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Une enquête de Francesca Cahill tome 4 sur 9
EAN : 9782290069752
375 pages
J'ai lu (01/04/2015)
4.2/5   22 notes
Résumé :
Francesca Cahill, la réformatrice excentrique, est prête à se lancer dans une nouvelle enquête : son amie Sarah Channing vient de trouver son atelier de peinture saccagé. Curieusement, un seul tableau a été maculé de rouge et lacéré : le portrait de Francesca. Bizarre... Et pourquoi la lettre " F " a-t-elle été dessinée sur le mur ? Notre héroïne va être confrontée au préfet de police Rick Bragg dont elle est secrètement amoureuse. Celui-ci ne tarde pas à apprendre ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Quatrième tome des aventures de Francesca Cahill. Séparé des autres tomes, il n'aurait que peu d'intérêt pour quelqu'un découvrant la série. Deux enquêtes policières sont abordés mais n'occupent pas le devant de la scène.
Francesca Cahill est une jeune fille de bonne famille devenu depuis peu détective, enfin elle fourre son nez plutôt dans les affaires de la police et surtout du nouveau préfet de police Bragg dont elle est tombée amoureuse. Présentée au début de la série comme bas bleu, elle est assez naïve, elle a de l'intuition et de l'empathie pour les victimes, ce qui est loin d'être le cas des policiers véreux dont Bragg essaie de se débarrasser au sein de la police new yorkaise.
Le début du tome commence par le saccage de l'atelier de son amie Sarah, fiancée à son frère . le tome va être aussi l'occasion de découvrir la famille de Bragg dont on connaissait déjà le demi frère Calder avec la rivalité pour Francesca. Ses parents et sa soeur Lucy ont débarqué à New York pour s'installer chez Calder. Une autre nouvellement arrivée, la femme de Bragg qui l'avait abandonné 4 ans plus tôt pour s'enfuir en Europe et vivre à ses frais avec ses amants.
Lucy est rapidement menacée, les deux frères recherchent son maitre chanteur tout en continuant leur rivalité, la romantique Francesca se posant de plus en plus de questions bien que clamant un amour éternel à Bragg.
On avance un peu dans l'histoire de Francesca, pas très vite, il reste quand même 5 autres tomes. L'enquête est un peu mise de côté pour faire place à une valse hésitation entre les deux frères.
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Une lecture légère, rafraîchissante et divertissante avec les aventures de Francesca Cahill, tome 4!

Petit rappel:
Francesca. Vingt ans, d'une très bonne famille new-yorkaise, abhorre les bals, préfère s'instruire et s'intéresse vivement aux réformes politiques de sa ville.
Bref, c'est un bas-bleu.
Et son occupation principale est de résoudre des enquêtes.
La miss a craqué pour le préfet de police, Rick Bragg, mais n'est pas insensible aux charmes de son demi-frère, Calder Hart.
La compétition fait rage entre les deux hommes devant l'indécision de la jeune fille quand l'un est coincé dans un vieux mariage et l'autre essaye de s'acheter une conduite et donne lieu à quelques scènes cocasses.

Le duel entre l'homme conventionnel et respectueux au point d'en devenir un poil ennuyeux pour la lectrice du XXIème siècle et l'homme un brin sulfureux, exubérant et dandy n'est certes pas un sujet super original mais cela reste toujours une valeur sûre pour des jeux de séduction charmants.

Dans ce tome, deux enquêtes se mêlent dont une ne connaîtra pas son dénouement immédiatement et l'autre nous permettra de davantage découvrir les membres de la famille des jeunes étalons fougueux!
Les petites histoires des uns et des autres suivent leur cours et rythment agréablement le roman et je suis curieuse de connaître la suite.

Ce n'est pas une lecture transcendante mais divertissante avec cette atmosphère du début XXème, ses manières policées, son étiquette et ses effronteries bien gentillettes. Les deux enquêtes sont sympathiques, sans grand suspens, apportent un peu de piment dans les péripéties romantiques de la demoiselle, à moins que ce ne soit l'inverse.

Le seul bémol est que le côté « bas bleu » abordé dans le 1er tome et qui apportait une pointe de profondeur à l'histoire est largement passé aux oubliettes depuis pour donner la primeur aux épanchements et doutes sentimentaux de la demoiselle. Dommage!

Un récit cohérent, un mélange de romance et d'enquêtes policières avec des personnages sympathiques et attachants. Contrat rempli pour une lecture rapide et récréative!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Francesca Cahill, la réformatrice excentrique, est prête à se lancer dans une nouvelle enquête : son amie Sarah Channing vient de trouver son atelier de peinture saccagé.

Dans ce tome 4, ce n'est pas que professionnellement que Francesca va devoir se poser des questions. Entre le préfet de police Rick Bragg et le riche Calder Hart, le coeur de l'intrépide détective en jupon balance...

Encore une aventure de Francesca Cahill où les péripéties ne manquent pas !
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La tension et le désir montent dans ce tome, et de nouvelles perturbations sentimentales pointent leur nez. Cela dit, j'ai peur que le côté triangle amoureux prennent un peu trop le pas (même si les deux messieurs sont tous les deux miam). Pas beaucoup de développement dur le couple Connie/Neil, mais j'ai aimé que Evan soit mis en avant.

