrement de son enfance à Dresde, c'est concevable, mais elle ne parle jamais de la mort de son unique fils. Peut être pour laisser Oskar s'en charger et rendre cela plus touchant, ce qui est le cas, mais cela la rend un peu froide tout de même. Enfin, le grand père d'Oskar est un personnage vraiment intéressant, sa vie entière et ses pensées sont poignantes.
Quant à l'intrigue en elle même, elle est vraiment bien ficelée, on découvre le New York après (et pendant) les attentats du 11 septembre 2001, on y découvre les habitants, leurs singularités, et leurs façon d'aborder la vie (Abby Black est très émouvante)...
C'est vraiment un roman qui, comme son titre l'indique, est extrêmement fort, mais aussi incroyablement riche en connaissances, en émotions.
Lien : http://a-petits-pas-de-pages..
Parmi les quelques points qui gênent, il y a l'ordre chronologique. Bien que dans les récits d'Oskar on s'y retrouve assez, dans ceux de la grand mère et du grand père, c'est plus compliqué... de plus, on perçoit quelques inégalités dans les récits. Ceux d'Oskar et du grand père se lisent bien, mais ceux de la grand mère sont assez longuets.
Cependant, ce qui fait la force de cette intrigue, c'est les personnages et leurs relations face aux situations. le jeune Oskar est très attachant, sa personnalité est forte, le fait qu'il soit surdoué apporte de nombreuses choses très intéressantes, c'est vraiment un personnage brillant. Ensuite, sa grand-mère. C'est un personnage que l'on respecte dans ses relations avec Oskar, mais pour le reste (ses relations avec son mari sont compliquées à percevoir), sa personnalité est dure à cerner. le fait que l'événement de sa vie qui lui fait encore mal soit l'effondrement de son enfance à Dresde, c'est concevable, mais elle ne parle jamais de la mort de son unique fils. Peut être pour laisser Oskar s'en charger et rendre cela plus touchant, ce qui est le cas, mais cela la rend un peu froide tout de même. Enfin, le grand père d'Oskar est un personnage vraiment intéressant, sa vie entière et ses pensées sont poignantes.
Quant à l'intrigue en elle même, elle est vraiment bien ficelée, on découvre le New York après (et pendant) les attentats du 11 septembre 2001, on y découvre les habitants, leurs singularités, et leurs façon d'aborder la vie (Abby Black est très émouvante)...
C'est vraiment un roman qui, comme son titre l'indique, est extrêmement fort, mais aussi incroyablement riche en connaissances, en émotions.
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