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Critique de piccolanina
Promenons - nous dans les bois .
Pas au Moyen-Age .
Car ces lieux étaient propices à la rencontre du malheur et de la douleur .
Quatre enfants vont le découvrir à leurs dépens .
Cachés dans les buissons , ils assistent à une joute .
Un chevalier tue deux soldats de la reine ; camoufle un parchemin obscur ; tombe épuisé et blessé au bras .
La destinée de Merthin , Ralph , son frère et leurs nouvelles copines Gwenda et Caris se scelle et se positionne , ce jour- là .
Une tranche de vie de Kingsbride ( ville où Les Piliers de la Terre débute et nous transporte , deux siècles auparavant ) nous est contée .
Entre une Eglise dont le clergé abuse du pouvoir car elle a un rôle spirituel , politique , économique , social , culturel et médical ; des guerres , la famine , la peste et spécialement les intrigues ; ressort une femme au caractère bien trempé , courageuse , curieuse , sceptique et si moderne : Caris .
Elle me captive .
Elle m'incite à rechercher , sur internet , l'implication de la femme au
Moyen -Age .
Je découvre " l'école de Salerne " où Dorotea Bucca fut femme -médecin et professeur à l'université de Bologne pendant quarante ans à partir
de 1390 .Ou encore Florine de Bourgogne , au onzième siècle , qui fut femme-soldat ou croisée .
Mercuriade , Jacqueline Félicie , Margaret W. Rossiter , etc. , etc.
Ces femmes sont connues .
Mais combien ont marqué leur époque , discrètement , farouchement , et sont inconnues pour l'éternité .
De tous temps , a vécu une femme d'exception .
Caris en est le symbole .
Pas au Moyen-Age .
Car ces lieux étaient propices à la rencontre du malheur et de la douleur .
Quatre enfants vont le découvrir à leurs dépens .
Cachés dans les buissons , ils assistent à une joute .
Un chevalier tue deux soldats de la reine ; camoufle un parchemin obscur ; tombe épuisé et blessé au bras .
La destinée de Merthin , Ralph , son frère et leurs nouvelles copines Gwenda et Caris se scelle et se positionne , ce jour- là .
Une tranche de vie de Kingsbride ( ville où Les Piliers de la Terre débute et nous transporte , deux siècles auparavant ) nous est contée .
Entre une Eglise dont le clergé abuse du pouvoir car elle a un rôle spirituel , politique , économique , social , culturel et médical ; des guerres , la famine , la peste et spécialement les intrigues ; ressort une femme au caractère bien trempé , courageuse , curieuse , sceptique et si moderne : Caris .
Elle me captive .
Elle m'incite à rechercher , sur internet , l'implication de la femme au
Moyen -Age .
Je découvre " l'école de Salerne " où Dorotea Bucca fut femme -médecin et professeur à l'université de Bologne pendant quarante ans à partir
de 1390 .Ou encore Florine de Bourgogne , au onzième siècle , qui fut femme-soldat ou croisée .
Mercuriade , Jacqueline Félicie , Margaret W. Rossiter , etc. , etc.
Ces femmes sont connues .
Mais combien ont marqué leur époque , discrètement , farouchement , et sont inconnues pour l'éternité .
De tous temps , a vécu une femme d'exception .
Caris en est le symbole .
