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EAN : 9782757824665
448 pages
Points (08/09/2011)
2.68/5   39 notes
Résumé :
Une jeune femme tombe en panne sur une route déserte et disparaît dans la nuit. Une enseignante à la retraite est poignardée en plein jour sur le pas de sa porte. Mobile apparent: aucun. Indice: une petite tache de sang sur un fauteuil en cuir crème. C'est peu. Pour Alex Delaware et Milo Sturgis, le tandem d'enquêteurs le plus détonnant de la côte Ouest, l'enquête ressemble à un puzzle mal dessiné. Orné d'un leitmotiv: une silhouette au sexe indéfini, mutante et ins... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Un duo d'enquêteurs Alex Delaware, le psy et Milo Sturgis, le flic recherchent le lien possible entre deux affaires. le propriétaire d'une voiture de luxe retrouve par hasard sa voiture disparue dans la nuit mais il y a du sang sur le siège avant. Quelques jours plus tard, une retraitée est sauvagement tuée devant chez elle et son assassin s'enfuit dans une luxueuse voiture volée…
Ce livre ressemble terriblement au scénario poussif d'un quelconque téléfilm programmé le vendredi soir.
Lu avec ennui et une gênante impression de déjà lu ou vu, je l'ai presque aussi vite oublié.
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Le propriétaire d'une voiture de luxe appelle la police. Sa voiture a disparu durant la nuit mais il l'a retrouvée au petit matin dans le quartier. Elle est intacte si ce n'est une petite tâche de sang sur le siège avant. Alex Delaware, le psy, et Milo Sturgis, le flic, ne sont pas spécialement intéressés par l'affaire et chargent une jeune recrue de faire les tests éventuellement nécessaires. Mais quand une retraitée est sauvagement assassinée devant sa porte par un homme qui s'enfuit dans une luxueuse voiture, volée elle aussi, les deux amis flairent un lien et peut-être une enquête à leur mesure.

Dans la famille KELLERMAN, le fils m'avait enchantée avec Les visages. Cette fois je m'intéresse au père et l'essai n'est pas concluant. Contrairement à mon habitude, je ne débute pas une série par le premier tome. Est-ce que cela vient de là? Je ne sais pas mais tout cela m'a semblé brouillon, mal ficelé. Je ne connaissais pas les personnages ni la complicité qui les lie et qu'on remarque particulièrement dans les dialogues. Ceux-ci ont donc été souvent incompréhensibles pour moi.
Je ne suis pas convaincue et je ne pense pas récidiver avec cet auteur.
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Alors, dès le début on se doute bien que « la jeune fille qui tombe en panne sur une route déserte » va disparaitre…. Et qu'elle ne réapparaitra pas en vie ! Cette histoire de voiture de luxe subtilisée pour quelques heures puis restituée au même endroit ou presque, sans dommages, exceptée une toute petite tache de sang sur la banquette de la première et de « retraité sauvagement assassinée » devant chez elle sans aucun lien apparent entre les affaires est cousue de fil blanc. le duo que forme Alex Delaware, le psychologue de la police de L.A. et Milo Sturgis, le policier gay ne me convainc pas du tout. C'est tellement convenu, tellement peu original et prévisible !

Et hélas trois fois hélas, l'auteur nous livre simplement la solution sans véritable jeu psychologique, sans déduction rien. Paf, voilà le dénouement comme ça, comme un cheveu sur la soupe. J'ai été fort déçue de ce manque de tournure et de tact dans la délivrance de la solution. Ça ne me donne pas du tout envie de récidiver avec cet auteur dont j'avais pourtant entendu de bonnes critiques. Dommage! La traduction m'a par ailleurs semblé très médiocre. Je n'ai pas pour habitude d'être aussi catégorique sur une critique mais là, Je ne conseille vraiment pas ce roman, ou alors pour un trajet en train ou alors sur la plage.... éventuellement et encore. A lire vite, et à oublier aussi vite.

