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Critique de gielair


Dans Un monde sans fin, Ken Follett nous invite à un saut de deux cents ans après Les piliers de la terre, toujours autour du village de Kingsbridge en Angleterre (en 1327). Ce sont les descendants des bâtisseurs de la cathédrale qui s'affrontent dans ce monde où la politique, l'église et la science s'entrecroisent pour faire face à de nouveaux défis, à de nouvelles épreuves, à des sursauts de vie, de guerre, de fièvre et de peste. Des personnages attachants, des êtres qui ne soient pas univoques, des humains sensibles dont les vies s'étalent sur 1 286 pages et 35 ans. La cathédrale et le prieuré, le pont et la tour, l'ile aux lépreux et les boisés environnants sont les lieux de ce monde qui veut survivre et ne point s'éteindre.
Lien : http://rivesderives.blogspot..
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