J'aime énormément cette série. La complexité m'empêche de le dévorer et du coup, je peux vraiment profiter de chaque mot, chaque phrase. Ce tome n'est pas le plus palpitant, ni avec le plus d'action car l'ambiance est plutôt à la planification, mais je me suis maintenant bien familiarisée avec cet univers et les personnages sont très attachants. Ce que j'apprécie, c'est que les gentils ont aussi beaucoup de défauts. Ils sont d'ailleurs divisés entre eux, ce qui donne lieu à pas mal de rebondissements.
Ce n'est pas le genre de série que je conseillerai à quelqu'un qui veut découvrir le genre fantasy, mais je pense qu'elle vaut le détour pour les amateurs.
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J'avais fait une pause au milieu du tome, pas parce que le livre m'ennuyait mais parce que la médiathèque à côté de chez moi a rouvert. J'ai donc fait passer les livres razziés là-bas avant ce tome 9 de la Roue du temps.
En reprenant ma lecture je suis demandée où était passé Perrin : aucun chapitre de son point de vue de toute la deuxième partie du livre, et à peine une évocation dans les rêves d'Egwene. Je me dis qu'il doit mener son bonhomme de chemin comme un chef.
Dans ce tome j'ai enfin deviné qui Mat allait épouser... La Fille des Neufs Lunes... est une Seanchane ! La Cour des Neufs Lunes, c'est le nom de la cour de l'impératrice Seanchane.
Je suis plutôt étonnée par l'évolution des relations entre Nynaeve et Egwene, et par le changement de comprtement de Nynaeve. Peut-être peut-elle enfin se conduire comme une jeune femme et ne pas prendre toutes les responsabilités sur ces épaules. Ce changement est toutefois assez déstabilisant.
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cette saga est vraiment prenante! Dommage cependant qu'on ne nous raconte pas où en sont Perrin et Loial...
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La Roue du Temps tourne, ses Ères se succèdent, laissant des souvenirs qui deviennent légendes. La légende se fond en mythe et même le mythe est depuis longtemps oublié quand revient l’Ère qui lui a donné naissance. Au cours d'une Ère que d'aucuns ont appelé la Troisième, une Ère encore à venir, une Ère depuis longtemps passée, du vent s'éleva dans la grande forêt appelée la Bois de Braem. Ce vent n'était pas le commencement. Il n'y a ni commencement ni fin dans les révolutions de la Roue du Temps. Pourtant c'était un commencement.
Dans les terres frontalières, où les gens savaient de quoi ils parlaient, on disait que le regard d'un Blafard était de la peur à l'état pur. Les Aiels eux-mêmes admettaient que se trouver face à un Myddraal leur glaçait jusqu'à la moelle des os. Une arme formidable, si on y réfléchissait bien...
La Roue du Temps - Bande-annonce officielle | Prime Video