On est loin des K. Giebel, F. Thilliez ou autre J. Ch. Grangé et M. Chattam pour les français ou M. Connelly, D. Lehane, J. Ellroy ou même P. Cornwell et J. Lee Burke !
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Un propriétaire des quartiers chics de L.A. Retrouve sa voiture volée avec une tache de sang sur un siège, une jeune femme qui disparaît et une vieille dame assassinée sur le pas de sa porte par un homme déguisé qui conduit une voiture de luxe... Quels sont les rapports entre ses trois faits apparemment sans liens entre eux, c'est ce que vont devoir découvrir un inspecteur gay de la criminelle et un psychologue.

Il n'est pas évident de débuter une série par un énième volume car l'on peut craindre des références non explicitées du passé de deux enquêteurs. Heureusement ici ce n'est pas le cas, le roman est exclusivement centré sur l'enquête en cours sans retour sur le passé des deux hommes.

Quoique plutôt banale, l'enquête est assez bien conduite, avec des interrogatoires bien menés, la recherche de similitude de meurtres antérieurs,... mais l'on pourra regretter que le dénouement arrive sans réelle déduction. Pas de longues descriptions et de nombreux personnages ce qui permet de maintenir un certain suspense. Mais plus de psychologie aurait pu améliorer l'addiction au roman : avec comme enquêteur un psychologue on s'attendait à quelque chose de plus travaillé.

Le duo d'enquêteurs malgré des dialogues qui font ressortir une longue complicité ne parvient pas à susciter la pleine adhésion du lecteur.

Le style de l'auteur est simple, direct, ce qui permet une très bonne dynamique de lecture.

Au final, malgré quelques défauts on est plongé dans un policier sympathique à lire mais qui ne se démarque pas du lot de nombreux romans du genre. On est dans ce qu'il y a de plus simple : à lire si l'on veut une lecture sans prise de tête.
Lien : http://imaginaire-chronique...
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J'avais entendu beaucoup de bien de cet auteur californien, présenté comme un maître du polar psychologique. Bah bof, quoi ! J'ai trouvé ça affreusement classique. Pas mauvais en soi, parce que l'intrigue (des meurtres à priori sans lien entre eux commis par un mystérieux travesti) est sympa, et que le duo d'enquêteurs (un flic gay et un psychologue de la police de Los Angeles) est à priori original.
Mais j'ai trouvé les personnages peu intéressants, pas vraiment attachants, le style pas vraiment à accrocheur avec des notes d'humour qui me laissent froid... Malgré tout, ça se lit vite, ce n'est pas désagréable. Mais je suis à peu près sûr que j'aurai tout oublié dans un mois,a part que c'est dispensable. On est loin ici d'un James Elroy ou d'un Michael Conelly !
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
- Permettez-moi de vous demander autre chose, Beth. Est-ce que votre amie Kat était impressionnée par l'argent ?
- C'est assez répandu, non ?
- Est-ce qu'elle était particulièrement attirée ? Maisons luxueuses, habits chers, frais de représentation, bijoux, voitures d'exception... Tout ça la branchait ?
- Évidemment, dit Beth. C'était une fille normale.
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[...] il disait qu'il allait voyager.
- Où?
- Dans le monde. Comme si c'était un seul endroit. Je lui ai dit: "Dale, crois-moi, le monde n'est pas un endroit unique, c'est des petits compartiments de gens qui se haïssent les uns les autres et personne n'aime ceux qui sont différents". (p 282)
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Finalement, l'inévitable attaque de réfrigérateur a bien lieu. Milo se tartine une demi-douzaine de tranches de pain avec du beurre et de la confiture, plie la première en deux,se la fourre dans la bouche et mastique lentement.
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Le permis de conduire de Kat – symbole de son identité – fourré dans ses parties intimes. Certains meurtriers emportent des souvenirs, d’autres en laissent. Il s’agit toujours d’un message.
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Les carpes koï mangent leurs propres œufs, mais pas leurs petits une fois qu’ils sont nés. Contrairement aux autres poissons, elles n’attaquent pas leurs congénères malades ou mourants. C’est peut-être pour ça qu’elles vivent cent ans.
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