Cette confiance et ce respect total que je vouais à mes parents s’effondrèrent comme un château de cartes. Et puis, que du marché personne ne vînt m’affecta beaucoup. À partir de ce jour-là, je fus convaincue qu’on ne pouvait jamais compter que sur soi-même et qu’il fallait accepter cette solitude et en être toujours consciente. Est-ce pour cela que j’ai aimé une certaine littérature?
ASSITA KANKO, invitée de L'ENTRETIEN DU JOUR LUNDI 4 JUIN 2012