L'intrigue policière, elle, n'était pas spécialement fascinante. Je pense que je l'aurais plus apprécié si j'avais lu la série sur la famille Bragg et que je connaissais déjà les personnages. Là c'est tout un pan qui est rajouté de façon un peu indigeste.
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J'aime bien cette série et tous les personnages, je trouve les enquêtes policière bien faites. Cette enquête est un peu moins fouillée que les autres mais on se laisse prendre par les personnages ...
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Francesca se retourna et aperçut Hart dans un coin du hall, aussi immobile que ses statues. Il les observait. Ou bien ne regardait-il qu'elle ?
Elle sentit son malaise croître en le voyant s'avancer. Il ne portait pas de veste et sa chemise était déboutonnée, laissant entrevoir quelques boucles de poils noirs qui frisaient sur son torse. Comment faisait-il pour paraître toujours aussi sensuel? Comprenant que c'était bien elle qu'il regardait, la jeune femme se fit la réflexion qu'il était définitivement un prédateur. C'était dans sa nature la plus intime.
— Vous aimez mon nouveau nu? murmura-t-il, esquissant un sourire.
Le cœur de Francesca battait la chamade.
— Oui, avoua-t-elle.
— J'en suis heureux. Je l'aime beaucoup moi aussi.
Elle reporta son regard sur la jeune fille à la colombe.
— N'est-elle pas un peu jeune pour vous ?
Son sourire s'élargit, découvrant deux rangées de dents parfaitement blanches.
— Lady Brianna - le modèle - n'a probablement pas plus de quatorze ou quinze ans. C'est jeune, en effet, même pour moi. Mais la sculpture est magnifique.
Pourtant, la plupart des galeries londoniennes ont refusé de l'exposer, la jugeant trop érotique. Vous même, la trouvez-vous scandaleuse, Francesca ?
Elle avait peine à respirer.
— La pose est osée, mais...
— Mais... ?
Elle s'humecta les lèvres.
— Mais elle est très belle, c'est évident. Et ce serait dommage de la laisser dormir dans une réserve.
— C'est bien mon avis. Mais expliquez-moi donc quel bon vent vous amène ?
Francesca s'éclaircit la voix.
— En fait, c'est vous que je suis venue voir.
Il fronça les sourcils.
— Vraiment ? Vous m'en voyez touché.
— Pour affaires, précisa-t-elle.
— Vous êtes sur une nouvelle enquête ?
— Dois-je demander à Alfred de préparer des rafraîchissements, Calder ? intervint Grâce.
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— Êtes-vous folle ? murmura soudain Hart à son oreille.
Francesca se retourna brusquement, tandis qu'il drapait ses épaules nues avec sa veste de soirée.
— Non, dit-elle, impressionnée de constater, à présent qu'elle le voyait en chemise, à quel point il était solidement bâti.
Elle se sentait minuscule, en comparaison.
— Il gèle. Pourquoi aller broyer du noir dans le froid glacial ?
— Je ne broyais pas du noir, mentit effrontément Francesca.
— N'oubliez pas que je lis dans vos pensées à livre ouvert. Vous feriez mieux de vous détendre et de profiter de la soirée.
Elle faillit sourire, puis se reprit.
— Je n'ai peut-être pas envie de me détendre.
Il darda son regard dans le sien.
— Souhaitez-vous que j'invente une excuse pour quitter le dîner ?
— Non ! s'exclama-t-elle, avec une véhémence qui les surprit tous deux.
Il sourit.
— Vous me voyez flatté.
— Il n'y a pas lieu. Mais j'aurais une requête à vous présenter.
Il haussa les sourcils.
— Oui?
— Rentrez vous servir un double scotch. Et nous le partagerons.
Un bon whisky : Francesca avait décidé que c'était ce qu'il lui fallait pour survivre à l'épreuve de ce dîner.
— Oh, oh, fit-il avec un autre sourire. La soirée promet d'être intéressante.
Il retourna dans le salon.
Francesca attendit, frissonnante - mais pas à cause de la température. Elle avait lu dans son regard de l'amusement, de la chaleur, mais aussi quelque chose d'autre qu'elle n'aurait su définir avec précision. Mais qu'elle ressentait comme une provocation d'ordre sexuel.
Était-il seulement conscient de ce qu'il faisait ? Ou était-ce naturel chez lui ?
Il revint avec deux verres.
— Voilà qui va vous réchauffer, dit-il.
— Comment avez-vous réussi à vous servir deux verres ? Ma mère n'a rien vu, j'espère ?
— Si. Mais elle a fait semblant du contraire, expliqua Hart, visiblement ravi.
— Vous ne pouvez jamais rien faire de mal, à ses yeux. À votre santé !
Et elle but une gorgée d'alcool.
— Je suis content de vous avoir donné le goût du whisky, déclara-t-il, goûtant à son tour à son verre. C'est le début de la corruption.
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Il la regarda si fixement qu'elle se sentit rougir.
- Qu'y a-t-il ?
- Rick a raison, dit-il.
- Comment cela ?
- Mes intentions ne sont pas aussi platoniques que je veux bien le prétendre.
Francesca reçut son aveu comme un choc.
- Quoi ?
- Je pense que vous m'avez parfaitement compris, répliqua-t-il.
Elle s'humecta les lèvres.
- Chercheriez-vous à me séduire ?
Il s'esclaffa.
- Mieux que ça. Je désire vous épouser.
Francesca crut avoir mal entendu.
- Quoi ?
- Je désire vous épouser, répéta-t-il.
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Francesca frissonnait toujours. Elle fut heureuse de voir Bragg lui frictionner gentiment l'épaule.
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Sarah Channing mérite plus de respect que vous n'êtes capables, l'un et l'autre, de lui donner. En revanche, vous vous valez bien, tous les deux.
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